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Pépère le chat du poète. Suite.

#1
Dans sa cabane, Cookie se sentait rassurée par la présence de ses amis. Lolo envoyait des messages à Pépère pour l'informer des événements en temps réel. Celui-ci ne répondait plus depuis un moment quand Lolo reçut une photo de la vitrine de la boucherie. Le Pépère avait fait des clichés et malencontreusement avait envoyé une des photos à Lolo. Celui-ci ne comprenait pas ce que faisait le Pépère. La rue était assez calme si ce n'est une jeep qui tournait plus haut en attente de partir. Le brigadier était quant à lui devant les reste du brasier encore fumant. La sœur furetait des yeux en tous sens. Elle était désespérément à la recherche d'une bouteille à boire. Le brigadier partit voir la femme d'un pas décidé. Ses amis restèrent en retrait proche des tisons fumants. Thomas semblait remis de son arrestation. Le pape par contre avait vraiment une sale mine. Ses cheveux fumaient encore et il avait un œil qui se déplaçait de droite à gauche tandis que l'autre restait fixe. Il avait comme des spasmes et son bras faisait des mouvements incontrôlés. Le pauvre homme était dans un état de choc total. La sœur le regardait d'un air moqueur sans trop mesurer la gravité de la situation. L'homme avait besoin d'un médecin. Il ouvrit la bouche pour parler et fit un pet nauséabond mais n'émit pas un seul son.
- Hé bien, c'est complet, voilà que tu nous fais du vent maintenant. Qu'est-ce que tu as bien pu manger salopard pour avoir ce parfum d'égout à l'intérieur de ton ventre. Arrête ça de suite où je porte plainte, le gendarme n'est pas loin attention à toi espèce de goujat.
Le pape la regardait d'un air ahuri et lui répondit.
- Hé bien, Monsieur le Président, c'est une drôle d'idée d'avoir invité Mickey pour cette réception des foies jaunes. Je vous assure monsieur le président que je n'ai pas brûlé l'antenne de la Porche. D'ailleurs, je roule en Bugatti, c'est une preuve non. Dans la boîte à gants, il y a un petit carnet où sont noté les noms et téléphones de magnifiques roses qui perturbent mon os ventral. Donc, Monsieur le Président, si vous avez une réclamation à faire adresser vous à sœur Mathilde. Cette femme est une anarchiste et une amie intime de monsieur Merdenchon. Rigole espèce de bécasse, avec tes dents bleues tu as l'air maline, je t'assure. Bon, maintenant, je veux mon lit, car je suis fatigué de me trouver debout sur l'océan des vignerons. Je les tête qui manège tourne dans mon escabeau...
Le pauvre homme tomba sur les fesses et ne disait plus un mot. Visiblement, il était en plein délire et semblait avoir des hallucinations. Thomas prit peur et regardant la sœur lui dit.
- Va chercher le brigadier Tatouvu au lieu de rester là les bras balans à bâiller comme une limace du zoo de Vincennes.
- Oui à vos ordres chef, j'y vais, oups oui Thomas, j'y vais tout de suite.
La pauvre partit en courant et arriva sur le brigadier qui était de mauvaise humeur. Le pauvre s'était fait rabrouer par la femme dans la maison et le chien lui aboyait dessus.
- Vite, le pape, est en plein delirium comme s'il avait fumé une bouteille de villageoise. Vite, je te dis cet homme, est peut-être en danger.
- Écoute, tes histoires de curiale, ça commence à me plaire. Espèce de végétarienne d'occasion nourrie à la cuisse de tricératops du Groenland, tu n'as qu'à t'en occuper. Je viens d'être victime d'une engueulade carabinée. C'est ici qu'habite l'homme au capot blanc, tu vas voir, ça va être sa fête, ce coup-ci, son compte est bon au gaillard.
À Sancoins, Fripouille était toujours avec Un-œil proche du canal vers l'estrade. Elchatponne était avec Chouânne un peu plus loin et se faisait flatter par la fée. Elle comptait réparer la situation du canal, mais sans précipitation. Elle voulait voir Pépère pour qu'il s'en occupe à sa place. Comme, il était considéré comme le chat Dieu cela semblerait naturel. La fée ne voulait pas attirer l'attention sur elle.
Un-œil regardait derrière la scène et dit à Fripouille d'un air de désolation.
- Tu te rends compte, Fripouille, comment vont faire les hérons qui viennent se nourrir ici. Heureusement qu'ils ne passent pas de bateaux ici.
- Ça, c'est sur mon ami, ce canal vide est désespérant. Ton histoire de bateau me fait penser à une mission que j'ai faite dans l'océan indien, il y a un moment.
