Lolo n'en revenait pas et se demandait quel était cet individu. Il avait l'air aussi bizarre que les hommes qui s'étaient installés derrière la maison à Cookie. Par désespoir et l'âme en peine il partit vers la cabane du poète. Des gendarmes étaient entrés sur le terrain et regardaient des petites bombonnes bleues qui étaient sur un amas de vielles pièces de voitures. L'un d'eux prit la parole.
- Regardez chez, le chat extraterrestre n'avait pas menti hic se sont des bouteilles qui devaient contenir des saloperies chimiques. Et ces pièces usagées sont sûrement les restes d'un char d'assaut qui a été réparé ici avant d'être reparti en Irak. C'est quand même drôle hic ces bouteilles bleu ça me fait penser à de la Marie Brizard.
Hé oui le gendarme Tatouvu qui n'avait pas trop les yeux en face des trous y allait de ses constatations fumeuses. Son chef lui répondit.
- Mais non c'est des bouteilles de gaz butane, attention le loustic prépare peut-être un attentat prévenons la brigade. En attendant brigadier faite péter un gobelet de villageoise.
Lolo n'en revenait pas et partit appeler Pépère, se disant que le SMS était trop long à taper.
Sur le sable de la grotte Liettuje se reposait et le poète contemplait la mer. Il avait un peu le spleen et rêvait d'étreindre celle qu'il aime au clair matin d'un jour de juin. Il parlait tout haut et Liettuje l'écoutait sans mot dire.
- Que la mer est belle quand ses vagues portent les étoiles au rivage. Combien de soleil ont fleuri sur les sillons de ce sublime visage. Le sais-tu vent léger qui caresse ses dunes d'opale. Ô zephyr où es-tu toi qui flatte Vénus chaque soir de tes cheveux invisibles. Laissons le secret des matins aux amours des lettres qui elles seules savent la couleur de leurs cœurs. Fille des mers de ta naissance
que fit le ciel secrètement à l'arôme d'un sacrément tu m'écrivis ta délivrance ; Je regardais naître la vague de ce matin fleuri de lys, ton visage d'amaryllis s'offrir galant comme une bague sur les hanches de cette feuille que je tenais tu vins unique destin de vers d'un air magique
comme la mer au vent s'effeuille ;
- Hé bien mr poète tout court que vous arrive-t-il vous réciter un poème pour la mer.
- Pardon j'étais dans mes rêveries et je parlais tout haut.
- La pendule tourne cher ami et il va être l'heure d'aller dîner savez-vous.
- Oui je ne le sais que trop bien je suis affamé voyez-vous.
Devant le F1 le ministre n'en revenait pas de l'outrage de cette femme devant lui qui le traitait de burne molle et son chauffeur qui rigolait et auquel il ne pouvait botter le derrière devant elle malgré une envie irrésistible.
- Si vous commencer à croire toute ces balivernes Madame vous n'en finirez pas. L'homme que vous citer à certainement de très bonnes qualités et puis en Belgique en s'en fout de la vitesse pour chaque accident on gagne des points nous autres.
Lui dit-il pour se moquer d'elle.
- Des qualités l'Édouard vous rigolez il a la barbe pleine de gras et en plus il aime les singes femelles beurk c'est un zorophile ( la brave femme ne savait même pas dire le mot)
- Tu t'es vu la vilaine que t'es plate à passer entre deux feuilles de papier à rouler un bédo. Tu ne t'appellerais pas OCB ( Ô comme t'es bête) par hazard et pardonne moi mais vu ton bec de lièvre même les carottes doivent partir en courant pour ne pas que tu les croques. Hors de ma vue nain de jardin qui serait capable de confondre une TV grand écran avec un ipode.
La femme était outrée et elle partit furieuse.
- Hé bien il n'y a pas que par le physique que vous lui ressemblez vous êtes aussi grossier qu'un Macronche qui mange un bâton bleu.
Et elle disparut totalement choquée.
Le Pépère c'était isolé et parlait au téléphone avec Lolo. Le pape se demandait bien à qui il parlait. Puis il revint l'air consterné vers sa sainteté.
- Hé bien mon père des mauvaises nouvelles ?
