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Pépère le chat du poète. Suite

#1
Ainos resta un moment devant la cabane ne sachant que faire. Elle repensait aux caresses du poète et un plaisir inconnu s'éveillait en elle. La fatigue se fit sentir et là encore, c'était une sensation inconnue pour les chats robots de Charnïa. La chatte sauta sur le fauteuil à Pépère et se coucha et s'endormit presque aussitôt. En haut dans les soucoupe c'était le désarroi total, le robot était définitivement perdu. Il fut donc décidé de préparer un deuxième chat robot pour le larguer. Malheureusement, et heureusement pour Ainos, les Charnïens avait besoin de l'avis de leurs supérieurs sur Charnïa.
Sur la planète, c'était un vrai désastre. Le fait d'avoir coupé l'électricité comme l'avait réalisé un œil était une catastrophe pour les ordinateurs de contrôle. La planète totale était sans électricité et les techniciens qui intervenaient ordinairement pour la maintenance venaient d'une planète voisine qui était en fait un satellite naturel de Charnïa. Cette minuscule planète d'un million d'habitants s'appelait Pèrépe qui fut choisit par le conseil supérieur de Charnïa en référence à Pépère puisque s'était l'anagramme de son nom. Cette planète était habitée par une sous-race des Charnïens qui avait quatre bras au lieu de deux et un cerveau plus volumineux ce qui permettait à cette espèce d'être ultra performant et très intelligent. Les Charnïens ne pouvaient plus établir de liaison avec Pérèpe et donc ils étaient dans l'impossibilité d'être dépanné et devaient se débrouiller seuls. Sans électricité, les échanges étaient compliqués. Les véhicules pour se déplacer sur la planète étaient un genre d'automobile qui n'avait pas de roue. Ces voitures suivaient des route qui étaient enfouis sous le sable et sous la glace pour la partie polaire de la planète. Elles se déplaçaient par un système d'induction, par conséquent les habitants se retrouvaient à pieds. En plus, tous les systèmes de fermeture des maisons ainsi que les usines ou les ateliers étaient aussi électriques avec une reconnaissance d'empreintes pour déverrouiller. La technologie de cette planète était à l'apogée, à contrario en cas de panne Charnïa se retrouvait à un âge préhistorique comme si nous déplacions notre époque terrestre au jurassique.
Du coup, les soucoupes sur Terre étaient contraintes elles aussi à l'immobilisme par faute de signaux venant de Charnïa.
C'était une bonne nouvelle pour Ainos qui risquait d'être détruite car rendu inutilisable pour une raison inconnue.
Quoi qu'il en soit la chatte robot était devenue animal avec des degrés affectifs et émotionnels. C'était un vrai chat dans un corps de robot. Seule une fée aurait pu lui rendre la vie en...
Les hommes du pentagone s'étaient enfin calmés. S'apercevant qu'il ne pouvait utiliser l'antenne, ils abandonnèrent en attendant de trouver des réponses à l'enquête qui était en cours.
Les deux juments et Chatdore étaient de nouveau répartis aux pays des rêves.
Momo de la maison avait aussi écouté ce méchant sifflement. Les autres animaux qui dormaient profondément n'y tinrent pas garde. La mère du poète, quant à elle, était dans tous ses états, car elle soupçonnait que ce soit son fils à côté qui faisait fonctionner un appareillage. Le pauvre Momo qui avait déjà l'ouïe sensible était irrité par autant d'agitation.
- Morbleu, mais que font-ils dehors. Cela va cesser un peu que je puisse dormir sans que mes oreilles tombent sur mes pattes. Diantre, quelle invention nous aura encore trouvé ce bougre de Pépère. Assurément, s'il fut un individu pour empêcher toute la commune de pourvoir à ses activités, ce fut bien ce chat mal appris qui entre nous a toujours sur lui une vilaine odeur de caca.
À Sancoins, le père, Mike était impatient que la fête commence. Les enfants aussi en avaient marre d'attendre dans le car des curés. Les habitants étaient tous pressés de participer au barbecue qui n'arrivait pas.