- Ha bon mon copain, quelle était donc cette mission. Tu as conduit un bateau mon copain.
- Tu as presque deviné, mais ce n'est pas tout à fait ça, je vais te raconter l'histoire.
Voilà un groupe de terroristes avait mis dans l'océan indien des faux poissons avec une intelligence artificielle. Ils étaient destinés à collecter des informations sur les bateaux des militaires qui passaient dans cette zone. Personne ne savait d'où venait le fait que les bateaux qui passaient par là étaient victimes de sabotage. Des informations, ultra confidentielle étaient sans cesse divulguées et personne n'arrivaient à trouver les responsables. J'ai donc été missionné pour mener cette enquête et j'ai trouvé les responsables qui étaient cachés en Équateur et les ai terrassé à coup de queue et de moustaches. J'ai trouvé les espions dans l'océan qui étaient des poissons Android. Malheureusement, je ne pouvais pas les combattre dans l'eau. Alors on a fabriqué un bateau à ma taille pour que je puisse naviguer et les chasser. Je les ai aussi tous exterminé un par un. J'ai été médaillé par les États-Unis pour ce fait de gloire. Tiens regarde ça, c'est moi et mon bateau.
- Cette fripouille fit voir à Un-œil une photo sur son téléphone où un chat roux comme lui était allongé sur un bateau de guerre.
- Whaa mon copain, tu es vraiment très fort, là, tu m'as coupé les pattes, chat, chat, chat.
Le Pépère pendant ce temps marchait en boitant vers la pharmacie avec Pêcheur derrière lui. Il était déçu, car il ne pourrait pas aller de nouveau admirer ses amours derrière la vitrine. Il entra dans l'officine et les gens le laissèrent passer. De dehors, Pêcheur écoutait la femme qu'il avait rencontrée sur le parking d'Atac. Celle-ci les avait laissés un moment en arrivant au canal. Elle avait envoyé un message à Pépère pour lui dire qu'elle arrivait de suite derrière eux. Elle devait aller chercher une ordonnance pour son cœur et avait besoin d'un médicament assez urgemment.
- Mais c'est Pépère, ouiiiii, Pépère le héros de tous les Français, je suis trop fan, laissez passer Pépère, ouii, c'est Pépère.
Pêcheur se disait, hé bien, nous ne sommes pas près d'aller voir la marre à Coin-coin.
Le Pépère néanmoins sorti assez rapidement et vint rejoindre Pêcheur. Il était toujours boiteux et fit semblant de s'appuyer sur le rebord du mur de la boucherie pour admirer ses amours. Tout bas, il disait, je vous aime, mes dents vous aiment, mon ventre vous aime.
- Toc toc toc, qu'est-ce que tu fais Pépère, toc toc toc, je veux voir la marre à Coin-coin, toc toc toc.
- Excuse moi, je suis comme les poules, je crois que je rêve de manger des cailloux.
- Toc toc toc, une poule n'a pas de dents, toc toc toc.
- Hé bien, si mon copain, la poule chinoise à des dents et elle mange de la pierre.
- Toc toc toc, des poules avec des dents, toc toc toc, suis curieux de savoir ça, toc toc toc.
- Oui voilà Pêcheur, je vais t'expliquer l'histoire. Tu vas comprendre pourquoi je le sais. Voilà en l'an 800 en Chine la spécialité était les frittes. Attention pas des pommes de terre non des frites d'aiguilles de cèdres qui ont des vertus nourrissantes insoupçonnées. À l'époque, j'étais là-bas pour la recherche dans l'intérêt des familles pour retrouver les disparus de la grande muraille. En effet, beaucoup de gens avaient été envoyés là-bas de force et leurs familles n'en savaient rien. Donc on faisait des forêts entières de cèdres pour les aiguilles et faire les frites. J'avais signé un méga contrat avec seb d'ailleurs et chaque famille avait sa friteuse électrique. Bien avant les gens avaient eu l'idée de dresser des poules pour monter la garde des maisons. Le problème, c'est que les pandas venaient dévorer les plantations de cèdres. Les habitants ont fait denter les poules de mâchoires métalliques pour attaquer les pandas, ce fut une réussite. Le problème, c'est qu'après c'est elle qui mangeaient les arbres. Un des présidents de l'époque est venu me voir pour me demander ce qu'on pouvait faire et j'ai changé grâce à mon génie ces poules de manière génétique et leurs dents maintenant sont dans leurs ventres voilà pourquoi elles mangent des cailloux...