- C'est mon équipier qui vient de m'appeler et j'apprends que mon soûlard en plus de faire du trafique d'armes de destruction massive verse maintenant dans le terrorisme en fabriquant des bombes avec des bouteilles de gaz. Que pouvons nous faire ?
- Oui mon fils effectivement et le gaz est extrêmement dangereux.
- Oui je sais c'est mon invention pour chauffer les igloo dont je vous parlais il y a 5 minutes. Oui la poiléose vous vous souvenez. Et bien voilà le commerce du surplus de poils de chien était tel que même en ayant fournis à chaque homme du grand nord soit 10 caleçons où slips tricotés avec que malgré tout il y en avait des montagnes à écouler. J'ai alors prospecté dans les supermarché sur la zone et j'ai fait un deal avec leader ball pour les caleçon mais c'était toujours pareil. Alors, j'ai cherché et mon génie aidant j'ai fait fabriqué des pull-over avec pour un couturier. Puis nous avons construit une usine igloo. Ultra moderne, internet éclairage led ect mais un jour j'apprends qu'il sont en grève. Je vais voir et les hommes me disent qu'aux bout de 10 minutes ils sont raides comme du bois. Ils gelaient sur place. Pas de soucis que je dis et chacun à reçu une couverture chauffante. Bon nous sortions de la préhistoire et les mammouth étaient toujours là et pour implanter des centrales nucléaires c'était compliqué. Néanmoins j'ai signé un super contrat avec engie. La fabrication des pull-over roulait toute seule et tout le monde était content. Jusqu'au jour où l'on reçoit la facture d'électricité. 10000 mètres cubes de glace. Oui à l'époque l'argent c'était des billets en eau gelé, bin de la glace quoi. Bon le patron de engie était gourmand et buvais beaucoup de whisky et il y avait au moins 5000 glaçon pour ça. J'ai fait un courier au président de l'époque qui avait un mammouth apprivoisé comme animal de compagnie qu'il promenait comme un toutou. Il a menacé engie de faire dire par son mammouth à ses congénères de casser la centrale nucléaire. Du coup il s'est assis dessus. Et les hommes gelaient de nouveaux alors j'ai inventé le gaz pour un chauffage puissant dans l'usine. voilà mon père l'histoire du gaz qu'elle est vraie pas fausse.
- Quel génie Pépère ziva tu les crames tous...
- Regardez chez, le chat extraterrestre n'avait pas menti hic se sont des bouteilles qui devaient contenir des saloperies chimiques. Et ces pièces usagées sont sûrement les restes d'un char d'assaut qui a été réparé ici avant d'être reparti en Irak. C'est quand même drôle hic ces bouteilles bleu ça me fait penser à de la Marie Brizard.
Hé oui le gendarme Tatouvu qui n'avait pas trop les yeux en face des trous y allait de ses constatations fumeuses. Son chef lui répondit.
- Mais non c'est des bouteilles de gaz butane, attention le loustic prépare peut-être un attentat prévenons la brigade. En attendant brigadier faite péter un gobelet de villageoise.
Lolo n'en revenait pas et partit appeler Pépère, se disant que le SMS était trop long à taper.
Sur le sable de la grotte Liettuje se reposait et le poète contemplait la mer. Il avait un peu le spleen et rêvait d'étreindre celle qu'il aime au clair matin d'un jour de juin. Il parlait tout haut et Liettuje l'écoutait sans mot dire.
- Que la mer est belle quand ses vagues portent les étoiles au rivage. Combien de soleil ont fleuri sur les sillons de ce sublime visage. Le sais-tu vent léger qui caresse ses dunes d'opale. Ô zephyr où es-tu toi qui flatte Vénus chaque soir de tes cheveux invisibles. Laissons le secret des matins aux amours des lettres qui elles seules savent la couleur de leurs cœurs. Fille des mers de ta naissance
que fit le ciel secrètement à l'arôme d'un sacrément tu m'écrivis ta délivrance ; Je regardais naître la vague de ce matin fleuri de lys, ton visage d'amaryllis s'offrir galant comme une bague sur les hanches de cette feuille que je tenais tu vins unique destin de vers d'un air magique
comme la mer au vent s'effeuille ;
- Hé bien mr poète tout court que vous arrive-t-il vous réciter un poème pour la mer.
