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Pépère le chat du poète. Suite.

#1
Ainos était toujours devant, Cookie, Momo, Lucie et Chatdore. La chatte, robot devait attendre que l'un d'eux parle pour analyser la langue pour répondre. Sa mémoire contenait toutes les langues, parlées sur la terre, mais pour le moment, elle était toujours dotée de celle des Charnïens. Si Chatdore était en administration devant la minette, Momo quant à lui, trouvait ses yeux étranges et sans réflexions, cela le questionnait énormément.
- Qui es-tu ? Je ne t'ai jamais vu dans les parages jolie chatmoiselle.
Lui demanda Lolo en minaudant.
- Bonjour, je m'appelle Ainos et mes maîtres habitent au bout de la rue. J'ai vu les chevaux au loin et je suis venue voir pour faire connaissance et vous qui êtes-vous ?
- Bonjour, de mon état-civil, je me prénomme Maurice, mais en ces contrées l'on m'appelle Momo et cela me sied à merveille, jeune fille. Bienvenue en notre humble village, où malheureusement la tranquillité est fortement compromise depuis l'arrivée d'un étrange phénomène, que l'on dit s'appeler Pépère.
- Bonjour, moi, c'est Chatdore et je suis d'à côté, la maison que tu vois derrière le noyer. Je suis un sacré de Birmanie, l'un des chats les plus beaux au monde chatmoiselle.
- Hiii, moi c'est Cookie et ici, c'est mon champ. Derrière moi, c'est ma maison et dans l'autre bout du pré hiii se sont des bandits, hiii des pirates hiii, des amis cacateux à Pépère hiii.
- Bonjour, moi c'est Lucie et je suis ici depuis deux jours. Moi, j'adore Pépère, c'est un super-héros et il a fait des centaines de missions extraordinaires. Lui et son assistant Lolo et Turbo, sont mes mégas love héros.
Ainos était contente, elle avait déjà des informations sur Pépère et elle transmettait les informations aux soucoupes au-dessus d'elle. Momo, l'observait et trouvait ses gestes trop parfaits, comme si elle exécutait un rôle à jouer. Les autres animaux ne virent rien de particulier, mais n'avaient pas le discernement de Momo ni son intuition. La minette laissa les choses aller ne voulant pas monter que son intérêt premier était de savoir où était le Pépère. Malgré son intelligence artificielle, la chatte se sentait perturbée. Le poète avait installé sur son terrain un émetteur-récepteur de mobile, car il n'avait pas de réseau sans cet équipement. Les ondes modifiaient considérablement les facultés de ses processeurs et cela était un bug inconnu des Charnïens qui n'utilisant pas ces fréquences l'ignoraient. Ces chats robots avaient déjà fait leur preuve sur Charnïa qui était dépourvue de ces systèmes de télécommunication, tout du moins, elles fonctionnaient d'une autre manière.
À Sancoins, le poète, était retourné à la brigade récupérer sa voiture. Il avait appelé son amoureuse pour lui raconter son histoire et cela lui parut aussi complètement insensé. Il répartit directement vers Mornay sans ne rien demander à personne. En dix minutes, il fut arrivé sur son terrain. En passant le long de la clôture, il vit tous les chats avec Cookie et se demandait aussi quel était ce chat inconnu. Il partit vers son chalet et désirait boire un café. Tous ces événements lui avaient donné faim et il salivait à l'avance, sachant les crêpes sur son bureau prêtes à être dévorées.
Le Pépère entre temps était monté dans l'hélicoptère avec Coin-coin et Pêcheur donc ils lui étaient tous invisibles.
L'homme déverrouilla la porte et partit directement à son bureau où vingt délicieuses crêpes l'attendaient.
Coin-coin était sur le siège à côté de Pépère et Pêcheur regardait de l'autre côté, si bien qu'aucun des deux ne vit le poète arriver et entrer dans son chalet. Le Pépère par contre, l'avait parfaitement vu et dans ses yeux défilaient des crêpes comme des Dollars dans les yeux d'un héros de dessins animés.