À la brasserie, la télé était allumée et les informations disaient que les foies jaunes qui étaient à Paris avaient tous été intoxiqués par le même virus. Ils étaient tous à l'hôpital où on leur avait diagnostiqué une gastro-entérite. Sur les réseaux sociaux, c'était la paranoïa et l'on affirmait qu'on voulait les empoisonner. Du coup, les différents groupes se mettaient en sommeil en attendant de revenir plus fort et plus nombreux disaient-ils tous ensemble.
- Hé bien, tu vois vielle guenon de Corse du Sud, le Pépère va revenir à présent et tu vas pouvoir vider des litres de villageoise en mangeant au barbecue. S'exclama le pape.
- Ce n'est pas trop espèce de vieux rhinocéros décorné par des fourmis d'Afghanistan. Je vais devoir bientôt reprendre la route, car ici, c'est le désert les bars fermant à dix-neuf heures, c'est une honte. Thomas vous repartirez avec moi n'est-ce pas.
- Écoutez ma sœur, je vais rester encore un peu dans la région, mais nous garderons contact.
Dans le champ face au canal, Leïlanne était à côté de la soucoupe à Chouânne. Elle relatait les exploits d'Elchaponne, Toublanc et Chouânne dans la délivrance du pape. Liettuje était contente et leur apprit que Pépère était sur le point de rentrer. Elle le surveillait par télépathie et apprit aux deux autres fées que Pépère était chatmoureux d'une minette à Mornay.
- Super, mon Tigrou amoureux, s'exclama Chouânne.
- Oui, mais il y a un petit problème sais-tu, Chouânne.
- Ha, bon, c'est grave ?
- Oui et non, j'aurais besoin de ton aide pour...
Au commissariat, les policiers finirent de manger toutes les victuailles. La nouvelle des foies jaunes était connue de tous car Nicolas l'avait vu sur son Facebook et l'avait relaté aux autres. Il était six heures du matin et les hommes devaient être relevés. La fête se terminait pour tout le monde. François et Carla devaient attendre la fin de leur garde à vue. Ils décidèrent de faire ensemble le nettoyage de la cellule et tout remettre en état en attendant leur libération.
- Comment allons-nous faire Carla, je n'ai pas trop l'habitude de ce genre de chose. C'est peut-être expliqué dans Oui-oui, je vais regarder, lui dit François.
- Non, non, tu confonds avec fantomette remet de l'ordre.
- Tu as raison Nicolas, j'ai lu le livre récemment, enfin, j'ai mis deux ans pour arriver à comprendre l'histoire en le lisant six fois de suite.
- Hé bien, tu vois François, tu vas y arriver. Je te dirai comment faire et tout ira bien. Et jette moi cette horrible dent posée sur la table.
- Ça non Carla, c'est pour la petite souris, ça, je l'ai appris dans Martine dans les nuages.
Le Doc décida de repartir à pieds cet, il avait de la famille à porte de la Chapelle. Nicolas tout bas se disait, enfin le boulet me lâche. Sybage et Lolo étaient prêts ainsi que Pêcheur et Coin-coin. Nicolas était embêté, car il n'avait pas de voiture.
Le Pépère prit la parole et demanda à Carla.
- Où est le scooter que tu as volé à François pour échapper aux crs.
- les policiers, l'ont ramassé et posé dans un local du commissariat, pourquoi ?
- Oui pourquoi ?
- Écoute François, je vais te le dire, je pourrais ramener Nicolas dessus, je sais piloter ce genre de véhicule que j'ai d'ailleurs inventé.
- Ha bon lui dit François !
- Toc toc toc si tu conduis un scooter comme une voiture toc toc toc, tu vas avoir du mal à lui casser le bec, mais tu vas lui tordre le cou, toc toc toc.
