Les Charnïens étaient dans l'espace en direction de leur planète. Ils étaient totalement perdus en l'absence de signaux venant de Charnïa. Ils ne savaient plus comment faire. Ils décidèrent d'arrêter leurs vaisseaux non loin de Mercure. Chouânne fut immédiatement infirmée de la présence de soucoupes inconnues à proximité de la planète. Le conseil de sécurité était en alerte maximum sur Mercure. Chouânne compris que les Charnïens étaient probablement égarés dans l'espace. Un œil avait remarquablement réussi son opération de sabotage électrique sur le tableau.
Le pauvre chat était à présent sur terre et ne savait pas où aller. Il était non loin de chez Fripouille qui était toujours avec Elchatponne en train de lui expliquer, comment il s'était déguisé en tigre pour éliminer les libellules, mangeuses d'arbre. Ils virent par la fenêtre le pauvre chat qui semblait tourné en rond. Il sauta sur le rebord de la fenêtre et Fripouille se mit à miauler à en réveiller tout le quartier. Ses maîtres finirent par venir voir ce qui se passait. Ils furent attendris par ce minet qui n'avait qu'un œil et le firent rentrer. La maîtresse de maison s'en alla lui chercher à manger et il dîna devant Fripouille et Elchatponne qui étaient contents de le revoir.
- Alors, Un œil qu'as-tu fait depuis que tu es rentré, lui demanda Elchatponne.
- Hé bien, je me suis promené et j'ai assisté à un événement. Le long du canal, un homme voulait corriger des enfants avec un bâton. Je ne sais pas pourquoi. Alors, comme, je veux devenir honnête, je me suis déguisé en gendarme et j'ai ensuite arrêté l'homme que j'ai conduit aux vrais gendarmes. Le bougre avait une force surnaturelle et en chemin à essayé de me terrasser. Alors, je me suis énervé et je l'ai calmé à coup de queue et de moustaches. Une fois avec les gendarmes, j'ai expliqué aux hommes le problème et repris mon apparence normal. Ils m'ont dit que j'étais un bon chat et m'ont demandé si je connaissais Elchatponne. J'ai alors répondu que oui et ils m'ont affirmé que tu serais bientôt décoré mon copain pour avoir sauvé le père Noël.
- Ça, c'est une bonne nouvelle mon copain alors, je vais être décoré avec Pépère certainement répondit Elchatponne.
- Le barbecue, est en préparation et Pépère m'a dit qu'il rentrait, s'exclama Fripouille. Je suis content, car j'ai deux copains avec moi maintenant, je ne suis plus seul dans cette maison. Si seulement j'habitais plus près de chez ma siamoise.
Devant chez Fripouille, le barbecue prenait forme. Il ne manquait plus que d'aller chercher la viande et surtout le vin. La sœur et le brigadier Tatouvu furent désignés pour cette corvée. Thomas voulut les accompagner et monta derrière. La sœur se mit devant lui et le brigadier monta au volant. Il n'arrivait pas à introduire la clef de démarrage dans le lecteur. Il avait déjà beaucoup bu depuis le matin. Même si le temps était revenu normal et bien qu'il ne fut que neuf heures, l'homme était pour tout dire totalement ivre.
- Alors, qu'est-ce que tu fais espèce de poireau Charentais, tu fais du rap, tu cherches le premier rôle de composition ou tu vas nous donner l'heure ?
- Pourquoi lui demandez-vous, s'il va nous donner l'heure, sœur Mathilde, lui dit Thomas.
- Simplement parce qu'il se balance comme un balancier de Comtoise lol.
Le brigadier se boucha un œil et mit la carte puis, il démarra et s'écria, deuxième vielle brebis, puis, il cala au milieu de la route.
- Tu es sourde espèce de moine d'opéra. Je t'ai dit deuxième. Tu ne vois pas que j'ai encore hérité de la voiture pour borgne. Dans cette voiture toutes les commandes sont en doubles et je suis obligé de me boucher un yeux...
- Nous disons un œil, brigadier, le reprit Thomas, se a quoi le brigadier continua.
- Mon yeux qu'on dit des œil, je m'en fous, j'explique le problème de cette voiture de borgne. Donc si, je me bouche un yeux, je ne peux pas passer les vitesses et tenir le volant. Tu as compris l'espèce de danseuse à flûte pour bétonnière Irlandaise. Si, je conduis à deux pieds, je main la deux route, alors fait ton fromage vielle brebis et passe les bandes blanches hic.