- Bon les amis, nous repartons vers le commissariat de police. Mais suis-je distrait, mes Nike sont toutes sales, je m'en vais les nettoyer, j'ai du cirage à côté de la cabane.
Il démarra l'hélicoptère prêt à partir. Il avait toujours l'appréhension du petit chat qui lui faisait extrêmement peur. Il arriva vers la porte et colla son oreille contre le bois de la porte. Il crut s'évanouir, car il sentait l'odeur et écoutait le poète manger. Il sauta sur la chaise et regarda à travers la vitre. Le poète était au téléphone en même temps qu'il mangeait et buvait son café. Le Pépère se demandait comment faire diversion pour que la porte s'ouvre et qu'il puisse chiper deux ou trois crêpes.
- Tu es sûr que c'est un gendarme ou un foie jaune ton bonhomme. Quand même te faire transporter du vin pour le pape et une bonne sœur en plus.
- Si, si, chérie, je te l'affirme. Je l'ai ramassé sur la commune en allant chercher le gaz et... ho mince...
- C'est quoi ce bruit dans le téléphone qu'est-ce que tu fais ? Tu es où ? Tu manges où quoi ?
- À la cabane chérie, je viens de te le dire. Je fais du ménage en même temps. Non, je ne mange pas tout le temps quand même. Oui, j'ai oublié le gaz en fait voilà ce que je voulais dire. Ho, tu veux un coup de main toi dehors. Salopard, il est pendu devant la vitre et il urine.
- Qu'est-ce que c'est ?
- La grosse tête à Pépère, attend je pose le téléphone.
Le Pépère pour faire diversion s'était agrippé au-dessus de la vitre les pattes arrières dans le vite. Il tapait sur les vitres et urinait en même temps qu'il criait à l'intention du poète.
- Hé, boit sans soif céréalier semeur de bouteilles de cognac. Lâche moi ces crêpes et fait péter l'assiette dehors que je m'en occupe espèce d'ivrogne. Estime toi heureux, je fais pipi de l'intelligence et tu vas en avoir de la graine.
Il fut surpris par la porte qui s'ouvrit et se laissa tomber sur la chaise qui basculant dans le vide le fit rouler en bas de la plate-forme.
- Pépère, tu vas bien ? Pépère tu ne t'es pas fait de mal, Pépère viens, j'ai une crêpe pour toi.
Le Pépère était caché et attendait que le poète descende pour lui aller voler des crêpes en franchissant la porte restée entrouverte.
- Soûlard, tu vas bien ? Tu n'as pas trop picolé ? Viens, j'ai des belles bouteilles pour toi.
Le poète était descendu et le Pépère qui était sur le côté, grimpa sur la plate-forme et rentra dans la cabane sauta sur la chaise et mangea cinq crêpes en l'espace d'une minute pendant que son maître le cherchait à l'extérieur. C'est ainsi qu'il vit le Pépère passer en courant devant lui et disparaître. Il était monté dans l'hélicoptère et le poète s'exclama une fois de plus.
- Ça, alors, c'est inimaginable, il a disparu. C'est une hallucination, ce n'est pas possible.
En parlant, il était retourné vers son bureau et regardant l'assiette se dit tout haut.
- Il en reste cinq et je n'en ai mangé que dix sur vingt, c'est bizarre. Ça doit être la fatigue.
Le Pépère quant à lui était déjà dans le ciel en direction de Paris.
- Toc toc toc, tes chaussures sont toujours, aussi sales toc toc toc, c'est du cirage d'occasion, toc toc toc, que tu as mis dessus.
- Fle fle fle tu sens la crêpe fle fle fle, tu as mangé ?
Et le Pépère qui en avait encore plein la gueule répondit.
- Che n'ai pas chrouver le chirage gloup, oui le cirage avait disparu. Mon soûlard Armoricain décapsuleur d'huître à Ricard me l'a volé certainement pour se teindre les cheveux en noirs car il a honte d'avoir des cheveux blonds qui est le signe des gros buveur de bière et ainsi ne pas passer pour ce qu'il est, c'est-à-dire un alcoolique notoire.



