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Pépère le chat du poète. Suite.

#1
Un-œil se réveilla et se leva, il partit vers l'entrée de la pyramide. Il était inquiet que les chats robots Enarpilodiens ne reviennent pas perturber l'activité de Franïadus. Il constata que les trois soleils avaient une couleur normale. Il était quand même très intrigué par cette planète qui vénérait les chats au point où, qu'ils soient des dieux. Il sortit de l'édifice pour se promener un peu. Tous les gens qu'ils croisaient lui faisaient une révérence. Il était heureux ici, car il était le Dieu. Il pensait à Fripouille et à Elchatponne, il les aimait bien et grâce à Chouânne et Leïlanne, il avait vécu plein d'aventures sur cette planète. Il savait maintenant qu'il n'était plus seul et son nouvel univers lui plaisait.
Dans la pyramide, Leïlanne se réveilla et vit que Pépère n'était plus là. Elle réveilla la fée liettuje avec douceur. Celle-ci était bien reposée et regarda sa consœur dans un air de questionnement.
- Que se passe-t-il Leïlanne, tu as l'air inquiète. Mais où est Un-œil ?
- Ne t'inquiète pas mon amie, je viens de le voir à l'extérieur par télépathie et il se promène le loulou. Ce n'est pas plus mal, il faut que je te parle d'une chose assez grave.
- Je t'écoute mon amie, qui a-t-il donc qui te tracasse à ce point.
- Hé bien, voilà, nous avons combattu avec brio les Enarpilodiens et ceux-ci que nous avions égarés dans l'univers ont néanmoins réussis à rejoindre leur planète. Ils ont promis de se venger du Pépère. Maintenant, le pauvre Tigrou court énormément de danger. Déjà les Charnïens qui veulent le récupérer. Les Enarpilodiens qui veulent lui déclarer la guerre. En plus ce que je crains, c'est qu'ils nous pistent et sache que nous venons de Mercure et Vénus et que nos deux planètes soient aussi attaquées comme Charnïa et la Terre. Je pense que le mieux serait d'aller sur Enarpilod pour combattre les chats robots et délivrer les chats de la planète de ce joug auquel ils sont astreints depuis des milliers d'années. Liettuje, qu'en penses tu ?
- Oui, mais nous ne pouvons les combattre à deux, comment pouvons nous faire ?
- Et si nous emmenions, Un-œil, Fripouille et Elchatponne, ils sont comme des frères à présent et nous leur fournirons à chacun une soucoupe. C'est une bonne idée non, chut.
- Ça va, liettuje et Chouânne ? Vous n'êtes pas trop fatiguées ? De quoi parliez-vous, de soucoupe de guerre.
- De rien mon Loulou, nous disions que tu vas devoir finir la centrale électrique et qu'il nous faut un autre prétexte pour s'éloigner de la planète maintenant que Franïadus n'a plus de perturbation.
La fée Leïlanne fit comme elle le put pour rassurer Un-œil qu'elle ne voulait pas inquiéter pour le moment.
Un serviteur porta le dîner et les deux fées et le chat mangèrent silencieusement en attendant la tomber de la nuit.
À la brasserie, le président fut accueilli avec son épouse. Une table leur fut offerte et tout le monde se mit autour. Le pape, Isidore le brigadier Tatouvu et les deux invités étaient bien installés. Le président était en admiration devant le pape qu'il soit venu présider en personne la remise de médailles du Pépère.
- Hé bien, je ne m'attendais pas pour vous retrouver ici monsieur le pape. Mon épouse et moi-même pensions que vous étiez reparti vers le Vatican. Votre somptueuse demeure ne vous manque pas.
- Somptueuse, c'est vite dis, ceci étant nous cherchons des bienfaiteurs pour la remise en état de notre logement savez vous. Je suis ici, car Dieu est mon père spirituel et Pépère est Dieu et nous l'a amplement prouvé. Puis vous savez, j'ai retrouvé mon amie de longue date, la vieille guenon irakienne bourrée de cognac transalpin convoyé par des saints Bernard italiens. D'ailleurs où est-elle la vielle brebis irlandaise ?
