Dans la maison du poète, Bibou était impatient de retrouver son maître. Il tournait en rond dans la maison, ce qui énervait la maman du poète.
- Qu'est-ce qu'il a été ramené ce chien qui est toujours dans mes pattes. Tu as peut-être faim mon gamin.
Elle lui donna de la pâtée pour chien et Bibou se régalait tout en pensant à son maître. Après avoir pris son repas, il repartit vers le canapé où Mimine et Momo étaient couchés l'un contre l'autre. Il les regardait et ne savait plus où aller. Dans sa couche, le petit chat était avec Bouillette et il n'osait pas les déranger, il inspira profondément et attendit devant le canapé. Momo se réveilla et le regardait avec douceur. Il était content que son maître ait ramené ce chien à la maison.
- Hé bien, Bibou, tu as l'air triste, que se passe-t-il ? Le moral, est-il au plus bas mon pauvre ami.
- Non, ne t'inquiète pas Momo, c'est simplement que je me demande où est mon maître et j'ai fait un rêve atroce où j'ai vu ma cabane explosé et retomber sur Pépère qui mangeait un poulet dedans.
- Ne t'inquiète pas pour notre maître, il saura revenir prestement en sa demeure. Je subodore qu'il est à la recherche de ce sacripant de Pépère. Figure toi que le bougre, c'est fait édifier un totem en lieu et place de notre cour privée. Oui, mon ami, vous n'êtes point au pays de l'onirisme, il a osé ce méfait ici sous mon nez et mes moustaches. Il a fait accomplir sa tâche par des hommes alcooliques qui ont raté leur opération de montage. Cette explosion que tu as entendue dans ton songe, n'est rien d'autre que cet horrible totem métallique qui a littéralement explosé sous mes yeux. Les hommes qui travaillaient dessus ont été surpris par la gendarmerie et sans doute voulant dissimuler leur trifouillage ont échoué et la statue à explosé dans un vacarme à réveiller le ciel et la terre. Voilà ce qui se passe chez nous mon cher Bibou. Pas d'inquiétude pour notre maître, il va rentrer sous peu. Venez vous coucher près de Mimine et moi, nous serons plus confortablement à l'aise.
Bibou n'en revenait pas de l'histoire que venait de lui relater Momo. Il prit partie de se coucher contre les deux chats. Le sommeil se faisant lourd, il s'endormit en un rien de temps.
Dans le camp des Américains, le calme était revenu partiellement. Les militaires se demandaient encore ce qui avait bien pu conduire à l'explosion de l'antenne qui n'était même pas encore en fonctionnement. Leurs radars localisaient toujours l'activité radio fréquence de la petite chatte robot. Ils étaient persuadés que la jument était un Android, mais n'osaient pas trop l'approcher, car la bête savait se défendre et ils l'avaient bien compris.
Sous leur toile de tente les quatre prisonniers involontairement arrêtés attendaient toujours que le coup de téléphone du pape porte ses fruits. Le saint homme sortit de sa besace des aiguilles à tricoter microscopiques, une loupe frontale avec éclairage Led et de minuscules brins de laine. Il se mit à siffloter et semblait faire un tricot pour puce sauteuse. La sœur qui était à côté de lui le regardait faire et se demandait bien à qui pouvait être destiné un tricot de cette taille. Le brigadier était toujours dehors et il était arrivé à joindre la brigade. Il avait parlé à son commandant et lui avait raconté l'histoire du t-rex habillé en sœurette faisant de l'auto-stop. Il lui demanda de l'aide suite à l'explosion d'une antenne dans une cour privée. Il finit par affirmer avoir été arrêté par des soldats Américains sans aucune raison apparente. Le commandant de la brigade lui répondit qu'il allait envoyer immédiatement, un contingent de l'armée de terre. Puis une fois la communication coupée il s'écria en riant à l'intention du commissariat qui avait entendu toute la conversation sur le haut-parleur du téléphone qui était ouvert. Hé bien, l'oiseau doit en tenir une bonne. Je me demande combien de litres, il a pu descendre depuis ce matin au point de voir un t-rex faire de l'auto-stop. Qui plus est, que l'animal soit habillé en sœurette. Il nous les ferra toute ce n'est pas possible. Déjà, qu'il a démoli l'estrade au bord du canal ce matin, je me demande quand est-ce, qu'il va s'arrêter.