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Cortisone

Maître Poète
#2
Dans sa cabane, Cookie se sentait rassurée par la présence de ses amis. Lolo envoyait des messages à Pépère pour l'informer des événements en temps réel. Celui-ci ne répondait plus depuis un moment quand Lolo reçut une photo de la vitrine de la boucherie. Le Pépère avait fait des clichés et malencontreusement avait envoyé une des photos à Lolo. Celui-ci ne comprenait pas ce que faisait le Pépère. La rue était assez calme si ce n'est une jeep qui tournait plus haut en attente de partir. Le brigadier était quant à lui devant les reste du brasier encore fumant. La sœur furetait des yeux en tous sens. Elle était désespérément à la recherche d'une bouteille à boire. Le brigadier partit voir la femme d'un pas décidé. Ses amis restèrent en retrait proche des tisons fumants. Thom

as semblait remis de son arrestation. Le pape par contre avait vraiment une sale mine. Ses cheveux fumaient encore et il avait un œil qui se déplaçait de droite à gauche tandis que l'autre restait fixe. Il avait comme des spasmes et son bras faisait des mouvements incontrôlés. Le pauvre homme était dans un état de choc total. La sœur le regardait d'un air moqueur sans trop mesurer la gravité de la situation. L'homme avait besoin d'un médecin. Il ouvrit la bouche pour parler et fit un pet nauséabond mais n'émit pas un seul son.
- Hé bien, c'est complet, voilà que tu nous fais du vent maintenant. Qu'est-ce que tu as bien pu manger salopard pour avoir ce parfum d'égout à l'intérieur de ton ventre. Arrête ça de suite où je porte plainte, le gendarme n'est pas loin attention à toi espèce de goujat.
Le pape la regardait d'un air ahuri et lui répondit.
- Hé bien, Monsieur le Président, c'est une drôle d'idée d'avoir invité Mickey pour cette réception des foies jaunes. Je vous assure monsieur le président que je n'ai pas brûlé l'antenne de la Porche. D'ailleurs, je roule en Bugatti, c'est une preuve non. Dans la boîte à gants, il y a un petit carnet où sont noté les noms et téléphones de magnifiques roses qui perturbent mon os ventral. Donc, Monsieur le Président, si vous avez une réclamation à faire adresser vous à sœur Mathilde. Cette femme est une anarchiste et une amie intime de monsieur Merdenchon. Rigole espèce de bécasse, avec tes dents bleues tu as l'air maline, je t'assure. Bon, maintenant, je veux mon lit, car je suis fatigué de me trouver debout sur l'océan des vignerons. Je les tête qui manège tourne dans mon escabeau...
Le pauvre homme tomba sur les fesses et ne disait plus un mot. Visiblement, il était en plein délire et semblait avoir des hallucinations. Thomas prit peur et regardant la sœur lui dit.
- Va chercher le brigadier Tatouvu au lieu de rester là les bras balans à bâiller comme une limace du zoo de Vincennes.
- Oui à vos ordres chef, j'y vais, oups oui Thomas, j'y vais tout de suite.
La pauvre partit en courant et arriva sur le brigadier qui était de mauvaise humeur. Le pauvre s'était fait rabrouer par la femme dans la maison et le chien lui aboyait dessus.
- Vite, le pape, est en plein delirium comme s'il avait fumé une bouteille de villageoise. Vite, je te dis cet homme, est peut-être en danger.
- Écoute, tes histoires de curiale, ça commence à me plaire. Espèce de végétarienne d'occasion nourrie à la cuisse de tricératops du Groenland, tu n'as qu'à t'en occuper. Je viens d'être victime d'une engueulade carabinée. C'est ici qu'habite l'homme au capot blanc, tu vas voir, ça va être sa fête, ce coup-ci, son compte est bon au gaillard.
À Sancoins, Fripouille était toujours avec Un-œil proche du canal vers l'estrade. Elchatponne était avec Chouânne un peu plus loin et se faisait flatter par la fée. Elle comptait réparer la situation du canal, mais sans précipitation. Elle voulait voir Pépère pour qu'il s'en occupe à sa place. Comme, il était considéré comme le chat Dieu cela semblerait naturel. La fée ne voulait pas attirer l'attention sur elle.
Un-œil regardait derrière la scène et dit à Fripouille d'un air de désolation.
- Tu te rends compte, Fripouille, comment vont faire les hérons qui viennent se nourrir ici. Heureusement qu'ils ne passent pas de bateaux ici.
- Ça, c'est sur mon ami, ce canal vide est désespérant. Ton histoire de bateau me fait penser à une mission que j'ai faite dans l'océan indien, il y a un moment.