Et c'est ainsi que la Dacia redémarra en ayant le hoquet autant que son conducteur. Il zigzaguait dans tous les sens et la foule s'écarta pour le laisser passer. Arrivé au bout, il tourna le volant tellement fort qu'il partait totalement sur la gauche. Pris de panique, la sœur voulut passer sa jambe entre les jambes du brigadier pour freiner. Elle appuya sur sa jambe droite et Tatouvu accéléra à fond. Le brigadier tira encore plus sur le volant toujours à gauche et la voiture reprit la direction opposée vers l'estrade où Mike et le Pape, mettait au point la sonorisation. La foule paniquée s'enfuyait et la Dacia finit sa course contre l'estrade. Le pape qui était juste sur le bord chuta et se retrouva assis sur le toit de l'auto. Mike, qui était sur le côté, passa à travers l'éventration des planches et passa par la vitre ouverte de sœur Mathilde pour finir sur ses genoux. La scène était carnavalesque. Le klaxon était resté coincé et hurlait autant qu'il le pouvait. Le brigadier était furax.
- Tu as fait des bureaux espèce de crêpière corse. Tu as déconnecté le bouchon de la bouteille hic.
Puis le brigadier ouvrit sa porte et tomba à côté de la voiture accidentée avant de s'endormir.
Le Pépère devant l'Élysée fit apparaître son hélicoptère et Turbo fut le premier à monter dedans. Un pêcheur s'écria ;
- Toc toc toc, enfin nous repartons toc toc toc, fais attention à mon bec une fois en l'air, toc toc toc.
- Fle fle fle, moi aussi, je suis pressé de retrouver le canal fle fle fle.
La journaliste, vint vers Pépère pour le saluer et lui dit.
- Alors c'est fini pour le moment, les nez rouges et les foies jaunes.
- Oui, je ramène mes amis sur la commune de Sancoins, nous verrons bien par la suite les nez rouges.
- Mais d'ailleurs Pépère pourquoi les hommes ont le nez rouge quand, ils boivent, ça reste un mystère.
- Moi, je sais pourquoi c'est parce qu'il y a un réactif dans le vin, c'est un procédé de mon invention.
- Ha bon et quel en est l'intérêt ? Je ne comprends pas !
-Toc toc toc, ça sert à quoi encore toc toc toc.
- Je vais vous l'expliquer mon mes amis. Voilà, j'ai inventé ce procédé pour le vin au douzième siècle. Sous Louis six le gros. C'était un ami et fin connaisseur en poulet aussi, on s'en ai fait des orgies bref. À cette époque, je travaillais dans un institut de recherche en transport ferroviaire et les roues des trains étaient en pierre. Les chariots en étaient équipés aussi. Le problème à l'époque, c'est que les paysans buvaient beaucoup notamment de la bière du jâger et surtout du vin. En rentrant des tavernes, ils ne pouvaient plus diriger leurs chevaux. J'avais inventé un cheval électrique très bien imité pour résoudre le problème. Il avait un régulateur et un limiteur de vitesse, et même le GPS j'avais pensé à tout. Seulement, voilà, il pouvait galoper à cent quatre-vingts kilomètres à l'heure. Les roues en pierre étaient énormément lourdes et à cette vitesse elles se détachaient de l'essieu et bien souvent avec la vitesse elles détruisaient les maisons. Résultat mon invention fit beaucoup de mal sans que je le sache. J'étais isolé dans mon laboratoire et personne ne m'en eut apporté vent. L'année 1135 fut terrible la sécurité routière enregistra neuf mille accidents matériels en campagne et cinq mille sur autoroute. Un jour Louis vient me voir et me dit.
- Tranquille Pépère ça va ?
- Oui bien cousin, j'écoute Michael en travaillant.
Il me regarde et me dit.
- This is thriller Thriller night And no one’s gonna save you.... Bon bref non, je viens t'entretenir d'un grave problème voilà nos paysans sont des ivrognes et tes chevaux mécanique font flamber les radars automatiques et ont créé quatorze mille accidents sur le réseau national, Pépère Dieu tout-puissant enseignant de Michael, inventeur de l'écriture en bombe à tanguer que pouvons nous faire ?
- Pas de problème que je lui réponds, je vais inventer un réactif de façon à ce que les gens qui en boivent, aient le nez rouge. Puis je vais mettre un détecteur de teinte de visage sur les chevaux électriques. Voilà l'histoire qu'elle est vraie réelle, pas fausse cher journaliste de Tvchatfm.
- Allez, c'est parti mes amis.
- Toc toc toc, attention mon cou, toc toc toc.
- Fle fle fle, je vais retrouver ma marre fle fle fle.
