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Pépère le chat du poète. Suite. Clin d'œil à NDP

#1
La douce lumière de Franïadus baignait l'univers de son voile éthéré. Les étoiles avoisinantes étaient inondées de superbes couleurs irisées. Sous cette splendide neige de lumière, l'harmonie était à son comble. Dans cet environnement calme et silencieux où les rêves sont doux comme un baiser de vent trônait non loin de Franïadus une étrange planète. Éiséope, était un havre de paix pour ceux qui avaient confié aux autres les secrets de leur existence. Sur cette étrange planète à peine plus grande que la terre, vivaient tous les pairs de la littérature. Ils venaient d'apprendre une bien triste nouvelle. Un symbole puissant de la culture connu dans le monde entier s'était embrasé la veille. Il n'en fallût de peu que l'édifice ne s'écroule pas si les pompiers n'eurent pas fait un travail grandiose en maîtrisant l'incendie. L'un des écrivains français le plus connu était en plein désarroi. Proche de sa fille Leopoldine qui lui avait cueilli un bouquet de roses de cristal, l'homme était effondré. Sur ce continent perdu, l'on savait ce qu'était avenue de la littérature et la culture. Un formidable marché aux bestiaux où chacun y allait à grand coup de lettre médiatique pour sortir son épingle du jeu. La France entière était en deuil de ce fâcheux événement. Seul un groupe restreint d'hommes et de femmes ne semblait pas touchés par l'événement. Cette sous-race de l'homo sapience nommée homoquinefourien était en voie de disparition et malgré la recherche rien ne pouvait être fait pour cette race-là qui souffrait d'une dégénérescence du cerveau. Le pauvre Victor Hugo s'en consola en se disant que ces idiots finiraient bien par disparaître.
Sur Charnïa, les fées furent visitées pour que le Pépère fasse une messe à la gloire de Notre Dame de Paris. Les pauvres ne comprenaient pas trop ce qui se passait. Elles comprirent que le vrai chat dieu Pépère s'était vanté à l'époque de la construction de la cathédrale d'en être l'auteur et qu'il en avait fait les plans. Comme il avait créé sur cette planète la civilisation égyptienne, tout le monde le crut huit cent ans plus tôt d'avoir dessiné l'édifice et participé à sa construction.
Les fées compatissaient à la tristesse des Français en cet évènement désastreux. Malgré tout, elles demeuraient inquiètes, car cela allait retarder leur départ. L'allocution d'Un-oeil travestis en Pépère devait avoir lieu le lendemain et le pauvre chat se demandait bien ce qu'il allait dire.
Les fées le rassurèrent et demandèrent à l'auteur de leur histoire un poème qu'il puisse lire avec le discours qu'elle ferait, dont voici les lignes.
Ô somptueux vaisseau dont le mat érigé.

À Notre Dame de Paris.

Ô somptueux vaisseau dont le mat érigé
Semble porter tout l'or de la voûte royale
D'où ton clocher assis sur l'hanche absidiale
Surplombe ton autel, je demeure figé,

Il me semble t'avoir vu ce soir affligé
Ta voilure coulant dans un ultime râle
Au linceul de ta nef conquise par un châle,
De lumières d'onyx d'un âtre apanagé ;

Tes arches aussi vieux que t'emporte la Seine
Offre à l'âme d'Hugo les pages d'une scène
Qu'il voit de son éden et en verse ses pleurs,

Et ses larmes d'émaux s'ils ne soulagent l'âme
Nous rendent néanmoins cette espérance des fleurs,
Notre Dame, tu vis, et tu vaincras la flamme...