Le président ne s'attendait pas à un tel langage de charretier de la part du pape. Le brigadier avait déjà attaqué la bouteille de vin. Il fut servi à Isidore un bol de lait et des catisfactions. L'épouse du président le trouvait adorable et le caressait, le brave minou était au ange.
- Dit moi mon gentil minet que fais tu là au fait.
- C'est parce que j'ai rencontré Pépère devant Atac qui était agressé par des robots venus de l'espace et je lui ai porté secours. Les robots ont volé le canal et mes copains Coin-coin et Pêcheur sont très inquiet. En plus, des foies jaunes se sont installés près de la marre à Coin-coin.
- Hé bien voilà, où elle est la vielles iroquoise degardie de l'oreille du pied gauche, elle picole avec les boit-sans-soif qui sont là-bas. Quand, je pense que j'ai failli me faire avoir et qu'ils mon fait mettre, un gilet jaune.
- Et moi donc monsieur le pape, je leur ai facilité la route jusqu'ici et j'apprends à l'instant par mes collègues qui m'envoient un message que le cochon jaune et le putois roux ont menacé notre brigade de gendarmerie.
Le président écoutait et n'en revenait pas. De plus, sa femme parlait avec un chat qui semblait avoir lui aussi des supers pouvoirs.
- Mais dites moi, Isidore ce sauvetage n'a pas été trop dur ?
- Hé bien non, monsieur, car j'ai des pouvoirs et mon vrai nom, c'est super Isidore. Oui, le Pépère était avec une femme qui était en fait un robot. Il n'en savait rien, puis elle s'est transformée en pot de fleurs d'où est sorti un géranium qui avait des pétales de feu qui retombaient autour de Pépère. Le feu menaçait sa voiture et le magasin. J'ai couru dans le supermarché pour aller chercher la lance incendie. Malheureusement, les conduits étaient en maintenance et il n'y avait pas d'eau dans les tuyaux. Alors avec ma super force, j'ai tiré le tuyau jusqu'au canal pour puiser l'eau avec une pompe que j'avais prise dans le magasin. Les extraterrestres ont alors bu l'eau du canal pour m'empêcher de stopper la dame géranium qui lançait du feu. Mais Isidore à plus d'un tour dans son sac et je suis revenu vers le parking et j'ai commencé par briser le pot à coup de moustache et la fleur de feu s'est brisée. Ensuite, j'ai été cherché une palette de deux cent bouteilles d'eau que j'ai jetée en l'air pour qu'elle s'éventre sur le sol. Ensuite, avec mon souffle puissant, j'ai pulvérisé l'eau sur l'incendie. Voilà monsieur le président. Du coup, le Pépère m'a fait coéquipier d'honneur de son groupe.
Dans sa tête, le président se disait, houlala, il ne serait pas un peu Flan rider sur les bords ce brave minet.
Le long du canal, le poète s'apprêtait à partir. Il entendit un bruit sourd et regarda dans le rétroviseur. Un foie jaune était appuyer sur sa voiture et il était en train d'uriner. L'homme sortit de sa voiture et demanda à l'homme s'il voulait un coup de main. Il reçut un message en même temps. Il regarda qui c'était et il lut ceci.
- Alors soûlard, tu t'es trouvé un copain. Comme par hasard, tu envoies une photo de tulipe à ta soûlarde et elle est rouge, poivrot.
- Occupe-toi de tes coussinets de bielles et lâche moi Pépère.
- Alors, il ne faut plus se gêner, vous allez arrêter ça de suite, non mais c'est un comble.
- On veut, le, hic, le smric à deux mille balles, hic, on veut du fric, hic, on ne lâche rien, ric, fric, hic.
- Tu ferais mieux de lâcher ce que tu as dans la main dégoûtant.
L'homme s'appuyant sur le coffre se balançait comme une feuille au vent et finit par ouvrir le coffre et tomba dedans et se mit à dire n'importe quoi.
- ric, je veux un smric à deux mille balles je ric rien, hic.
- S'en est trop, j'appelle le brigadier Tatouvu. Qui m'envoie encore un message. Quoi ? Bonjour la réunion de soûlards. Attends-toi, tu vas être privé de croquettes !
