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Pépère le chat du poète. Suite. 21 mai

#1
Le pauvre Fripouille se remit de sa chute dans l'eau et le Pépère vint le voir.
- Alors mon copain tu nous as fait très peur. Tu dois ta vie sauve grâce à mon invention.
- Et bien merci à toi alors mon copain. Ça va beaucoup mieux je vais aller marcher le long du chemin j'ai besoin de solitude.
- Pourquoi tu es déprimé ? Si tu t'occupais de mon enquête sur la siamoise cela te changerait les idées.
Le Pépère avait dit le mot qui fait mal. D'ailleurs où était-elle sa siamoise elle avait disparue. Il se dit je pense qu'elle est cachée et regarde le Pépère c'est évident.
- Non ça va mais j'ai besoin d'être seul.
- Bon je te laisse alors mon copain à plus tard.
Fripouille partit et avait le spleen. Il s'arrêta sous les platanes et se vit avec sa belle contre en arbre. Il l'embrassait et le vent caressait son visage. Il était bien simplement et Pêcheur non loin s'en allait les laissant tranquille. Lui qui n'avait pas l'habitude d'écrire fit quelques vers sur son téléphone sous une photo et les envoya à sa siamoise.
Le Pépère lui était retourné vers l'estrade avec le pape et Jésus il contrôlait que tout était en place pour l'arrivée du premier ministre. Un des enfants du groupe qui accompagnait les ecclésiastiques jouait avec les fils électriques des amplificateurs de la sonorisation. Il finit par dénudé une prise de la console et fut électrocuté devant une foule impuissante qui était médusée. Le pape dit à Pépère.
- Vite mon père faite quelque chose.
Le Pépère se transforma en médecin et muni d'une blouse blanche fit apparaître un défibrillateur. Il fit un massage cardiaque à l'enfant et discrètement remonta un peu le temps avec sa magie. L'enfant se releva et la foule était en délire.
- Gloire à Dieu ouiii.
- Gloire au pape ouiii.
- Gloire à Pépère ouiii.
Le Pépère n'en pouvait plus et les Nike craquaient de toute part à cause des chevilles.
- Vous l'avez sauvé mon père, vous méritez plus qu'une médaille.
L'un des curé s'approcha et dit.
- Merci mon Dieu cet enfant est mon protégé. C'est un ange et ses lèvres disent de si belles choses et font, euh ne sont que la vérité en ses mots.
À Mornay le maire finissait son rapport et les services du pentagone ayant été averti, ils étaient déjà sur place pour constater ces changements de relief constant. L'activité c'était modérée puis calmée. Ils attendaient patiemment que cela se reproduise pour faire le point. Dans la cabane à Cookie le calme était revenu. Malheureusement la tranquillité du lieu était compromise. Les services de surveillance avaient demandé l'accord aux propriétaires du champ d'établir leur campement dedans en le séparant en deux. La pauvre jument s'était rendormie et ne s'en doutait même pas.
Les canoéistes étaient toujours devant Liettuje et se demandaient bien comment elle allait faire pour les renvoyer d'où ils avaient disparu pour arriver ici. Le pilote était très décontracté au contraire et faisait confiance à cette fée. L'un des hommes du groupe dit d'un coup.
- Nous sommes ici depuis un long moment et n'avons rien à manger. Madame la fée pouvez-vous faire quelque chose pour nous. Depuis que nous sommes ici nous n'avons consommés qu'une malheureuse poche de fraise harbo que l'un de nous avait sur lui.
La fée se pencha en avant et son épaule se dénuda, les deux hommes qui étaient à côté virent un superbe tatouage de chat. Le poète se dit, cette fée est vraiment fan des chats. Elle fit apparaître devant le groupe des succulent mets et un plateau de fromages.
Au canal le Pépère avait toujours sa blouse blanche. Dans le dos était écrit sos super pépère avec une rangée de led clignotantes tout le tour.
- Alors vous avez vu comme je suis le meilleur mon fils.
- Oui vous l'avez sauvé avec votre appareil.
- C'est un défibrillateur, une de mes invention pour les inuits.
- Pour les inuits, je ne comprends pas !
- voilà mon fils c'était pendant l'air glaciaire de la terre qui a été provoqué par les mammouths.
- L'air glaciaire provoquée par des mammouths ?
- Oui laissez moi vous expliquer. Les mammouths se nourrissaient de cailloux de roche de lave car il n'y avait plus d'herbe à cause des volcans qui servaient aux hommes pour faire rôtir des dinosaures. Leurs intestins produisaient des gaz très opaque qui bloquaient les rayons du soleil. À l'époque j'étais en mission sur le pôle pour rechercher l'origine de la couleur de la neige. C'est le cnrs qui m'avait missionné en 1400. Donc arrivé là bas je fais mon enquête et je découvre le problème. J'avais constaté que les inuits au moindre coup de vent s'envolaient comme des brins de paille. La température à l'époque était de -85 degrés et ils étaient extrêmement couverts. Un jour je visite l'un d'eux dans son igloo. Il sortait de son jacuzzi et je vis sa maigreur extrême. Je lui demande son poids. Il me dit je pèse 10 kilos pour 1'75. Diantre lui dis-je vous ne manger rien. Il me dit nous mangeons la glace car même chez leader price les bâtonnets du capitaine igloo sont inabordables. Bon lui dis-je vous n'avez qu'à pêcher. Oui qu'il me dis mais vous ne savez pas les poissons en remontant à la surface font des crises cardiaque quand on essaie de les attraper quand ils partes en courant. Après ils sont immangeable car la crise cardiaque leur fait sécréter un poison. Là j'ai eu l'idée de génie. Chaque inuit a reçu un défibrillateur et cela lui permettait de pouvoir le remettre en vie et qu'il meurt de façon naturelle. Voilà mon fils...