Thomas lui avait fini par s'asseoir sur une chaise de camping qui était sous la tente et il se reposait en attendant la suite des événements.
La sœur regarda le pape et lui dit d'un ton moqueur.
- Hé bien, vieux dromadaire à trois bosses pleines de vinasse, tu as des poux et tu leur tricotes des pulls pour cet hiver. Tu es vraiment un drôle de phénomène.
- je t'ai demandé la couleur de tes chaussettes et la marque de ton dentifrice, espèce de vieille guenon édentée de la mâchoire du milieu. Je fais des pulls pour mes mille-pattes et ça ne te regarde pas.
- Tu pourrais être poli, espèce de bulot Éthiopien vendu d'occasion en Asie mineure. Des pulls pour mille-pattes, qu'est ce que c'est que cette histoire de fous.
- Oui ! Chanteuse de rap pour sourd de l'orteil de la nuque, je tricote des pulls pour mon élevage personnel. Tu ne sais peut-être pas au courant, mais, j'ai une passion pour les mille-pattes. J'ai un élevage de quarante individus et chacun a un prénom. Je leur ai fait fabriquer un petit village où ils vivent en communauté. Cette réplique miniature du Vatican se trouve dans une pièce qui leur est dédiée. Malheureusement, les nuits sont froides dans ces vieilles bâtisses et pour ne pas qu'ils aient trop froid, je leur fais des pull-over personnalisés. Voilà, comme ça, plutôt, que d'attendre, je ne perds pas mon temps.
À Sancoins, le Pépère avait pris la voie le long du canal et continua jusqu'au champ où était la marre à Coin-coin. Le long de la route Isidore était revenu voir s'il voyait Pépère. Son émission avait été remplacée par un flash d'informations et il était contrarié. Il vit l'arrière de la voiture et décida d'y aller. Il vit de l'autre côté du canal une bande de trois chats qui le regardaient. Il se demandait bien ce qu'ils lui voulaient. C'était, Fripouille, Elchatponne et Un-œil, ils étaient avec Leïlanne et Chouânne. Liettuge était partie avec sa soucoupe pour voir de plus près ce qu'il se passait sur la commune voisine. Leïlanne devait bientôt partir vers Saturne, car une autre mission l'attendait. Elle devait repartir vers Charnïa afin de voir ce que faisaient les habitants et ainsi avertir les deux autres fées sur terre au cas où, une nouvelle invasion se serait préparée. La bande de chats était tellement occupée avec les fées qu'ils n'avaient même pas vu passer le Pépère. Il voyait Isidore et Fripouille ne l'avait jamais vu alors, il se demandait ce qu'il faisait ici tout seul.
Le Pépère gara sa voiture et scruta l'horizon. Le canal était désespérément vide sur des kilomètres. Il vit sur l'autre berge la xsara qui était en stationnement. L'homme s'était garé là pour appeler son amoureuse. Il était à côté de sa voiture et mangeait un énorme pain au raisin. Il avait dans l'autre main, une poche en contenant trois de ses frères qui allaient avoir le même sort. Coin-coin était parti en courant vers sa marre.
- Fle fle fle, vite allons voir, fle fle fle, ouf, ma marre est toujours là. Fle fle fle, je suis le plus heureux des canards, fle fle fle. Tiens qu'est que c'est que ces soucoupes dans mon champ fle fle fle.
Le Pépère vit revenir Coin-coin qui avait l'air très content.
- Fle fle fle, ma marre n'a pas été volé, fle fle fle, je suis content. Fle fle fle, c'est génial, car Pêcheur va pouvoir habiter sur ma marre en attendant, fle fle fle, tu es le bienvenu mon copain, fle fle fle.