Loin de ses turpitudes donc ils avaient échappé au contenu, Lolo et Lucie était toujours le long de la haie en train de regarder la cabane à Bibou. Cookie s'était un peu calmée de l'annonce que lui avait faire Chatdore. Tout le monde dans la cabane était couché et le calme régnait.
Lucie était intriguée par la cabane du chien et demanda à Lolo.
- Qui a fait cette cabane, elle est drôlement faite. On dirait des palettes avec des bâches en plastiques posées dessus.
- Hé bien, c'est le soûlard à Pépère qui l'a fait avec la poivrote.
- Oui, je confirme, et je peux te raconter l'histoire.
- Mon méga love héros, tu n'es pas à Sancoins ?
- Oui Pépère que fais-tu ici ? Et les foies jaunes ?
- Je dois les combattre et je viens de manger trois poulets et dois digérer avant. Voilà, j'ai arrêté le temps là-bas et seuls vous et moi sommes dans le temps qui s'écoule. J'avais envie de voir ma chatmoureuse avant de combattre le flan ridé et le cochon jaune. J'ai arrêté le temps partout autour de nous et j'ai été la voir et fais une photo, elle est couchée contre ma meilleure amie Cookie et Chatdore.
- D'accord Pépère, tu nous racontes l'histoire de la cabane.
- Oui, mon méga love héros, raconte nous cette histoire.
- Hé bien voilà l'histoire qu'elle est vraie réelle et authentiquement pas fausse. Un jour, ma soûlarde était partie en intervention de contrôle de pneus sur les voitures. Elle était à la sortie de Sancoins proche du rond-point d'Atac. Une femme arrive avec sa voiture et prend le rond-point. Elle se met à tourner en rond sans s'arrêter. Au bout d'un moment, la soûlarde vient sur la route et l'arrête. Elle lui demande ses papiers et la femme n'en avait pas. Elle contrôle l'immatriculation de l'auto et la voiture n'était plus enregistré en préfecture. Elle venait d'être vendue et la dame n'avait pas fait le changement de propriétaire. Elle la laisse donc repartir et elle continue de tourner en rond.
- elle ne l'a pas arrêté mon copain ?
- Oui comment ça ce fait mon méga love héros ?
- Hé bien, voilà, elle était en manque de vinasse et s'est dite pendant qu'elle tourne en rond sur le rond-point, aucun véhicule ne passe et je suis au chômage technique et peux aller boire un coup par là. Ce n'était pas bien difficile pour elle, elle se met ici, car il y a un bar d'ivrogne juste à côté. Le bistrot s'appelle, ici chez nicolle on lève le coude, ce n'est pas pour dire. Elle s'en va donc picoler au bar pendant que la femme tourne en rond. Elle revient deux heures plus tard et la voiture tombe en panne d'essence devant elle. Elle se dit comment faire. La femme était amnésique et elle devait faire une enquête. Malheureusement, la seule et unique cellule du commissariat où ils auraient pu la garder pendant l'enquête était remplie de carton de vinasse et de sac d'alimentation pour les chiens gendarmes comme Bibou. Oui, ce sont les infâmes croquettes pourries remplies de cocaïne que me fait manger la soûlarde. Mais je l'aime bien, car elle me flatte et fait des bisous sur mes grosses joues. Bon elle sent la vinasse, mais je m'y suis fait. Elle décide d'appeler mon conducteur de chantier polonais employé comme serveur chez, je n'ai pas soif, mais sert moi et lui demande s'il n'a pas une solution. Marc Givré c'est son surnom, alors soûlard, tu t'affoles qu'elle lui dit. Il vient sur place avec ma chalauréane qu'il a salie avec ce qu'il emmenait. Puis une fois finis, ils s'en vont. Le soir, ils en parlent devant une bouteille de villageoise en écoutant la messe pour m'éloigner. Ils décident de déposer un brevet et signe même un partenariat avec la villageoise.
- Je ne comprends pas mon copain.
- Hii, oui mon méga love héros, c'est quoi ce brevet.
- Hé bien, voilà, j'y arrive. Quand il est venu l'aider avec ma chalauréane, il avait dans sa voiture des palette et des bâches en plastiques. Ils ont fait une cabane de rond-point et installer l'amnésique dedans et lui ont mis un gilet jaune. C'est de là qu'est né le mouvement des cabanes de rond-point. La cabane à Bibou est donc une cabane de rond-point qu'ils ont fait entre alcooliques. Voilà mes amis.