- Super, je vais retrouver Sybage.
- Et moi la magnifique minette à la robe grise, s'exclama, Pépère.
C'est ainsi que la journaliste vit, Pépère dans son hélicoptère s'envoler jusqu'à ce qu'elle ne le voit plus du tout.
Le pauvre chat était à présent sur terre et ne savait pas où aller. Il était non loin de chez Fripouille qui était toujours avec Elchatponne en train de lui expliquer, comment il s'était déguisé en tigre pour éliminer les libellules, mangeuses d'arbre. Ils virent par la fenêtre le pauvre chat qui semblait tourné en rond. Il sauta sur le rebord de la fenêtre et Fripouille se mit à miauler à en réveiller tout le quartier. Ses maîtres finirent par venir voir ce qui se passait. Ils furent attendris par ce minet qui n'avait qu'un œil et le firent rentrer. La maîtresse de maison s'en alla lui chercher à manger et il dîna devant Fripouille et Elchatponne qui étaient contents de le revoir.
- Alors, Un œil qu'as-tu fait depuis que tu es rentré, lui demanda Elchatponne.
- Hé bien, je me suis promené et j'ai assisté à un événement. Le long du canal, un homme voulait corriger des enfants avec un bâton. Je ne sais pas pourquoi. Alors, comme, je veux devenir honnête, je me suis déguisé en gendarme et j'ai ensuite arrêté l'homme que j'ai conduit aux vrais gendarmes. Le bougre avait une force surnaturelle et en chemin à essayé de me terrasser. Alors, je me suis énervé et je l'ai calmé à coup de queue et de moustaches. Une fois avec les gendarmes, j'ai expliqué aux hommes le problème et repris mon apparence normal. Ils m'ont dit que j'étais un bon chat et m'ont demandé si je connaissais Elchatponne. J'ai alors répondu que oui et ils m'ont affirmé que tu serais bientôt décoré mon copain pour avoir sauvé le père Noël.
- Ça, c'est une bonne nouvelle mon copain alors, je vais être décoré avec Pépère certainement répondit Elchatponne.
- Le barbecue, est en préparation et Pépère m'a dit qu'il rentrait, s'exclama Fripouille. Je suis content, car j'ai deux copains avec moi maintenant, je ne suis plus seul dans cette maison. Si seulement j'habitais plus près de chez ma siamoise.
Devant chez Fripouille, le barbecue prenait forme. Il ne manquait plus que d'aller chercher la viande et surtout le vin. La sœur et le brigadier Tatouvu furent désignés pour cette corvée. Thomas voulut les accompagner et monta derrière. La sœur se mit devant lui et le brigadier monta au volant. Il n'arrivait pas à introduire la clef de démarrage dans le lecteur. Il avait déjà beaucoup bu depuis le matin. Même si le temps était revenu normal et bien qu'il ne fut que neuf heures, l'homme était pour tout dire totalement ivre.
- Alors, qu'est-ce que tu fais espèce de poireau Charentais, tu fais du rap, tu cherches le premier rôle de composition ou tu vas nous donner l'heure ?
- Pourquoi lui demandez-vous, s'il va nous donner l'heure, sœur Mathilde, lui dit Thomas.
- Simplement parce qu'il se balance comme un balancier de Comtoise lol.
Le brigadier se boucha un œil et mit la carte puis, il démarra et s'écria, deuxième vielle brebis, puis, il cala au milieu de la route.
- Tu es sourde espèce de moine d'opéra. Je t'ai dit deuxième. Tu ne vois pas que j'ai encore hérité de la voiture pour borgne. Dans cette voiture toutes les commandes sont en doubles et je suis obligé de me boucher un yeux...
- Nous disons un œil, brigadier, le reprit Thomas, se a quoi le brigadier continua.
- Mon yeux qu'on dit des œil, je m'en fous, j'explique le problème de cette voiture de borgne. Donc si, je me bouche un yeux, je ne peux pas passer les vitesses et tenir le volant. Tu as compris l'espèce de danseuse à flûte pour bétonnière Irlandaise. Si, je conduis à deux pieds, je main la deux route, alors fait ton fromage vielle brebis et passe les bandes blanches hic.