- Toc toc toc, je vais manifester avec les foies jaunes, toc toc toc, on a volé mon canal, toc toc toc. Je suis tellement triste, toc toc toc, heureusement que Coin-coin est là, toc toc toc, quel bandit a fait ça.
- Pépère, tu ne peux pas faire quelque chose pour Pêcheur ? Lui demanda Turbo.
- Si, je vais m'en occuper. Déjà, je voudrais savoir ce que fait mon kilt Africain pour nonne polonaise de l'autre côté du canal. Sûrement, qu'il a picolé au bistrot et il ne voit plus rien, c'est évident. Puis nous devons retrouver Fripouille, Un-œil et Elchatponne. Tu es content Coin-coin, tu as retrouvé ta marre. Ne t'inquiète pas Pêcheur, je vais réparer le canal.
- Toc toc toc, oui fait vite, toc toc toc. Encore merci Coin-coin toc toc toc.
- Fle fle fle, ce n'est rien mon copain, fle fle fle. Par contre, ils y a deux soucoupes dans le champ, fle fle fle.
Le Pépère descendit et son cœur battait très fort. Il partit en courant vers la haie pour regarder derrière. Arrivé sur l'herbe, il tomba sur une publicité jetée là. C'était une réclame pour des côtes de porc. Il vit au même moment Isidore arrivé. Se penchant vers la haie, il vit les soucoupes et compris que Chouânne et Leïlanne étaient là, il devint tout bizarre.
- bon, qu'est-ce que c'est, un message de Lolo. Ah oui, ma chatmoureuse qui lui parle. Mais au fait cette publicité ! Mes amours, je vous aime. Chalut Isidore te voilà revenu. Ma maman fée est dans les parages. Je suis chat love heureux. Leïlanne je t'aime, je t'aime, maman fée Chouânne, je t'aime, je t'aime. Disant cela, il envoyait des bisous avec sa patte sur l'horizon. Puis se baisant et regardant la publicité dit tout bas, pardon Ainos, mais, mais amours ,c'est mes amours, je vous chat love.
- Qu'est-ce qu'il a été ramené ce chien qui est toujours dans mes pattes. Tu as peut-être faim mon gamin.
Elle lui donna de la pâtée pour chien et Bibou se régalait tout en pensant à son maître. Après avoir pris son repas, il repartit vers le canapé où Mimine et Momo étaient couchés l'un contre l'autre. Il les regardait et ne savait plus où aller. Dans sa couche, le petit chat était avec Bouillette et il n'osait pas les déranger, il inspira profondément et attendit devant le canapé. Momo se réveilla et le regardait avec douceur. Il était content que son maître ait ramené ce chien à la maison.
- Hé bien, Bibou, tu as l'air triste, que se passe-t-il ? Le moral, est-il au plus bas mon pauvre ami.
- Non, ne t'inquiète pas Momo, c'est simplement que je me demande où est mon maître et j'ai fait un rêve atroce où j'ai vu ma cabane explosé et retomber sur Pépère qui mangeait un poulet dedans.
- Ne t'inquiète pas pour notre maître, il saura revenir prestement en sa demeure. Je subodore qu'il est à la recherche de ce sacripant de Pépère. Figure toi que le bougre, c'est fait édifier un totem en lieu et place de notre cour privée. Oui, mon ami, vous n'êtes point au pays de l'onirisme, il a osé ce méfait ici sous mon nez et mes moustaches. Il a fait accomplir sa tâche par des hommes alcooliques qui ont raté leur opération de montage. Cette explosion que tu as entendue dans ton songe, n'est rien d'autre que cet horrible totem métallique qui a littéralement explosé sous mes yeux. Les hommes qui travaillaient dessus ont été surpris par la gendarmerie et sans doute voulant dissimuler leur trifouillage ont échoué et la statue à explosé dans un vacarme à réveiller le ciel et la terre. Voilà ce qui se passe chez nous mon cher Bibou. Pas d'inquiétude pour notre maître, il va rentrer sous peu. Venez vous coucher près de Mimine et moi, nous serons plus confortablement à l'aise.
