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Pépère le chat du poète. Suite

#1
Devant la menace de la jument se situant à l'entrée de l'abri, les Américains n'osaient pas trop s'avancer. Ils savaient que l'un des deux chats était un Android et ils voulaient le capturer.
Momo, qui était toujours dans la couchette avec ses compagnons, n'était pas tranquille et voulait aller voir de plus près cette histoire d'antenne à l'extérieur. Il se leva prudemment et partit vers la porte de la pièce voisine. La maman du poète lui ouvrit en râlant. Il se dirigea vers l'antenne qui était toujours en train de se consumer dans une sous une épaisse fumée qui s'élevait dans les airs. La femme derrière le carreau le regardait et se demandait ce que faisaient les pompiers et les gendarmes. Il lui avait semblé que l'homme qui lui avait répondu n'était pas très clair.
- Diantre, avouons-le, ce brasier n'est point anodin, ce sacripant de Pépère nous aura certainement diverti pour aller commettre un méfait dans les parages. Pendant que notre intention est détournée le bougre dois chaparder quelques poulets rôtis ou un wagon de friandise. Je m'en vais de cet endroit, il me semble que j'en aie assez vu pour la journée. Je n'en suis pas sûr, mais notre brave Cookie à dû avoir peur, allons la visiter prestement. Monsieur Pépère, je vous signifierais que vous êtes un drôle de phénomène.
Momo s'en alla directement en direction du champ. Il vit en traversant la route, une drôle de troupe qui venait vers sa maison. Il observa discrètement et vit qu'il y avait un gendarme. Cela lui sembla étrange, l'un des hommes semblait avoir les cheveux roses. Il continua sa route et arrivé vers la clôture vit de loin que trois hommes étaient devant la maison à Cookie et que celle-ci en barrait l'accès. Momo ne savait pas comment faire. Il partit voir s'il voyait Rookie dans sa demeure. Le brave écureuil ayant eut peur des événements précédents s'était dépêché de retourner dans sa maison. Momo vit ses yeux à travers le trou qui était dans l'arbre et qui lui servait de maison. Il l'appela pour prendre connaissance des événements.
- Rookie, seriez vous là mon ami, par hasard.
Le petit animal sortit de l'arbre et vint le rejoindre.
- Gre gre gre, oui je suis là Momo. Ne t'inquiète pas, Lolo a prévenu le Pépère, gre gre gre, il ne devrait pas tarder, il est à Sancoins actuellement. Gre gre gre, la fée Chouânne vient avec lui, gre gre gre.
- Très bien mon ami, mais cette litote ne me dit point ce qu'il s'est passé en ces contrées, pouvez vous me le relater cher ami.
- Gre gre gre, oui Momo, gre gre gre, je vais te l'expliquer. Voilà, les Américains sont devenus fous, gre gre gre. Ils ont essayé d'attaquer Cookie, sans que personne ne sache pourquoi, gré gre gre. Lolo est avec la chatte Ainos et Lucie à l'intérieur. Quatre personnes ont été évacuées, gre gre gre, c'est bizarre l'un d'eux avait les cheveux violet, gre gre gre, c'est tout ce que je sais mon copain.
- Diantre, quelle histoire. Bon, je m'en vais patienter avec vous ici en attendant que la fée et le Pépère arrive en ces lieux.
Les Américains, sans aucune raison prirent peur et partirent en courant se réfugier dans leurs tentes. En fait, c'est Liettuje qui était juste au-dessus du champ. Elle avait rendu sa soucoupe invisible. Elle avait provoqué des visions hallucinatoires aux hommes qui avait vu Cookie devenir un monstre terrible. Un cheval hybride tricéphale et armé de dents acérées.
À Sancoins Pêcheur, s'apprêtait à suivre Coin-coin vers sa marre. Isidore était content d'avoir rencontré le Pépère. Ses histoires auxquelles, il ne croyait pas trop l'amusaient énormément. Le Pépère pour justifier son histoire de hanche douloureuse faisait semblant de boiter. Il était déchiré, entre l'idée d'aller voir sa maman fée et partir délivrer la petite minette grise. Mais sans cesse à son esprit revenaient les images du catalogue qu'il venait de consulter discrètement.
- Bon les amis, vous allez m'attendre ici. Je n'en ai pas pour longtemps, je vais à la pharmacie pour chercher une pommade pour ma hanche. Isidore, je te confie une mission. Tu vas surveiller l'homme en face qui ne pense qu'à manger. Attention, je ne sais pas si c'est mon Ukrainien imbibé de glyphosate Argentin ou sa compagne gendarme déguisée en poète. Fais attention, car si c'est elle, elle pourrait t'arrêter, je précise qu'elle enferme les chats dans les placards.
- Toc toc toc, nous restons avec Isidore, toc toc toc, fais vite Pépère.
- Fle fle fle, c'est horrible pourquoi les chats dans les placards, fle fle fle. En tout cas, ma marre est toujours là, fle fle fle.
- D'accord Pépère, j'accepte de te rendre ce service, c'est bizarre d'enfermer les chats dans un placard. Tu as raison, je ferrai attention, mais ne t'inquiète pas Isidore est très rusé.
- Et moi qu'est-ce que je fais mon copain, je viens avec toi ?
- Non Turbo, tu vas aller plus loin dans le chemin. Si tu vois mon Macédonien vendeur de citron du pôle Sud venir récupérer ses saloperies chimiques, fait des photos. Souviens-toi que c'est peut-être sa poivrote, pense au placard, lol.
- Toc toc toc, tu es sûr de ce que tu racontes Pépère ?
- Fle fle fle, du moment qu'elle ne vole pas les marres, je l'aime, fle fle fle.
- Bon, je vais dans le chemin mon copain, et je n'oublie pas l'histoire du placard.
- Isidore, fera un excellent gardien, rassure toi Pépère. Chat chat chat, le placard, tu es sûr quand même.
- Oui, j'en suis certain, écouté l'histoire. Voilà, je vous ai dit que mon soûlard russe peint à la craie d'Israël, m'avait confié à plusieurs reprises à sa soûlarde. Oui, quand il part en mission pour aller prendre livraison d'armes à l'étranger, il me laisse chez elle des fois. Voilà la première fois que j'arrive là-bas, je me rends compte qu'elle a dans son appartement aux moins quarante gamelles à chat remplies d'eau et autant de nourriture. Je précise qu'elle n'a plus de fenêtres, car son soûlard les a démontées pour les repeindre, il y a un an et il les a mis à trempé dans du vin pour les décaper. Comme, il boit sans cesse le vin du fut ça ne se décape pas. Je m'installe donc et elle me dit mon gentil minet, tu vas garder l'appartement, je vais en course. Ce a quoi, j'ai répondu, prends moi pour une bécasse, tu vas acheter de la vinasse oui. Donc, elle ouvre un immense placard pour prendre des vêtements. La stupéfaction a été totale, au moins quarante chats sont sortis de l'immense armoire voilà.
- Toc toc toc, que faisaient ils là toc toc toc.
- Fle fle fle, oui pourquoi les lâcher quand elle sort, fle fle fle.
- C'est bizarre en effet mon copain.
- Oui, tu as raison, Turbo, c'est étrange, répondit Isidore.
- Pas du tout les copains, en fait elle les enferme dedans pour qu'ils se couchent sur ses vêtements et comme ça elle mets des vêtements chauds. Les chats les réchauffent. Comme elle est frileuse et n'a pas de fenêtres elle a trouver la solution pour chauffer ses habits. Bon, je vais à la pharmacie les copains.
La suite demain avec un pépère en administration devant ses amours, hihi.
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