- Non ne t'inquiète pas Pêcheur. Voilà, je vais vous raconter l'histoire. C'était en quatorze cent quatre-vingt-quinze. À l'époque, j'assistais dans ses recherches de nouveaux continents, Christophe Colomb. Nous étions en Nouvelle-Guinée et le bougre avait imposé aux habitants qu'il soit réalisé un élevage d'autruche. Il était friand d'œuf à la coque et mangeait chaque matin trois œufs d'autruche ainsi préparée. Entre temps, j'ai dû retourner à mon époque pour débarrasser des produits chimiques pour mon rabougris de fête foraine élevé au cerfeuil transgénique d'Israël. Je devais vider les caisses dans l'enclos des sanglinuriums. Mais Christophe me tannait que les enclos n'étaient pas montés assez vite. Du coup, je m'en vais avec la chatlauréanne en oubliant les caisses. Du coup, je les ai fait enfouir discrètement à l'endroit où devaient être élevés les autruches. À cause des radiations chimiques, les bestioles se sont mises à avoir des dents de crocodile. Les éleveurs n'avaient pas le temps de ramasser l'œuf qu'ils devaient s'enfuir. Malheureusement, l'autruche courant plus vite, ils se faisaient dévorer. Christophe insistait quand même pour ses trois œufs le matin et son œuf de midi, de quatre heures et du soir. Il a été décidé d'utiliser des charrettes attelées à des bœufs pour fuir plus vite. Elles ne passaient pas dans les portes. Du coup, nous avons agrandi les ouvertures. Malheureusement, les charrettes qui à cette époque étaient en pierre avec des roues de pierre étaient très dures à faire aller vite. Le résultat était pire. Du coup les éleveurs ont saisis la cgt et se sont mis en grève. Christophe vient me voir complètement déprimé et m'explique le problème en me disant, toi Pépère l'inventeur du stylo qui corrige les fautes en écrivant toi l'inventeur du cassoulet et du couscous lyophilisé, que pouvons nous faire. C'est ainsi que j'ai inventé le scooter pour que les éleveurs puissent fuir rapidement après avoir ramassé les œufs. Voilà l'histoire qu'elle est vraie réelle et authentiquement pas fausse du scooter.
C'est ainsi que le Pépère décida d'emmener Nicolas chez lui. Pêcheur voulait l'accompagner de peur qu'il fasse une bêtise. Screenshot_20190216_193934.jpg peur qu'il fasse une bêtise.
 
#2
Ainos resta un moment devant la cabane ne sachant que faire. Elle repensait aux caresses du poète et un plaisir inconnu s'éveillait en elle. La fatigue se fit sentir et là encore, c'était une sensation inconnue pour les chats robots de Charnïa. La chatte sauta sur le fauteuil à Pépère et se coucha et s'endormit presque aussitôt. En haut dans les soucoupe c'était le désarroi total, le robot était définitivement perdu. Il fut donc décidé de préparer un deuxième chat robot pour le larguer. Malheureusement, et heureusement pour Ainos, les Charnïens avait besoin de l'avis de leurs supérieurs sur Charnïa.
Sur la planète, c'était un vrai désastre. Le fait d'avoir coupé l'électricité comme l'avait réalisé un œil était une catastrophe pour les ordinateurs de contrôle. La planète totale était sans électricité et les techniciens qui intervenaient ordinairement pour la maintenance venaient d'une planète voisine qui était en fait un satellite naturel de Charnïa. Cette minuscule planète d'un million d'habitants s'appelait Pèrépe qui fut choisit par le conseil supérieur de Charnïa en référence à Pépère puisque s'était l'anagramme de son nom. Cette planète était habitée par une sous-race des Charnïens qui avait quatre bras au lieu de deux et un cerveau plus volumineux ce qui permettait à cette espèce d'être ultra performant et très intelligent. Les Charnïens ne pouvaient plus établir de liaison avec Pérèpe et donc ils étaient dans l'impossibilité d'être dépanné et devaient se débrouiller seuls. Sans électricité, les échanges étaient compliqués. Les véhicules pour se déplacer sur la planète étaient un genre d'automobile qui n'avait pas de roue. Ces voitures suivaient des route qui étaient enfouis sous le sable et sous la glace pour la partie polaire de la planète. Elles se déplaçaient par un système d'induction, par conséquent les habitants se retrouvaient à pieds. En plus, tous les systèmes de fermeture des maisons ainsi que les usines ou les ateliers étaient aussi électriques avec une reconnaissance d'empreintes pour déverrouiller. La technologie de cette planète était à l'apogée, à contrario en cas de panne Charnïa se retrouvait à un âge préhistorique comme si nous déplacions notre époque terrestre au jurassique.