- Pardon j'étais dans mes rêveries et je parlais tout haut.
- La pendule tourne cher ami et il va être l'heure d'aller dîner savez-vous.
- Oui je ne le sais que trop bien je suis affamé voyez-vous.
Devant le F1 le ministre n'en revenait pas de l'outrage de cette femme devant lui qui le traitait de burne molle et son chauffeur qui rigolait et auquel il ne pouvait botter le derrière devant elle malgré une envie irrésistible.
- Si vous commencer à croire toute ces balivernes Madame vous n'en finirez pas. L'homme que vous citer à certainement de très bonnes qualités et puis en Belgique en s'en fout de la vitesse pour chaque accident on gagne des points nous autres.
Lui dit-il pour se moquer d'elle.
- Des qualités l'Édouard vous rigolez il a la barbe pleine de gras et en plus il aime les singes femelles beurk c'est un zorophile ( la brave femme ne savait même pas dire le mot)
- Tu t'es vu la vilaine que t'es plate à passer entre deux feuilles de papier à rouler un bédo. Tu ne t'appellerais pas OCB ( Ô comme t'es bête) par hazard et pardonne moi mais vu ton bec de lièvre même les carottes doivent partir en courant pour ne pas que tu les croques. Hors de ma vue nain de jardin qui serait capable de confondre une TV grand écran avec un ipode.
La femme était outrée et elle partit furieuse.
- Hé bien il n'y a pas que par le physique que vous lui ressemblez vous êtes aussi grossier qu'un Macronche qui mange un bâton bleu.
Et elle disparut totalement choquée.
Le Pépère c'était isolé et parlait au téléphone avec Lolo. Le pape se demandait bien à qui il parlait. Puis il revint l'air consterné vers sa sainteté.
- Hé bien mon père des mauvaises nouvelles ?
- C'est mon équipier qui vient de m'appeler et j'apprends que mon soûlard en plus de faire du trafique d'armes de destruction massive verse maintenant dans le terrorisme en fabriquant des bombes avec des bouteilles de gaz. Que pouvons nous faire ?
- Oui mon fils effectivement et le gaz est extrêmement dangereux.
- Oui je sais c'est mon invention pour chauffer les igloo dont je vous parlais il y a 5 minutes. Oui la poiléose vous vous souvenez. Et bien voilà le commerce du surplus de poils de chien était tel que même en ayant fournis à chaque homme du grand nord soit 10 caleçons où slips tricotés avec que malgré tout il y en avait des montagnes à écouler. J'ai alors prospecté dans les supermarché sur la zone et j'ai fait un deal avec leader ball pour les caleçon mais c'était toujours pareil. Alors, j'ai cherché et mon génie aidant j'ai fait fabriqué des pull-over avec pour un couturier. Puis nous avons construit une usine igloo. Ultra moderne, internet éclairage led ect mais un jour j'apprends qu'il sont en grève. Je vais voir et les hommes me disent qu'aux bout de 10 minutes ils sont raides comme du bois. Ils gelaient sur place. Pas de soucis que je dis et chacun à reçu une couverture chauffante. Bon nous sortions de la préhistoire et les mammouth étaient toujours là et pour implanter des centrales nucléaires c'était compliqué. Néanmoins j'ai signé un super contrat avec engie. La fabrication des pull-over roulait toute seule et tout le monde était content. Jusqu'au jour où l'on reçoit la facture d'électricité. 10000 mètres cubes de glace. Oui à l'époque l'argent c'était des billets en eau gelé, bin de la glace quoi. Bon le patron de engie était gourmand et buvais beaucoup de whisky et il y avait au moins 5000 glaçon pour ça. J'ai fait un courier au président de l'époque qui avait un mammouth apprivoisé comme animal de compagnie qu'il promenait comme un toutou. Il a menacé engie de faire dire par son mammouth à ses congénères de casser la centrale nucléaire. Du coup il s'est assis dessus. Et les hommes gelaient de nouveaux alors j'ai inventé le gaz pour un chauffage puissant dans l'usine. voilà mon père l'histoire du gaz qu'elle est vraie pas fausse.
- Quel génie Pépère ziva tu les crames tous...