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#2
Ainos était toujours devant, Cookie, Momo, Lucie et Chatdore. La chatte, robot devait attendre que l'un d'eux parle pour analyser la langue pour répondre. Sa mémoire contenait toutes les langues, parlées sur la terre, mais pour le moment, elle était toujours dotée de celle des Charnïens. Si Chatdore était en administration devant la minette, Momo quant à lui, trouvait ses yeux étranges et sans réflexions, cela le questionnait énormément.
- Qui es-tu ? Je ne t'ai jamais vu dans les parages jolie chatmoiselle.
Lui demanda Lolo en minaudant.
- Bonjour, je m'appelle Ainos et mes maîtres habitent au bout de la rue. J'ai vu les chevaux au loin et je suis venue voir pour faire connaissance et vous qui êtes-vous ?
- Bonjour, de mon état-civil, je me prénomme Maurice, mais en ces contrées l'on m'appelle Momo et cela me sied à merveille, jeune fille. Bienvenue en notre humble village, où malheureusement la tranquillité est fortement compromise depuis l'arrivée d'un étrange phénomène, que l'on dit s'appeler Pépère.
- Bonjour, moi, c'est Chatdore et je suis d'à côté, la maison que tu vois derrière le noyer. Je suis un sacré de Birmanie, l'un des chats les plus beaux au monde chatmoiselle.
- Hiii, moi c'est Cookie et ici, c'est mon champ. Derrière moi, c'est ma maison et dans l'autre bout du pré hiii se sont des bandits, hiii des pirates hiii, des amis cacateux à Pépère hiii.
- Bonjour, moi c'est Lucie et je suis ici depuis deux jours. Moi, j'adore Pépère, c'est un super-héros et il a fait des centaines de missions extraordinaires. Lui et son assistant Lolo et Turbo, sont mes mégas love héros.
Ainos était contente, elle avait déjà des informations sur Pépère et elle transmettait les informations aux soucoupes au-dessus d'elle. Momo, l'observait et trouvait ses gestes trop parfaits, comme si elle exécutait un rôle à jouer. Les autres animaux ne virent rien de particulier, mais n'avaient pas le discernement de Momo ni son intuition. La minette laissa les choses aller ne voulant pas monter que son intérêt premier était de savoir où était le Pépère. Malgré son intelligence artificielle, la chatte se sentait perturbée. Le poète avait installé sur son terrain un émetteur-récepteur de mobile, car il n'avait pas de réseau sans cet équipement. Les ondes modifiaient considérablement les facultés de ses processeurs et cela était un bug inconnu des Charnïens qui n'utilisant pas ces fréquences l'ignoraient. Ces chats robots avaient déjà fait leur preuve sur Charnïa qui était dépourvue de ces systèmes de télécommunication, tout du moins, elles fonctionnaient d'une autre manière.
À Sancoins, le poète, était retourné à la brigade récupérer sa voiture. Il avait appelé son amoureuse pour lui raconter son histoire et cela lui parut aussi complètement insensé. Il répartit directement vers Mornay sans ne rien demander à personne. En dix minutes, il fut arrivé sur son terrain. En passant le long de la clôture, il vit tous les chats avec Cookie et se demandait aussi quel était ce chat inconnu. Il partit vers son chalet et désirait boire un café. Tous ces événements lui avaient donné faim et il salivait à l'avance, sachant les crêpes sur son bureau prêtes à être dévorées.
Le Pépère entre temps était monté dans l'hélicoptère avec Coin-coin et Pêcheur donc ils lui étaient tous invisibles.
L'homme déverrouilla la porte et partit directement à son bureau où vingt délicieuses crêpes l'attendaient.
Coin-coin était sur le siège à côté de Pépère et Pêcheur regardait de l'autre côté, si bien qu'aucun des deux ne vit le poète arriver et entrer dans son chalet. Le Pépère par contre, l'avait parfaitement vu et dans ses yeux défilaient des crêpes comme des Dollars dans les yeux d'un héros de dessins animés.
- Bon les amis, nous repartons vers le commissariat de police. Mais suis-je distrait, mes Nike sont toutes sales, je m'en vais les nettoyer, j'ai du cirage à côté de la cabane.