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Cortisone

Maître Poète
#2
La douce lumière de Franïadus baignait l'univers de son voile éthéré. Les étoiles avoisinantes étaient inondées de superbes couleurs irisées. Sous cette splendide neige de lumière, l'harmonie était à son comble. Dans cet environnement calme et silencieux où les rêves sont doux comme un baiser de vent trônait non loin de Franïadus une étrange planète. Éiséope, était un havre de paix pour ceux qui avaient confié aux autres les secrets de leur existence. Sur cette étrange planète à peine plus grande que la terre, vivaient tous les pairs de la littérature. Ils venaient d'apprendre une bien triste nouvelle. Un symbole puissant de la culture connu dans le monde entier s'était embrasé la veille. Il n'en fallût de peu que l'édifice ne s'écroule pas si les pompiers n'eurent pas fait un travail grandiose en maîtrisant l'incendie. L'un des écrivains français le plus connu était en plein désarroi. Proche de sa fille Leopoldine qui lui avait cueilli un bouquet de roses de cristal, l'homme était effondré. Sur ce continent perdu, l'on savait ce qu'était avenue de la littérature et la culture. Un formidable marché aux bestiaux où chacun y allait à grand coup de lettre médiatique pour sortir son épingle du jeu. La France entière était en deuil de ce fâcheux événement. Seul un groupe restreint d'hommes et de femmes ne semblait pas touchés par l'événement. Cette sous-race de l'homo sapience nommée homoquinefourien était en voie de disparition et malgré la recherche rien ne pouvait être fait pour cette race-là qui souffrait d'une dégénérescence du cerveau. Le pauvre Victor Hugo s'en consola en se disant que ces idiots finiraient bien par disparaître.
Sur Charnïa, les fées furent visitées pour que le Pépère fasse une messe à la gloire de Notre Dame de Paris. Les pauvres ne comprenaient pas trop ce qui se passait. Elles comprirent que le vrai chat dieu Pépère s'était vanté à l'époque de la construction de la cathédrale d'en être l'auteur et qu'il en avait fait les plans. Comme il avait créé sur cette planète la civilisation égyptienne, tout le monde le crut huit cent ans plus tôt d'avoir dessiné l'édifice et participé à sa construction.
Les fées compatissaient à la tristesse des Français en cet évènement désastreux. Malgré tout, elles demeuraient inquiètes, car cela allait retarder leur départ. L'allocution d'Un-oeil travestis en Pépère devait avoir lieu le lendemain et le pauvre chat se demandait bien ce qu'il allait dire.
Les fées le rassurèrent et demandèrent à l'auteur de leur histoire un poème qu'il puisse lire avec le discours qu'elle ferait, dont voici les lignes.
Ô somptueux vaisseau dont le mat érigé.

À Notre Dame de Paris.

Ô somptueux vaisseau dont le mat érigé
Semble porter tout l'or de la voûte royale
D'où ton clocher assis sur l'hanche absidiale
Surplombe ton autel, je demeure figé,

Il me semble t'avoir vu ce soir affligé
Ta voilure coulant dans un ultime râle
Au linceul de ta nef conquise par un châle,
De lumières d'onyx d'un âtre apanagé ;

Tes arches aussi vieux que t'emporte la Seine
Offre à l'âme d'Hugo les pages d'une scène
Qu'il voit de son éden et en verse ses pleurs,

Et ses larmes d'émaux s'ils ne soulagent l'âme
Nous rendent néanmoins cette espérance des fleurs,
Notre Dame, tu vis, et tu vaincras la flamme...