Et c'est ainsi que la Dacia redémarra en ayant le hoquet autant que son conducteur. Il zigzaguait dans tous les sens et la foule s'écarta pour le laisser passer. Arrivé au bout, il tourna le volant tellement fort qu'il partait totalement sur la gauche. Pris de panique, la sœur voulut passer sa jambe entre les jambes du brigadier pour freiner. Elle appuya sur sa jambe droite et Tatouvu accéléra à fond. Le brigadier tira encore plus sur le volant toujours à gauche et la voiture reprit la direction opposée vers l'estrade où Mike et le Pape, mettait au point la sonorisation. La foule paniquée s'enfuyait et la Dacia finit sa course contre l'estrade. Le pape qui était juste sur le bord chuta et se retrouva assis sur le toit de l'auto. Mike, qui était sur le côté, passa à travers l'éventration des planches et passa par la vitre ouverte de sœur Mathilde pour finir sur ses genoux. La scène était carnavalesque. Le klaxon était resté coincé et hurlait autant qu'il le pouvait. Le brigadier était furax.
- Tu as fait des bureaux espèce de crêpière corse. Tu as déconnecté le bouchon de la bouteille hic.
Puis le brigadier ouvrit sa porte et tomba à côté de la voiture accidentée avant de s'endormir.
Le Pépère devant l'Élysée fit apparaître son hélicoptère et Turbo fut le premier à monter dedans. Un pêcheur s'écria ;
- Toc toc toc, enfin nous repartons toc toc toc, fais attention à mon bec une fois en l'air, toc toc toc.
- Fle fle fle, moi aussi, je suis pressé de retrouver le canal fle fle fle.
La journaliste, vint vers Pépère pour le saluer et lui dit.
- Alors c'est fini pour le moment, les nez rouges et les foies jaunes.
- Oui, je ramène mes amis sur la commune de Sancoins, nous verrons bien par la suite les nez rouges.
- Mais d'ailleurs Pépère pourquoi les hommes ont le nez rouge quand, ils boivent, ça reste un mystère.
- Moi, je sais pourquoi c'est parce qu'il y a un réactif dans le vin, c'est un procédé de mon invention.
- Ha bon et quel en est l'intérêt ? Je ne comprends pas !
-Toc toc toc, ça sert à quoi encore toc toc toc.
- Je vais vous l'expliquer mon mes amis. Voilà, j'ai inventé ce procédé pour le vin au douzième siècle. Sous Louis six le gros. C'était un ami et fin connaisseur en poulet aussi, on s'en ai fait des orgies bref. À cette époque, je travaillais dans un institut de recherche en transport ferroviaire et les roues des trains étaient en pierre. Les chariots en étaient équipés aussi. Le problème à l'époque, c'est que les paysans buvaient beaucoup notamment de la bière du jâger et surtout du vin. En rentrant des tavernes, ils ne pouvaient plus diriger leurs chevaux. J'avais inventé un cheval électrique très bien imité pour résoudre le problème. Il avait un régulateur et un limiteur de vitesse, et même le GPS j'avais pensé à tout. Seulement, voilà, il pouvait galoper à cent quatre-vingts kilomètres à l'heure. Les roues en pierre étaient énormément lourdes et à cette vitesse elles se détachaient de l'essieu et bien souvent avec la vitesse elles détruisaient les maisons. Résultat mon invention fit beaucoup de mal sans que je le sache. J'étais isolé dans mon laboratoire et personne ne m'en eut apporté vent. L'année 1135 fut terrible la sécurité routière enregistra neuf mille accidents matériels en campagne et cinq mille sur autoroute. Un jour Louis vient me voir et me dit.
- Tranquille Pépère ça va ?
- Oui bien cousin, j'écoute Michael en travaillant.
Il me regarde et me dit.
- This is thriller Thriller night And no one’s gonna save you.... Bon bref non, je viens t'entretenir d'un grave problème voilà nos paysans sont des ivrognes et tes chevaux mécanique font flamber les radars automatiques et ont créé quatorze mille accidents sur le réseau national, Pépère Dieu tout-puissant enseignant de Michael, inventeur de l'écriture en bombe à tanguer que pouvons nous faire ?
- Pas de problème que je lui réponds, je vais inventer un réactif de façon à ce que les gens qui en boivent, aient le nez rouge. Puis je vais mettre un détecteur de teinte de visage sur les chevaux électriques. Voilà l'histoire qu'elle est vraie réelle, pas fausse cher journaliste de Tvchatfm.
- Allez, c'est parti mes amis.
- Toc toc toc, attention mon cou, toc toc toc.
- Fle fle fle, je vais retrouver ma marre fle fle fle.
- Super, je vais retrouver Sybage.
- Et moi la magnifique minette à la robe grise, s'exclama, Pépère.
C'est ainsi que la journaliste vit, Pépère dans son hélicoptère s'envoler jusqu'à ce qu'elle ne le voit plus du tout.