Dans le champ, sœur Mathilde fut retrouvée par la fée Chouânne. Elle dormait en rond comme un chat sur un tas de détritus à côté de la marre à Coin-coin. C'est à cet instant qu'arriva la gendarmerie. Chouânne fit disparaître les détritus du champ et la marre redevint comme avant Coin-coin était heureux.
- Toc toc toc, madame gendarme poète et la gendarmerie des poètes qui arrive, toc toc toc que veulent-ils ?
- Fle fle fle, je suis heureux ma marre est propre, fle fle fle, saleté de foies jaunes, fle fle fle, allez vous faire greffer un cerveau fle fle fle.
Elchatponne et Fripouille regardaient les gendarmes arriver et ne comprenaient plus rien. Les événements allaient un peu trop vite, ils se disaient, hé l'auteur, la moulinette à imagination n'est pas en panne l'on dirait.
Turbo courut vers le Pépère qui était au fond du terrain. Il était parti voir où étaient les foies jaunes sur le parking. Arrivé derrière le magasin, il sortit de son chat ventre la brochure et salivant devant vit que la réserve était ouverte, il en avait profité pour aller dérober un poulet et le manger, il avait été en reprendre un quand Turbo arriva.
- Vite, Pépère les gendarmes, veulent te voir. Tu manges du poulet, tu m'en donnes un bout mon copain.
- Bien sûr Turbo, tien, je te donne l'aile le croupion et la ficelle, garde la en souvenir de la moitié de ce poulet que je viens de t'offrir mon copain.
- Mais ça ne fait pas la moitié une aile et le croupion.
- Si mon copain, c'est parce que j'ai une réserve d'intelligence supérieure à nourrir et c'est ce qu'on appelle la moyenne compensée. Que se passe-t-il ?
- Les gendarmes veulent te voir, le flan ridé et le cochon jaune attaque la brigade.
- Super Pépère arrive, où sont-ils.
 

Pièces jointes

Cortisone

Maître Poète
#2
Un-œil se réveilla et se leva, il partit vers l'entrée de la pyramide. Il était inquiet que les chats robots Enarpilodiens ne reviennent pas perturber l'activité de Franïadus. Il constata que les trois soleils avaient une couleur normale. Il était quand même très intrigué par cette planète qui vénérait les chats au point où, qu'ils soient des dieux. Il sortit de l'édifice pour se promener un peu. Tous les gens qu'ils croisaient lui faisaient une révérence. Il était heureux ici, car il était le Dieu. Il pensait à Fripouille et à Elchatponne, il les aimait bien et grâce à Chouânne et Leïlanne, il avait vécu plein d'aventures sur cette planète. Il savait maintenant qu'il n'était plus seul et son nouvel univers lui plaisait.
Dans la pyramide, Leïlanne se réveilla et vit que Pépère n'était plus là. Elle réveilla la fée liettuje avec douceur. Celle-ci était bien reposée et regarda sa consœur dans un air de questionnement.
- Que se passe-t-il Leïlanne, tu as l'air inquiète. Mais où est Un-œil ?
- Ne t'inquiète pas mon amie, je viens de le voir à l'extérieur par télépathie et il se promène le loulou. Ce n'est pas plus mal, il faut que je te parle d'une chose assez grave.
- Je t'écoute mon amie, qui a-t-il donc qui te tracasse à ce point.
- Hé bien, voilà, nous avons combattu avec brio les Enarpilodiens et ceux-ci que nous avions égarés dans l'univers ont néanmoins réussis à rejoindre leur planète. Ils ont promis de se venger du Pépère. Maintenant, le pauvre Tigrou court énormément de danger. Déjà les Charnïens qui veulent le récupérer. Les Enarpilodiens qui veulent lui déclarer la guerre. En plus ce que je crains, c'est qu'ils nous pistent et sache que nous venons de Mercure et Vénus et que nos deux planètes soient aussi attaquées comme Charnïa et la Terre. Je pense que le mieux serait d'aller sur Enarpilod pour combattre les chats robots et délivrer les chats de la planète de ce joug auquel ils sont astreints depuis des milliers d'années. Liettuje, qu'en penses tu ?
