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Pépère le chat du poète. Suite

#1
Pépère revint dix minutes plus tard. Junk le regarda et vit qu'il avait les pattes pleines de cambouis.
- Ce n'était qu'une fausse alerte. L'alarme de mon bunker à Paris qui s'était déclenchée pour rien. C'est réparé sinon je devais y aller d'urgence avec mon hélicoptère.
- Il y a une drôle d'odeur, Pépère tu ne trouves pas. Comment ce fait-il que tu aies les pattes pleines de cambouis.
- Le parfum jasmin que tu sens, mon pauvre loulou c'est la jument qui a une gastro terrible elle se repend partout. Figure toi que ses maîtres ont reçus une lettre de la mairie car les voisins se sont plaint du désagrément. Je lui ai pourtant donner un traitement homéopathique que j'ai inventé mais rien n'y fait. Quant à mes pattes c'est à cause du broncoli désèché qui a trafiqué ma chatlauréanne que j'ai du réparer avant qu'elle ne prenne feux. La prochaine fois qu'il la sabote le gaillard son compte est bon je l'ai prévenu, un coup de moustache et son chalet finira sur la lune. Et l'autre tu penses qu'il va revenir, il ne faut pas une heure pour manger, un ventre sur pattes, je t'assure.
Lolo était au calme à la maison. Il envoya un message au Pépère lui disant qu'il était bloqué à la maison. En réalité il avait envie de dormir. Prétextant que sa batterie était déchargée il éteignit son téléphone.
Fripouille était encore sonné de son cauchemar. Il était persuadé que c'était la peur dans la voiture du Pépère qui roulait comme un fou qui l'avait déclenché, ça et la coupure de journal qu'il avait lu. Il était presque vingt heures et Choûanne se reposait avant la réunion par télépathie avec la bande au complet sur terre. Leïlânne rentrait de sa mission sur Xyron et se demandait bien ce que ce fameux tigrou avait bien pu manger pour avoir une colique aussi nauséabonde.
Le poète sortit un instant et vint voir son chien dans la cabane.
- Ça va mon Bibou, ah Pépère tu es encore là, attendez, je fais une photo. Je te ramène d'ici vingt minutes à la maison mon joli gamin.
- Hé sac à Porto Canadien, tu vas nous foutre la paix. Puis au lieu de ne t'intéresser qu'à mon copain tu aurais mieux fait de me faire la révérence qui est due à un chat de ma noblesse non mais, et sache que l'on veut du cassoulet nous autres ce soir. Vingt minutes ça m'étonnerait tu n'auras pas fini de décuver, et ta soûlarde au fait elle fait toujours des bulles. Va plutôt apprendre la chanson de l'heure.
-C'est qoui la chanson de l'heure Pépère.
- C'est un titre que j'ai écrit pour les indiens en mille huit cent et qui a été réenregistré en mille neuf cent quatre-vingts seize par des indiens qui s'appellent les " j'ai mangé l'chorizo ". À l'origine j'ai écrit ce titre pour que les indiens qui attaquaient les train puissent communiquer d'une façon plus discrète que les signaux de fumée. Des qu'il voyait que le train était en retard ils chantaient.
- j'ai mangé l'chorizo et tic et tic et tac. Voilà mon copain c'est sympa non.



La suite bientôt.