Bibou n'en revenait pas de l'histoire que venait de lui relater Momo. Il prit partie de se coucher contre les deux chats. Le sommeil se faisant lourd, il s'endormit en un rien de temps.
Dans le camp des Américains, le calme était revenu partiellement. Les militaires se demandaient encore ce qui avait bien pu conduire à l'explosion de l'antenne qui n'était même pas encore en fonctionnement. Leurs radars localisaient toujours l'activité radio fréquence de la petite chatte robot. Ils étaient persuadés que la jument était un Android, mais n'osaient pas trop l'approcher, car la bête savait se défendre et ils l'avaient bien compris.
Sous leur toile de tente les quatre prisonniers involontairement arrêtés attendaient toujours que le coup de téléphone du pape porte ses fruits. Le saint homme sortit de sa besace des aiguilles à tricoter microscopiques, une loupe frontale avec éclairage Led et de minuscules brins de laine. Il se mit à siffloter et semblait faire un tricot pour puce sauteuse. La sœur qui était à côté de lui le regardait faire et se demandait bien à qui pouvait être destiné un tricot de cette taille. Le brigadier était toujours dehors et il était arrivé à joindre la brigade. Il avait parlé à son commandant et lui avait raconté l'histoire du t-rex habillé en sœurette faisant de l'auto-stop. Il lui demanda de l'aide suite à l'explosion d'une antenne dans une cour privée. Il finit par affirmer avoir été arrêté par des soldats Américains sans aucune raison apparente. Le commandant de la brigade lui répondit qu'il allait envoyer immédiatement, un contingent de l'armée de terre. Puis une fois la communication coupée il s'écria en riant à l'intention du commissariat qui avait entendu toute la conversation sur le haut-parleur du téléphone qui était ouvert. Hé bien, l'oiseau doit en tenir une bonne. Je me demande combien de litres, il a pu descendre depuis ce matin au point de voir un t-rex faire de l'auto-stop. Qui plus est, que l'animal soit habillé en sœurette. Il nous les ferra toute ce n'est pas possible. Déjà, qu'il a démoli l'estrade au bord du canal ce matin, je me demande quand est-ce, qu'il va s'arrêter.
Thomas lui avait fini par s'asseoir sur une chaise de camping qui était sous la tente et il se reposait en attendant la suite des événements.
La sœur regarda le pape et lui dit d'un ton moqueur.
- Hé bien, vieux dromadaire à trois bosses pleines de vinasse, tu as des poux et tu leur tricotes des pulls pour cet hiver. Tu es vraiment un drôle de phénomène.
- je t'ai demandé la couleur de tes chaussettes et la marque de ton dentifrice, espèce de vieille guenon édentée de la mâchoire du milieu. Je fais des pulls pour mes mille-pattes et ça ne te regarde pas.
- Tu pourrais être poli, espèce de bulot Éthiopien vendu d'occasion en Asie mineure. Des pulls pour mille-pattes, qu'est ce que c'est que cette histoire de fous.
- Oui ! Chanteuse de rap pour sourd de l'orteil de la nuque, je tricote des pulls pour mon élevage personnel. Tu ne sais peut-être pas au courant, mais, j'ai une passion pour les mille-pattes. J'ai un élevage de quarante individus et chacun a un prénom. Je leur ai fait fabriquer un petit village où ils vivent en communauté. Cette réplique miniature du Vatican se trouve dans une pièce qui leur est dédiée. Malheureusement, les nuits sont froides dans ces vieilles bâtisses et pour ne pas qu'ils aient trop froid, je leur fais des pull-over personnalisés. Voilà, comme ça, plutôt, que d'attendre, je ne perds pas mon temps.