- Oui, mais nous ne pouvons les combattre à deux, comment pouvons nous faire ?
- Et si nous emmenions, Un-œil, Fripouille et Elchatponne, ils sont comme des frères à présent et nous leur fournirons à chacun une soucoupe. C'est une bonne idée non, chut.
- Ça va, liettuje et Chouânne ? Vous n'êtes pas trop fatiguées ? De quoi parliez-vous, de soucoupe de guerre.
- De rien mon Loulou, nous disions que tu vas devoir finir la centrale électrique et qu'il nous faut un autre prétexte pour s'éloigner de la planète maintenant que Franïadus n'a plus de perturbation.
La fée Leïlanne fit comme elle le put pour rassurer Un-œil qu'elle ne voulait pas inquiéter pour le moment.
Un serviteur porta le dîner et les deux fées et le chat mangèrent silencieusement en attendant la tomber de la nuit.
À la brasserie, le président fut accueilli avec son épouse. Une table leur fut offerte et tout le monde se mit autour. Le pape, Isidore le brigadier Tatouvu et les deux invités étaient bien installés. Le président était en admiration devant le pape qu'il soit venu présider en personne la remise de médailles du Pépère.
- Hé bien, je ne m'attendais pas pour vous retrouver ici monsieur le pape. Mon épouse et moi-même pensions que vous étiez reparti vers le Vatican. Votre somptueuse demeure ne vous manque pas.
- Somptueuse, c'est vite dis, ceci étant nous cherchons des bienfaiteurs pour la remise en état de notre logement savez vous. Je suis ici, car Dieu est mon père spirituel et Pépère est Dieu et nous l'a amplement prouvé. Puis vous savez, j'ai retrouvé mon amie de longue date, la vieille guenon irakienne bourrée de cognac transalpin convoyé par des saints Bernard italiens. D'ailleurs où est-elle la vielle brebis irlandaise ?
Le président ne s'attendait pas à un tel langage de charretier de la part du pape. Le brigadier avait déjà attaqué la bouteille de vin. Il fut servi à Isidore un bol de lait et des catisfactions. L'épouse du président le trouvait adorable et le caressait, le brave minou était au ange.
- Dit moi mon gentil minet que fais tu là au fait.
- C'est parce que j'ai rencontré Pépère devant Atac qui était agressé par des robots venus de l'espace et je lui ai porté secours. Les robots ont volé le canal et mes copains Coin-coin et Pêcheur sont très inquiet. En plus, des foies jaunes se sont installés près de la marre à Coin-coin.
- Hé bien voilà, où elle est la vielles iroquoise degardie de l'oreille du pied gauche, elle picole avec les boit-sans-soif qui sont là-bas. Quand, je pense que j'ai failli me faire avoir et qu'ils mon fait mettre, un gilet jaune.
- Et moi donc monsieur le pape, je leur ai facilité la route jusqu'ici et j'apprends à l'instant par mes collègues qui m'envoient un message que le cochon jaune et le putois roux ont menacé notre brigade de gendarmerie.
Le président écoutait et n'en revenait pas. De plus, sa femme parlait avec un chat qui semblait avoir lui aussi des supers pouvoirs.
- Mais dites moi, Isidore ce sauvetage n'a pas été trop dur ?
- Hé bien non, monsieur, car j'ai des pouvoirs et mon vrai nom, c'est super Isidore. Oui, le Pépère était avec une femme qui était en fait un robot. Il n'en savait rien, puis elle s'est transformée en pot de fleurs d'où est sorti un géranium qui avait des pétales de feu qui retombaient autour de Pépère. Le feu menaçait sa voiture et le magasin. J'ai couru dans le supermarché pour aller chercher la lance incendie. Malheureusement, les conduits étaient en maintenance et il n'y avait pas d'eau dans les tuyaux. Alors avec ma super force, j'ai tiré le tuyau jusqu'au canal pour puiser l'eau avec une pompe que j'avais prise dans le magasin. Les extraterrestres ont alors bu l'eau du canal pour m'empêcher de stopper la dame géranium qui lançait du feu. Mais Isidore à plus d'un tour dans son sac et je suis revenu vers le parking et j'ai commencé par briser le pot à coup de moustache et la fleur de feu s'est brisée. Ensuite, j'ai été cherché une palette de deux cent bouteilles d'eau que j'ai jetée en l'air pour qu'elle s'éventre sur le sol. Ensuite, avec mon souffle puissant, j'ai pulvérisé l'eau sur l'incendie. Voilà monsieur le président. Du coup, le Pépère m'a fait coéquipier d'honneur de son groupe.
