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Pépère le chat du poète. Suite. 25 mai

#1
- Vous êtes certain que vous n'allez pas avoir d'ennuis mon père ?
- Non ça va aller ne vous in pas Tromp s'en occupe et il m'a déjà tiré défaire à cause d'une salle histoire de salon esthétique chez les indiens.
- Un salon esthétique chez les indiens non est-ce possible ?
- Attendez, je vais vous expliquer mon fils. Voilà c'était au far west j'étais la bas pour superviser une de mes invention l'arbre à côte de bœuf. C'était à la demande du ministre de l'écologie de l'époque car on s'était rendu compte que la production de bœuf en masse détruisait la peau des étoiles.
- La peau des étoiles, oulala, quelle histoire je n'en doute pas là vous m'épatez.
- Oui les bœufs étaient nourris avec de la sciure de bois et ça leur donnait des gaz. Toute la journée ils émettaient de long pet qui pouvaient durer jusqu'à 1 heures sans interprétation. Le problème le gaz remontait dans le ciel et aggressait la peau des étoiles. J'avais donc inventé l'arbre à côte de bœuf. Un jour une indienne vient me voir et me demande si je pouvais faire quelque chose pour elle. Elle voulait que je fasse des nattes avec les poils de son dos. J'ai trouvé que les indiens avaient un système pileux monstrueux. J'ai donc créé un salon esthétique pour les rendre plus présentables. Ils fallait les raser deux fois par jour c'était contraignant. J'ai donc signé un contrat avec veet pour une crème révolutionnaire qui leur faisait tomber les poiles. Puis appeler en mission en Chine j'ai du partir. Un jour j'apprends que je suis responsable des graves lésions de l'épiderme des Indiens du far west en hiver. En fait ils avaient la peau gercée. Car ils n'avaient plus de pull over à se mettre.
- Des pull over, quel rapport avec leurs poils ?
- Voilà ce que je ne savais pas c'est qu'ils tricotaient des pull over avec leurs poils et le fait de ne plus en avoir avait ruiné leur économie car ils exportaient à l'international.
- Des pull over en poil humain, c'est dément ça.
- Oui mon père c'est Tromp qui m'a tiré d'affaire et ils lui ont offert un toupet en poils de pieds. Voilà l'histoire mon père.
Le pauvre Fripouille était toujours avec ses amis et il n'arrêtait pas de parler de sa siamoise. Cela lui faisait du bien. Il leur montrat la photo d'un coucher de soleil qu'elle lui avait envoyé avec écrit dessous, embrasse moi dis moi que tu m'aimes.
- Toc toc toc, tu es en pleine dépression toc toc toc tu te fais sûrement de fausses idées.
- Fle fle fle, oui pêcheur à raison, parle lui pour savoir le fin mot. Elle est peut-être amoureuse comme ça sans que le Pépère le sache.
- Oui je vais me reprendre mais ça m'a fait du bien de vous en parler.
- Toc toc toc, tu veux que j'en parle à Pépère.
- Non non non, je vais réfléchir.
Et le pauvre fripouille repartit en direction de chez lui...
La jument dans le champ n'en pouvait plus. Les hommes derrière la cabane n'arrêtait pas de faire du bruit et de parler. D'un seul les hommes assistèrent à un phénomène extrêmement étrange. Ils se retrouvèrent sur un sol de sable et devant eux il y avait des dinosaures et aux loin une étendue boisée avec des arbres d'une hauteur vertigineuse. La pauvre jument elle dans sa maison se retrouva avec un mammouth à côté d'elle. Elle se mit à crier devant Lolo et Chatdore qui étaient terrorisés.
- Hiii j'ai peur hiii Lolo chat drogué tu m'as contaminé de ta fracture au cerveau hiii.
Puis elle finit par s'évanouir sur le sol....
Sur le sable de la grotte souterraine la troupe écoutait Liettuje. Tout le monde trouvait joli l'histoire de la falaise des fées. Elle marchait devant eux d'un pas léger et était chaussée de chaussure avec des fleurs bleues sur des lanières comme motif. Le poète se disait quelle chaussure elle doit aimé les fleurs.
- Regardez devant vous il y a une grotte à fée. Voulez vous la visiter.
Tous étaient unanimes à y aller.
Ils commencèrent à pénétrer dedans. Chose curieuse il n'y avait pas de voile et l'entrée était béante pourtant les hommes qui étaient déjà dedans étaient invisible de l'extérieur. Le poète appela Liettuje et lui demanda pourquoi.
- C'est parce que le temps qui s'écoule dans la grotte est différent de celui de l'intérieur de Mercure. Chaque grotte conduit à un endroit différent de l'univers.
Le poète écoutait et il suivit la fée. L'intérieur était couvert d'une sorte de pierre qui ressemblait au diamant. Et même en l'absence de lumière il faisait parfaitement jour. Liettuje expliqua ce phénomène par le fait que chaque perle qui tapissait les mur portait en son cœur comme un soleil.
 

tieram

Maître Poète
#2
Assez étrange ton histoire ...j'ai pas tout compris ! la féerie de ce texte est contagieuse apparemment merci du partage à bientôt l'ami...

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Cortisone

Maître Poète
#3
J'attends avec impatience demain Daniel.
Bonne soirée
Amicalement
Bises