À Sancoins, le Pépère avait pris la voie le long du canal et continua jusqu'au champ où était la marre à Coin-coin. Le long de la route Isidore était revenu voir s'il voyait Pépère. Son émission avait été remplacée par un flash d'informations et il était contrarié. Il vit l'arrière de la voiture et décida d'y aller. Il vit de l'autre côté du canal une bande de trois chats qui le regardaient. Il se demandait bien ce qu'ils lui voulaient. C'était, Fripouille, Elchatponne et Un-œil, ils étaient avec Leïlanne et Chouânne. Liettuge était partie avec sa soucoupe pour voir de plus près ce qu'il se passait sur la commune voisine. Leïlanne devait bientôt partir vers Saturne, car une autre mission l'attendait. Elle devait repartir vers Charnïa afin de voir ce que faisaient les habitants et ainsi avertir les deux autres fées sur terre au cas où, une nouvelle invasion se serait préparée. La bande de chats était tellement occupée avec les fées qu'ils n'avaient même pas vu passer le Pépère. Il voyait Isidore et Fripouille ne l'avait jamais vu alors, il se demandait ce qu'il faisait ici tout seul.
Le Pépère gara sa voiture et scruta l'horizon. Le canal était désespérément vide sur des kilomètres. Il vit sur l'autre berge la xsara qui était en stationnement. L'homme s'était garé là pour appeler son amoureuse. Il était à côté de sa voiture et mangeait un énorme pain au raisin. Il avait dans l'autre main, une poche en contenant trois de ses frères qui allaient avoir le même sort. Coin-coin était parti en courant vers sa marre.
- Fle fle fle, vite allons voir, fle fle fle, ouf, ma marre est toujours là. Fle fle fle, je suis le plus heureux des canards, fle fle fle. Tiens qu'est que c'est que ces soucoupes dans mon champ fle fle fle.
Le Pépère vit revenir Coin-coin qui avait l'air très content.
- Fle fle fle, ma marre n'a pas été volé, fle fle fle, je suis content. Fle fle fle, c'est génial, car Pêcheur va pouvoir habiter sur ma marre en attendant, fle fle fle, tu es le bienvenu mon copain, fle fle fle.
- Toc toc toc, je vais manifester avec les foies jaunes, toc toc toc, on a volé mon canal, toc toc toc. Je suis tellement triste, toc toc toc, heureusement que Coin-coin est là, toc toc toc, quel bandit a fait ça.
- Pépère, tu ne peux pas faire quelque chose pour Pêcheur ? Lui demanda Turbo.
- Si, je vais m'en occuper. Déjà, je voudrais savoir ce que fait mon kilt Africain pour nonne polonaise de l'autre côté du canal. Sûrement, qu'il a picolé au bistrot et il ne voit plus rien, c'est évident. Puis nous devons retrouver Fripouille, Un-œil et Elchatponne. Tu es content Coin-coin, tu as retrouvé ta marre. Ne t'inquiète pas Pêcheur, je vais réparer le canal.
- Toc toc toc, oui fait vite, toc toc toc. Encore merci Coin-coin toc toc toc.
- Fle fle fle, ce n'est rien mon copain, fle fle fle. Par contre, ils y a deux soucoupes dans le champ, fle fle fle.
Le Pépère descendit et son cœur battait très fort. Il partit en courant vers la haie pour regarder derrière. Arrivé sur l'herbe, il tomba sur une publicité jetée là. C'était une réclame pour des côtes de porc. Il vit au même moment Isidore arrivé. Se penchant vers la haie, il vit les soucoupes et compris que Chouânne et Leïlanne étaient là, il devint tout bizarre.
- bon, qu'est-ce que c'est, un message de Lolo. Ah oui, ma chatmoureuse qui lui parle. Mais au fait cette publicité ! Mes amours, je vous aime. Chalut Isidore te voilà revenu. Ma maman fée est dans les parages. Je suis chat love heureux. Leïlanne je t'aime, je t'aime, maman fée Chouânne, je t'aime, je t'aime. Disant cela, il envoyait des bisous avec sa patte sur l'horizon. Puis se baisant et regardant la publicité dit tout bas, pardon Ainos, mais, mais amours ,c'est mes amours, je vous chat love.