Il démarra l'hélicoptère prêt à partir. Il avait toujours l'appréhension du petit chat qui lui faisait extrêmement peur. Il arriva vers la porte et colla son oreille contre le bois de la porte. Il crut s'évanouir, car il sentait l'odeur et écoutait le poète manger. Il sauta sur la chaise et regarda à travers la vitre. Le poète était au téléphone en même temps qu'il mangeait et buvait son café. Le Pépère se demandait comment faire diversion pour que la porte s'ouvre et qu'il puisse chiper deux ou trois crêpes.
- Tu es sûr que c'est un gendarme ou un foie jaune ton bonhomme. Quand même te faire transporter du vin pour le pape et une bonne sœur en plus.
- Si, si, chérie, je te l'affirme. Je l'ai ramassé sur la commune en allant chercher le gaz et... ho mince...
- C'est quoi ce bruit dans le téléphone qu'est-ce que tu fais ? Tu es où ? Tu manges où quoi ?
- À la cabane chérie, je viens de te le dire. Je fais du ménage en même temps. Non, je ne mange pas tout le temps quand même. Oui, j'ai oublié le gaz en fait voilà ce que je voulais dire. Ho, tu veux un coup de main toi dehors. Salopard, il est pendu devant la vitre et il urine.
- Qu'est-ce que c'est ?
- La grosse tête à Pépère, attend je pose le téléphone.
Le Pépère pour faire diversion s'était agrippé au-dessus de la vitre les pattes arrières dans le vite. Il tapait sur les vitres et urinait en même temps qu'il criait à l'intention du poète.
- Hé, boit sans soif céréalier semeur de bouteilles de cognac. Lâche moi ces crêpes et fait péter l'assiette dehors que je m'en occupe espèce d'ivrogne. Estime toi heureux, je fais pipi de l'intelligence et tu vas en avoir de la graine.
Il fut surpris par la porte qui s'ouvrit et se laissa tomber sur la chaise qui basculant dans le vide le fit rouler en bas de la plate-forme.
- Pépère, tu vas bien ? Pépère tu ne t'es pas fait de mal, Pépère viens, j'ai une crêpe pour toi.
Le Pépère était caché et attendait que le poète descende pour lui aller voler des crêpes en franchissant la porte restée entrouverte.
- Soûlard, tu vas bien ? Tu n'as pas trop picolé ? Viens, j'ai des belles bouteilles pour toi.
Le poète était descendu et le Pépère qui était sur le côté, grimpa sur la plate-forme et rentra dans la cabane sauta sur la chaise et mangea cinq crêpes en l'espace d'une minute pendant que son maître le cherchait à l'extérieur. C'est ainsi qu'il vit le Pépère passer en courant devant lui et disparaître. Il était monté dans l'hélicoptère et le poète s'exclama une fois de plus.
- Ça, alors, c'est inimaginable, il a disparu. C'est une hallucination, ce n'est pas possible.
En parlant, il était retourné vers son bureau et regardant l'assiette se dit tout haut.
- Il en reste cinq et je n'en ai mangé que dix sur vingt, c'est bizarre. Ça doit être la fatigue.
Le Pépère quant à lui était déjà dans le ciel en direction de Paris.
- Toc toc toc, tes chaussures sont toujours, aussi sales toc toc toc, c'est du cirage d'occasion, toc toc toc, que tu as mis dessus.
- Fle fle fle tu sens la crêpe fle fle fle, tu as mangé ?
Et le Pépère qui en avait encore plein la gueule répondit.
- Che n'ai pas chrouver le chirage gloup, oui le cirage avait disparu. Mon soûlard Armoricain décapsuleur d'huître à Ricard me l'a volé certainement pour se teindre les cheveux en noirs car il a honte d'avoir des cheveux blonds qui est le signe des gros buveur de bière et ainsi ne pas passer pour ce qu'il est, c'est-à-dire un alcoolique notoire.



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Mmmmm toutes ces crêpes
Bel épisode. Je sus impatient d'entendre parler ainos. Demain peut être
Amicalement
Gaby