Du coup, les soucoupes sur Terre étaient contraintes elles aussi à l'immobilisme par faute de signaux venant de Charnïa.
C'était une bonne nouvelle pour Ainos qui risquait d'être détruite car rendu inutilisable pour une raison inconnue.
Quoi qu'il en soit la chatte robot était devenue animal avec des degrés affectifs et émotionnels. C'était un vrai chat dans un corps de robot. Seule une fée aurait pu lui rendre la vie en...
Les hommes du pentagone s'étaient enfin calmés. S'apercevant qu'il ne pouvait utiliser l'antenne, ils abandonnèrent en attendant de trouver des réponses à l'enquête qui était en cours.
Les deux juments et Chatdore étaient de nouveau répartis aux pays des rêves.
Momo de la maison avait aussi écouté ce méchant sifflement. Les autres animaux qui dormaient profondément n'y tinrent pas garde. La mère du poète, quant à elle, était dans tous ses états, car elle soupçonnait que ce soit son fils à côté qui faisait fonctionner un appareillage. Le pauvre Momo qui avait déjà l'ouïe sensible était irrité par autant d'agitation.
- Morbleu, mais que font-ils dehors. Cela va cesser un peu que je puisse dormir sans que mes oreilles tombent sur mes pattes. Diantre, quelle invention nous aura encore trouvé ce bougre de Pépère. Assurément, s'il fut un individu pour empêcher toute la commune de pourvoir à ses activités, ce fut bien ce chat mal appris qui entre nous a toujours sur lui une vilaine odeur de caca.
À Sancoins, le père, Mike était impatient que la fête commence. Les enfants aussi en avaient marre d'attendre dans le car des curés. Les habitants étaient tous pressés de participer au barbecue qui n'arrivait pas.
À la brasserie, la télé était allumée et les informations disaient que les foies jaunes qui étaient à Paris avaient tous été intoxiqués par le même virus. Ils étaient tous à l'hôpital où on leur avait diagnostiqué une gastro-entérite. Sur les réseaux sociaux, c'était la paranoïa et l'on affirmait qu'on voulait les empoisonner. Du coup, les différents groupes se mettaient en sommeil en attendant de revenir plus fort et plus nombreux disaient-ils tous ensemble.
- Hé bien, tu vois vielle guenon de Corse du Sud, le Pépère va revenir à présent et tu vas pouvoir vider des litres de villageoise en mangeant au barbecue. S'exclama le pape.
- Ce n'est pas trop espèce de vieux rhinocéros décorné par des fourmis d'Afghanistan. Je vais devoir bientôt reprendre la route, car ici, c'est le désert les bars fermant à dix-neuf heures, c'est une honte. Thomas vous repartirez avec moi n'est-ce pas.
- Écoutez ma sœur, je vais rester encore un peu dans la région, mais nous garderons contact.
Dans le champ face au canal, Leïlanne était à côté de la soucoupe à Chouânne. Elle relatait les exploits d'Elchaponne, Toublanc et Chouânne dans la délivrance du pape. Liettuje était contente et leur apprit que Pépère était sur le point de rentrer. Elle le surveillait par télépathie et apprit aux deux autres fées que Pépère était chatmoureux d'une minette à Mornay.
- Super, mon Tigrou amoureux, s'exclama Chouânne.
- Oui, mais il y a un petit problème sais-tu, Chouânne.
- Ha, bon, c'est grave ?
- Oui et non, j'aurais besoin de ton aide pour...
Au commissariat, les policiers finirent de manger toutes les victuailles. La nouvelle des foies jaunes était connue de tous car Nicolas l'avait vu sur son Facebook et l'avait relaté aux autres. Il était six heures du matin et les hommes devaient être relevés. La fête se terminait pour tout le monde. François et Carla devaient attendre la fin de leur garde à vue. Ils décidèrent de faire ensemble le nettoyage de la cellule et tout remettre en état en attendant leur libération.