- Ha bon mon copain, quelle était donc cette mission. Tu as conduit un bateau mon copain.
- Tu as presque deviné, mais ce n'est pas tout à fait ça, je vais te raconter l'histoire.
Voilà un groupe de terroristes avait mis dans l'océan indien des faux poissons avec une intelligence artificielle. Ils étaient destinés à collecter des informations sur les bateaux des militaires qui passaient dans cette zone. Personne ne savait d'où venait le fait que les bateaux qui passaient par là étaient victimes de sabotage. Des informations, ultra confidentielle étaient sans cesse divulguées et personne n'arrivaient à trouver les responsables. J'ai donc été missionné pour mener cette enquête et j'ai trouvé les responsables qui étaient cachés en Équateur et les ai terrassé à coup de queue et de moustaches. J'ai trouvé les espions dans l'océan qui étaient des poissons Android. Malheureusement, je ne pouvais pas les combattre dans l'eau. Alors on a fabriqué un bateau à ma taille pour que je puisse naviguer et les chasser. Je les ai aussi tous exterminé un par un. J'ai été médaillé par les États-Unis pour ce fait de gloire. Tiens regarde ça, c'est moi et mon bateau.
- Cette fripouille fit voir à Un-œil une photo sur son téléphone où un chat roux comme lui était allongé sur un bateau de guerre.
- Whaa mon copain, tu es vraiment très fort, là, tu m'as coupé les pattes, chat, chat, chat.
Le Pépère pendant ce temps marchait en boitant vers la pharmacie avec Pêcheur derrière lui. Il était déçu, car il ne pourrait pas aller de nouveau admirer ses amours derrière la vitrine. Il entra dans l'officine et les gens le laissèrent passer. De dehors, Pêcheur écoutait la femme qu'il avait rencontrée sur le parking d'Atac. Celle-ci les avait laissés un moment en arrivant au canal. Elle avait envoyé un message à Pépère pour lui dire qu'elle arrivait de suite derrière eux. Elle devait aller chercher une ordonnance pour son cœur et avait besoin d'un médicament assez urgemment.
- Mais c'est Pépère, ouiiiii, Pépère le héros de tous les Français, je suis trop fan, laissez passer Pépère, ouii, c'est Pépère.
Pêcheur se disait, hé bien, nous ne sommes pas près d'aller voir la marre à Coin-coin.
Le Pépère néanmoins sorti assez rapidement et vint rejoindre Pêcheur. Il était toujours boiteux et fit semblant de s'appuyer sur le rebord du mur de la boucherie pour admirer ses amours. Tout bas, il disait, je vous aime, mes dents vous aiment, mon ventre vous aime.
- Toc toc toc, qu'est-ce que tu fais Pépère, toc toc toc, je veux voir la marre à Coin-coin, toc toc toc.
- Excuse moi, je suis comme les poules, je crois que je rêve de manger des cailloux.
- Toc toc toc, une poule n'a pas de dents, toc toc toc.
- Hé bien, si mon copain, la poule chinoise à des dents et elle mange de la pierre.
- Toc toc toc, des poules avec des dents, toc toc toc, suis curieux de savoir ça, toc toc toc.
- Oui voilà Pêcheur, je vais t'expliquer l'histoire. Tu vas comprendre pourquoi je le sais. Voilà en l'an 800 en Chine la spécialité était les frittes. Attention pas des pommes de terre non des frites d'aiguilles de cèdres qui ont des vertus nourrissantes insoupçonnées. À l'époque, j'étais là-bas pour la recherche dans l'intérêt des familles pour retrouver les disparus de la grande muraille. En effet, beaucoup de gens avaient été envoyés là-bas de force et leurs familles n'en savaient rien. Donc on faisait des forêts entières de cèdres pour les aiguilles et faire les frites. J'avais signé un méga contrat avec seb d'ailleurs et chaque famille avait sa friteuse électrique. Bien avant les gens avaient eu l'idée de dresser des poules pour monter la garde des maisons. Le problème, c'est que les pandas venaient dévorer les plantations de cèdres. Les habitants ont fait denter les poules de mâchoires métalliques pour attaquer les pandas, ce fut une réussite. Le problème, c'est qu'après c'est elle qui mangeaient les arbres. Un des présidents de l'époque est venu me voir pour me demander ce qu'on pouvait faire et j'ai changé grâce à mon génie ces poules de manière génétique et leurs dents maintenant sont dans leurs ventres voilà pourquoi elles mangent des cailloux...


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J'ai adoré le coup du pape et son délerium
Amicalement
Gaby