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Pépère le chat du poète. Suite

#1
Cela l'avait soulagé d'écrire un peu et il repartit vers la cabane le poète étain en train d'écouter la messe.
- Hé poète fait péter du Traître Grims, et vire ton abbaye du lecteur non mais, c'est pas possible non !!!
- Ha tu es là gros pépère, tu écoutes ma musique elle te plaît on dirait.
- Gros, atcchhoum atcchhoum, tu t'es vu la ficelle, je t'en ficherais des gros. Ta musique, tu peux gardé les lacets de l'aube du moine pour te pendre et tes osties pour te curer les dents. Atcchhoum atcchhoum atcchhoum, ahhh grrrr, tu es dépressif c'est pas possible ça.
- Il faudrait que je l'essaie dans la xm ce CD de Haendel, tu en penses quoi gamin.
- Tu te fous de mes moustaches où quoi gringalet !! Atcchhoum, ta musique elle pue le fioul comme ta ruine sur roue.
- Viens par la gamin que je regarde tes yeux et ton nez, tu as l'air d'avoir le coriza on dirait ! Regarde je t'ai gardé un morceau de tarte.
- Pas possible, tu en as vomi la moitié pour sûr, il y en avait trop pour un atcchhoum même pour atcchhoum deux ou trois.
Le poète mis devant Pépère une assiette avec des morceaux de pâtes sans pommes.
L'escroc se dit Pépère, bon c'est déjà mieux que des cailloux. Il le caressait et il ressentit les mêmes sensations qu'avec sa maman fée. Il était bien au fond de lui, c'était la musique qui l'avait énervé et il se radoucit et se mit à ronronné. En réalité, il n'avait pas très faim et beaucoup de mal à respirer du nez. L'homme ferma la porte et lui dit tu as peut être froid gamin. Il tira de sous son bureau un poil à combustible et l'alluma. Pépère mangeait ses résidus de tarte et la chaleur qui se répondait lui faisait du bien. Il scruta la cabane c'était très féminin comme intérieur. C'est bien un chratvestie c'est certain pensait il en rigolant au fond de lui. Contre la paroi de gauche en rentrant il y avait un couchage au sol avec une couette verte fluo, un peu de fun ah quand même se dit-il. Au fond contre le mur, il y avait les denrées tant convoité. De l'autre côté un bureau avec des fleurs partout, au mur des papillon, un nounours et une photo de Mimine et à côté une étagère ou était entreposé des classeurs où était écrit poésie.
- je te laisse un peu gamin, je vais à la maison allumer la tv.
Et il disparut, l'aubaine se dit-il pour chercher les adresses pour elchatponne. Il regarda déjà un classeur de poésie et lut ceci.

Je t'aimerai demain.

D'un élan empressé l'automne maladif
Dépose lentement, entre les avenues
D'un musc acidulé, ses lentes feuilles nues
Résonnant de couleur, d'un écho compulsif,

Et elle doucement, comme un conte passif
De Maupassant, écrit d'images ingénues
Suit le destin galant, des lettres bienvenues
Sur ses longs cheveux noirs, d'un silence tardif ;

Le soleil sous le vent, s'incline sur sa tête
Dessinant ses desseins, de leurs airs de poète
Que j'essaie élégant de cueillir de la main,

Son ombre sur mes doigts laisse couler sa robe
D'un parfum sensuel que zéphyr me dérobe
M'importe sa saison, je t'aimerai demain.

Daniel beau le poète rêveur
03 novembre 2017
Inknotpad
Google Chrome
19:02

D'accord se dit-il chat aux brillants je ne comprends rien. La fatigue le terrassant il alla se couché sur la couette...

La suite bientôt.