Nous utilisons des cookies pour vous garantir la meilleure expérience sur notre site web.
Si vous continuez à utiliser ce site, nous supposerons que vous en êtes satisfait.

  • Visiteur, merci de ne pas poster plus de 5 poèmes par jour. Ceci dans le but d'améliorer la visibilité du site.

Pépère le chat du poète. Suite

#1
- C'est toujours intéressant tes histoires Pépère.
- C'est parce qu'elles sont vraie réelles pas fausses.
Le poète répartit vers son chalet. Il était vingt heures trente et la nuit avait déjà jeté son linceul sur les prés. Il marchait avec une lampe à la main et le faisceau se dirigeait en tout sens. Lolo vit la lumière qui zébrait le ciel et regardait le Pépère.
- Qu'est ce que c'est mon copain.
- Attention c'est peut-être un vaisseau qui vient pour voir le gozila qu'il a ramené à la maison.
- C'est peut-être simplement un petit chat pourquoi veux-tu que ce soit une mutante.
- Si je le sais, figure toi que tout à l'heure je suis passé par là bas. J'étais sur la fenêtre je regardais ce que faisait le sac à vin. J'ai vu son regard ses yeux sont des caméras infrarouges et ses griffes sont en titane d'ailleurs Alain Melon me l'a confirmé.
Le poète apparut dans l'allée et dirigea le faisceau de lumière en direction de la cabane.
- Hé bien les enfants ça va. J'ai laissé Bibou à la maison. Pépère tu devrais rentré car tu es à peine remi de ton coryza.
Il se dirigea vers la porte, le Pépère comprenant qu'il allait être ramené à la maison fuya à pattes rabattues et le pauvre Lolo resta tout seul. Le Pépère se réfugia sous un sapin et attendit.
- Arf arf arf, va te faire cuire une cuisse de gigonotus poivrot. Arf arf arf, je suis essoufflé maintenant à cause de toi sac à vinasse Canadien.
Le poète dirigea la lampe vers la sapinière mais, il ne le voyait pas.
- Pépère, Pépère, vient mon gamin j'ai des croquettes, c'est pour qui les bonnes croquettes, Pépère, j'ai de la boîte aussi, Pépère c'est pour qui la bonne boiboite.
- Poivrot, poivrot, va te faire voir soûlard va retrouver ta soûlarde rubiconde qui dort à l'auberge des moines dans les WC. Poivrot poivrot c'est pour qui la bonne vinasse. Poivrot c'est pour qui le vivin, tu me prends pour un débile.
Le poète voyant que le Pépère avait disparu retourna vers la cabane du chien et caressa Lolo.
- Hé bien gamin tu n'as pas de maison. Tu es toujours là tu me surveilles où quoi.
Il se releva et partit en direction de son chalet, Lolo attendit que la porte se ferme et partit espionner en attendant le retour du Pépère.
Le poète était au téléphone et Lolo enregistrait tout ce qu'il disait pour son chef.
Le Pépère revint vers la cabane et recevait les messages de lolo qui ne comprenait rien de ce qu'il écoutait.
- La soûlarde devait contacter le chauffeur de car qui a voler un scooter. Elle n'a pas pu l'appeler car elle a un os qui pousse dans l'oreille. Du coup elle a pris un rendez-vous avec un cardiologue. Le fil de son casque de téléphone a cassé car elle a cru que c'était des lacets et quelqu'un est venu chez elle pour couper une table avec une tronçonneuse. Voilà chef j'attends vos instructions général Pépère.
- Hé bien, ça a dû picoler sévère revient à la cabane mon coéquipier, je suis de retour.
Lolo retourna le voir satisfait d'avoir réalisé sa mission.
- Je suis la Pépère ça va.
- Oui tu as vu comme les chevaux de corbillard, j'ai couru comme un désoreillé, personne ne peut me battre à la course.
- je ne vois pas le rapport, entre un corbillard et les chevaux et des oreilles.
- Laisse moi t'expliquer. Voilà avant le corbillard, les cercueils étaient tirés par des chevaux. On mettait des roues au cercueil. Le problème c'est que le poids d'un corps est différent quand tu meurs. Il faut savoir que dans certains cas après certains types de maladies quand tu décédes le corps peut se transformer en métal ou en pierre et c'est extrêmement lourd. Les chevaux peinaient énormément et le vent les ralentissait à cause de leurs oreilles. Pour supprimer la prise au vent on leur coupait les oreilles. Malheureusement ils devenaient mal entendant alors ils devaient se concentrer sur ce qu'ils faisaient et ils étaient épuisé. D'où l'expression courir comme un désoreillé. Par la suite on leur donnait moins à mangé pour qu'il soient plus léger du ventre et respirent mieux. C'était encore pire puis on leur a greffé les oreilles sur le derrière mais quand ils faisaient des pets ils étaient effrayés. Un jour Dieu vient me voir et me dit. Pépère c'est un grave problème, les enterrement durent si longtemps que nos pèlerins meurent en route. Oui il faut savoir que des fois le cimetière était très loin de l'église et le pauvre cheval mettait dès fois trois à six mois pour faire le trajet et les hommes mourraient derrière de faim. Le résultat un enterrement en faisant derrière quinze ou vingt les petits villages se dépeuplaient à grand pas. Donc dieu m'a dit, c'est une catastrophe les anges attendent et je ne peux pas les payer quand ils ne travaillent pas durant trois mois. Résultat j'ai FO et la CGT sur le dos, j'ai déjà trente plaintes au prud'hommes que pouvons nous faire. J'ai inventé le corbillard motorisé avec moteur électrique pour des mesures écologiques. Voilà copain- C'est toujours intéressant tes histoires Pépère.