- Comment allons-nous faire Carla, je n'ai pas trop l'habitude de ce genre de chose. C'est peut-être expliqué dans Oui-oui, je vais regarder, lui dit François.
- Non, non, tu confonds avec fantomette remet de l'ordre.
- Tu as raison Nicolas, j'ai lu le livre récemment, enfin, j'ai mis deux ans pour arriver à comprendre l'histoire en le lisant six fois de suite.
- Hé bien, tu vois François, tu vas y arriver. Je te dirai comment faire et tout ira bien. Et jette moi cette horrible dent posée sur la table.
- Ça non Carla, c'est pour la petite souris, ça, je l'ai appris dans Martine dans les nuages.
Le Doc décida de repartir à pieds cet, il avait de la famille à porte de la Chapelle. Nicolas tout bas se disait, enfin le boulet me lâche. Sybage et Lolo étaient prêts ainsi que Pêcheur et Coin-coin. Nicolas était embêté, car il n'avait pas de voiture.
Le Pépère prit la parole et demanda à Carla.
- Où est le scooter que tu as volé à François pour échapper aux crs.
- les policiers, l'ont ramassé et posé dans un local du commissariat, pourquoi ?
- Oui pourquoi ?
- Écoute François, je vais te le dire, je pourrais ramener Nicolas dessus, je sais piloter ce genre de véhicule que j'ai d'ailleurs inventé.
- Ha bon lui dit François !
- Toc toc toc si tu conduis un scooter comme une voiture toc toc toc, tu vas avoir du mal à lui casser le bec, mais tu vas lui tordre le cou, toc toc toc.
- Non ne t'inquiète pas Pêcheur. Voilà, je vais vous raconter l'histoire. C'était en quatorze cent quatre-vingt-quinze. À l'époque, j'assistais dans ses recherches de nouveaux continents, Christophe Colomb. Nous étions en Nouvelle-Guinée et le bougre avait imposé aux habitants qu'il soit réalisé un élevage d'autruche. Il était friand d'œuf à la coque et mangeait chaque matin trois œufs d'autruche ainsi préparée. Entre temps, j'ai dû retourner à mon époque pour débarrasser des produits chimiques pour mon rabougris de fête foraine élevé au cerfeuil transgénique d'Israël. Je devais vider les caisses dans l'enclos des sanglinuriums. Mais Christophe me tannait que les enclos n'étaient pas montés assez vite. Du coup, je m'en vais avec la chatlauréanne en oubliant les caisses. Du coup, je les ai fait enfouir discrètement à l'endroit où devaient être élevés les autruches. À cause des radiations chimiques, les bestioles se sont mises à avoir des dents de crocodile. Les éleveurs n'avaient pas le temps de ramasser l'œuf qu'ils devaient s'enfuir. Malheureusement, l'autruche courant plus vite, ils se faisaient dévorer. Christophe insistait quand même pour ses trois œufs le matin et son œuf de midi, de quatre heures et du soir. Il a été décidé d'utiliser des charrettes attelées à des bœufs pour fuir plus vite. Elles ne passaient pas dans les portes. Du coup, nous avons agrandi les ouvertures. Malheureusement, les charrettes qui à cette époque étaient en pierre avec des roues de pierre étaient très dures à faire aller vite. Le résultat était pire. Du coup les éleveurs ont saisis la cgt et se sont mis en grève. Christophe vient me voir complètement déprimé et m'explique le problème en me disant, toi Pépère l'inventeur du stylo qui corrige les fautes en écrivant toi l'inventeur du cassoulet et du couscous lyophilisé, que pouvons nous faire. C'est ainsi que j'ai inventé le scooter pour que les éleveurs puissent fuir rapidement après avoir ramassé les œufs. Voilà l'histoire qu'elle est vraie réelle et authentiquement pas fausse du scooter.
C'est ainsi que le Pépère décida d'emmener Nicolas chez lui. Pêcheur voulait l'accompagner de peur qu'il fasse une bêtise. Afficher la pièce jointe 21838 peur qu'il fasse une bêtise.
Merci Daniel. Je reviendrais le lire demain car là je n'ai pas la tête.
Amicalement
Gaby