Loin de ses turpitudes donc ils avaient échappé au contenu, Lolo et Lucie était toujours le long de la haie en train de regarder la cabane à Bibou. Cookie s'était un peu calmée de l'annonce que lui avait faire Chatdore. Tout le monde dans la cabane était couché et le calme régnait.
Lucie était intriguée par la cabane du chien et demanda à Lolo.
- Qui a fait cette cabane, elle est drôlement faite. On dirait des palettes avec des bâches en plastiques posées dessus.
- Hé bien, c'est le soûlard à Pépère qui l'a fait avec la poivrote.
- Oui, je confirme, et je peux te raconter l'histoire.
- Mon méga love héros, tu n'es pas à Sancoins ?
- Oui Pépère que fais-tu ici ? Et les foies jaunes ?
- Je dois les combattre et je viens de manger trois poulets et dois digérer avant. Voilà, j'ai arrêté le temps là-bas et seuls vous et moi sommes dans le temps qui s'écoule. J'avais envie de voir ma chatmoureuse avant de combattre le flan ridé et le cochon jaune. J'ai arrêté le temps partout autour de nous et j'ai été la voir et fais une photo, elle est couchée contre ma meilleure amie Cookie et Chatdore.
- D'accord Pépère, tu nous racontes l'histoire de la cabane.
- Oui, mon méga love héros, raconte nous cette histoire.
- Hé bien voilà l'histoire qu'elle est vraie réelle et authentiquement pas fausse. Un jour, ma soûlarde était partie en intervention de contrôle de pneus sur les voitures. Elle était à la sortie de Sancoins proche du rond-point d'Atac. Une femme arrive avec sa voiture et prend le rond-point. Elle se met à tourner en rond sans s'arrêter. Au bout d'un moment, la soûlarde vient sur la route et l'arrête. Elle lui demande ses papiers et la femme n'en avait pas. Elle contrôle l'immatriculation de l'auto et la voiture n'était plus enregistré en préfecture. Elle venait d'être vendue et la dame n'avait pas fait le changement de propriétaire. Elle la laisse donc repartir et elle continue de tourner en rond.
- elle ne l'a pas arrêté mon copain ?
- Oui comment ça ce fait mon méga love héros ?
- Hé bien, voilà, elle était en manque de vinasse et s'est dite pendant qu'elle tourne en rond sur le rond-point, aucun véhicule ne passe et je suis au chômage technique et peux aller boire un coup par là. Ce n'était pas bien difficile pour elle, elle se met ici, car il y a un bar d'ivrogne juste à côté. Le bistrot s'appelle, ici chez nicolle on lève le coude, ce n'est pas pour dire. Elle s'en va donc picoler au bar pendant que la femme tourne en rond. Elle revient deux heures plus tard et la voiture tombe en panne d'essence devant elle. Elle se dit comment faire. La femme était amnésique et elle devait faire une enquête. Malheureusement, la seule et unique cellule du commissariat où ils auraient pu la garder pendant l'enquête était remplie de carton de vinasse et de sac d'alimentation pour les chiens gendarmes comme Bibou. Oui, ce sont les infâmes croquettes pourries remplies de cocaïne que me fait manger la soûlarde. Mais je l'aime bien, car elle me flatte et fait des bisous sur mes grosses joues. Bon elle sent la vinasse, mais je m'y suis fait. Elle décide d'appeler mon conducteur de chantier polonais employé comme serveur chez, je n'ai pas soif, mais sert moi et lui demande s'il n'a pas une solution. Marc Givré c'est son surnom, alors soûlard, tu t'affoles qu'elle lui dit. Il vient sur place avec ma chalauréane qu'il a salie avec ce qu'il emmenait. Puis une fois finis, ils s'en vont. Le soir, ils en parlent devant une bouteille de villageoise en écoutant la messe pour m'éloigner. Ils décident de déposer un brevet et signe même un partenariat avec la villageoise.
- Je ne comprends pas mon copain.
- Hii, oui mon méga love héros, c'est quoi ce brevet.
- Hé bien, voilà, j'y arrive. Quand il est venu l'aider avec ma chalauréane, il avait dans sa voiture des palette et des bâches en plastiques. Ils ont fait une cabane de rond-point et installer l'amnésique dedans et lui ont mis un gilet jaune. C'est de là qu'est né le mouvement des cabanes de rond-point. La cabane à Bibou est donc une cabane de rond-point qu'ils ont fait entre alcooliques. Voilà mes amis.

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Daniel, j' ai particulièrement apprécié cette épisode ou on vous sent très touché par ce dramatique incendie de notre dame de Paris.
Amicalement
Gaby