- C'est parce qu'elles sont vraie réelles pas fausses.
Le poète répartit vers son chalet. Il était vingt heures trente et la nuit avait déjà jeté son linceul sur les prés. Il marchait avec une lampe à la main et le faisceau se dirigeait en tout sens. Lolo vit la lumière qui zébrait le ciel et regardait le Pépère.
- Qu'est ce que c'est mon copain.
- Attention c'est peut-être un vaisseau qui vient pour voir le gozila qu'il a ramené à la maison.
- C'est peut-être simplement un petit chat pourquoi veux-tu que ce soit une mutante.
- Si je le sais, figure toi que tout à l'heure je suis passé par là bas. J'étais sur la fenêtre je regardais ce que faisait le sac à vin. J'ai vu son regard ses yeux sont des caméras infrarouges et ses griffes sont en titane d'ailleurs Alain Melon me l'a confirmé.
Le poète apparut dans l'allée et dirigea le faisceau de lumière en direction de la cabane.
- Hé bien les enfants ça va. J'ai laissé Bibou à la maison. Pépère tu devrais rentré car tu es à peine remi de ton coryza.
Il se dirigea vers la porte, le Pépère comprenant qu'il allait être ramené à la maison fuya à pattes rabattues et le pauvre Lolo resta tout seul. Le Pépère se réfugia sous un sapin et attendit.
- Arf arf arf, va te faire cuire une cuisse de gigonotus poivrot. Arf arf arf, je suis essoufflé maintenant à cause de toi sac à vinasse Canadien.
Le poète dirigea la lampe vers la sapinière mais, il ne le voyait pas.
- Pépère, Pépère, vient mon gamin j'ai des croquettes, c'est pour qui les bonnes croquettes, Pépère, j'ai de la boîte aussi, Pépère c'est pour qui la bonne boiboite.
- Poivrot, poivrot, va te faire voir soûlard va retrouver ta soûlarde rubiconde qui dort à l'auberge des moines dans les WC. Poivrot poivrot c'est pour qui la bonne vinasse. Poivrot c'est pour qui le vivin, tu me prends pour un débile.
Le poète voyant que le Pépère avait disparu retourna vers la cabane du chien et caressa Lolo.
- Hé bien gamin tu n'as pas de maison. Tu es toujours là tu me surveilles où quoi.
Il se releva et partit en direction de son chalet, Lolo attendit que la porte se ferme et partit espionner en attendant le retour du Pépère.
Le poète était au téléphone et Lolo enregistrait tout ce qu'il disait pour son chef.
Le Pépère revint vers la cabane et recevait les messages de lolo qui ne comprenait rien de ce qu'il écoutait.
- La soûlarde devait contacter le chauffeur de car qui a voler un scooter. Elle n'a pas pu l'appeler car elle a un os qui pousse dans l'oreille. Du coup elle a pris un rendez-vous avec un cardiologue. Le fil de son casque de téléphone a cassé car elle a cru que c'était des lacets et quelqu'un est venu chez elle pour couper une table avec une tronçonneuse. Voilà chef j'attends vos instructions général Pépère.
- Hé bien, ça a dû picoler sévère revient à la cabane mon coéquipier, je suis de retour.
Lolo retourna le voir satisfait d'avoir réalisé sa mission.
- Je suis la Pépère ça va.
- Oui tu as vu comme les chevaux de corbillard, j'ai couru comme un désoreillé, personne ne peut me battre à la course.
- je ne vois pas le rapport, entre un corbillard et les chevaux et des oreilles.
- Laisse moi t'expliquer. Voilà avant le corbillard, les cercueils étaient tirés par des chevaux. On mettait des roues au cercueil. Le problème c'est que le poids d'un corps est différent quand tu meurs. Il faut savoir que dans certains cas après certains types de maladies quand tu décédes le corps peut se transformer en métal ou en pierre et c'est extrêmement lourd. Les chevaux peinaient énormément et le vent les ralentissait à cause de leurs oreilles. Pour supprimer la prise au vent on leur coupait les oreilles. Malheureusement ils devenaient mal entendant alors ils devaient se concentrer sur ce qu'ils faisaient et ils étaient épuisé. D'où l'expression courir comme un désoreillé. Par la suite on leur donnait moins à mangé pour qu'il soient plus léger du ventre et respirent mieux. C'était encore pire puis on leur a greffé les oreilles sur le derrière mais quand ils faisaient des pets ils étaient effrayés. Un jour Dieu vient me voir et me dit. Pépère c'est un grave problème, les enterrement durent si longtemps que nos pèlerins meurent en route. Oui il faut savoir que des fois le cimetière était très loin de l'église et le pauvre cheval mettait dès fois trois à six mois pour faire le trajet et les hommes mourraient derrière de faim. Le résultat un enterrement en faisant derrière quinze ou vingt les petits villages se dépeuplaient à grand pas. Donc dieu m'a dit, c'est une catastrophe les anges attendent et je ne peux pas les payer quand ils ne travaillent pas durant trois mois. Résultat j'ai FO et la CGT sur le dos, j'ai déjà trente plaintes au prud'hommes que pouvons nous faire. J'ai inventé le corbillard motorisé avec moteur électrique pour des mesures écologiques. Voilà copain.

La suite bientôt.


.

La suite bientôt.