Dans sa tête, le président se disait, houlala, il ne serait pas un peu Flan rider sur les bords ce brave minet.
Le long du canal, le poète s'apprêtait à partir. Il entendit un bruit sourd et regarda dans le rétroviseur. Un foie jaune était appuyer sur sa voiture et il était en train d'uriner. L'homme sortit de sa voiture et demanda à l'homme s'il voulait un coup de main. Il reçut un message en même temps. Il regarda qui c'était et il lut ceci.
- Alors soûlard, tu t'es trouvé un copain. Comme par hasard, tu envoies une photo de tulipe à ta soûlarde et elle est rouge, poivrot.
- Occupe-toi de tes coussinets de bielles et lâche moi Pépère.
- Alors, il ne faut plus se gêner, vous allez arrêter ça de suite, non mais c'est un comble.
- On veut, le, hic, le smric à deux mille balles, hic, on veut du fric, hic, on ne lâche rien, ric, fric, hic.
- Tu ferais mieux de lâcher ce que tu as dans la main dégoûtant.
L'homme s'appuyant sur le coffre se balançait comme une feuille au vent et finit par ouvrir le coffre et tomba dedans et se mit à dire n'importe quoi.
- ric, je veux un smric à deux mille balles je ric rien, hic.
- S'en est trop, j'appelle le brigadier Tatouvu. Qui m'envoie encore un message. Quoi ? Bonjour la réunion de soûlards. Attends-toi, tu vas être privé de croquettes !
Dans le champ, sœur Mathilde fut retrouvée par la fée Chouânne. Elle dormait en rond comme un chat sur un tas de détritus à côté de la marre à Coin-coin. C'est à cet instant qu'arriva la gendarmerie. Chouânne fit disparaître les détritus du champ et la marre redevint comme avant Coin-coin était heureux.
- Toc toc toc, madame gendarme poète et la gendarmerie des poètes qui arrive, toc toc toc que veulent-ils ?
- Fle fle fle, je suis heureux ma marre est propre, fle fle fle, saleté de foies jaunes, fle fle fle, allez vous faire greffer un cerveau fle fle fle.
Elchatponne et Fripouille regardaient les gendarmes arriver et ne comprenaient plus rien. Les événements allaient un peu trop vite, ils se disaient, hé l'auteur, la moulinette à imagination n'est pas en panne l'on dirait.
Turbo courut vers le Pépère qui était au fond du terrain. Il était parti voir où étaient les foies jaunes sur le parking. Arrivé derrière le magasin, il sortit de son chat ventre la brochure et salivant devant vit que la réserve était ouverte, il en avait profité pour aller dérober un poulet et le manger, il avait été en reprendre un quand Turbo arriva.
- Vite, Pépère les gendarmes, veulent te voir. Tu manges du poulet, tu m'en donnes un bout mon copain.
- Bien sûr Turbo, tien, je te donne l'aile le croupion et la ficelle, garde la en souvenir de la moitié de ce poulet que je viens de t'offrir mon copain.
- Mais ça ne fait pas la moitié une aile et le croupion.
- Si mon copain, c'est parce que j'ai une réserve d'intelligence supérieure à nourrir et c'est ce qu'on appelle la moyenne compensée. Que se passe-t-il ?
- Les gendarmes veulent te voir, le flan ridé et le cochon jaune attaque la brigade.
- Super Pépère arrive, où sont-ils.
Daniel, je viens de lire pépère assez distraitement je l''avoue , prise par les derniers événements : l'incendie de notre dame de Paris.
Amicalement
Gaby