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Pépère le chat du poète. Suite. 16 octobre

#1
Les Américains qui étaient toujours sur le terrain de la jument reçurent une réponse du pentagone. Dans un premier temps, ils devaient la surveiller de très près. Ils décidèrent d'attendre que la bête soit calmée pour installer des caméras infrarouges à l'entrée de la cabane et un peu partout dans le champ. L'un des agents était dehors et observait avec des lunettes infrarouges sa progression. Elle était assez calme. L'homme fut étonné par un drôle de manège. Un chat était en train de tirer de la paille vers la maison des chevaux et l'autre jument en transportait entre ses dents. Cookie ramassait la paille et la posait dans sa demeure. Entre temps, le poète fut dérangé par des bruits à l'extérieur, comme si quelqu'un fouillait. C'était Pépère et Turbo qui grattait le tas de bois pour essayer de dégager l'échelle qu'ils comptaient faire déplacer par Cookie selon un plan audacieux de Pépère qu'il n'avait pas encore révélé à son nouveau coéquipier. Dès que le poète fut dehors, Pépère qui était aux aguets dit à turbo.
- Vite, cachons-nous, mon yaourt norvégien, enrichi à la fraise transgénique de Colombie, est sorti, il risque de nous surprendre.
Les chats s'étaient ainsi cachés et le poète regarda avec une lampe torche, mais il ne vit rien d'anormal. Il étendit gratter dans le champ et dans la cabane et se demandait ce qui se passait en ce lieu. Il avait le téléphone à la main et il s'approcha de la clôture.
- Si chérie, je t'assure, j'ai commencé par voir l'énorme tête de Pépère puis le silence, je mangeais... Non mon amour, je ne mangeais pas, je rangeais, tu as mal compris, c'est le réseau. Donc le silence et puis des grattements vers le tas de bois. J'ai été inspecté et n'ai rien vu. Je suis venu voir ce qui se passait dans le champ et les juments tirent de la paille avec Chatdore, je me demande ce que font ces animaux. Non-non, la lumière du téléphone ne les a pas dérangées et ils continuent. Bon, je vais aller finir ma brioche... Heu, non, je disais, je vais finir mon livre de poche. Oui, mon amour douce nuit, je t'aime chaton.
C'est ainsi que l'agent du pentagone vit, le poète téléphone en main en regardant les animaux faire leur besogne. Il rentra avec précipitation faire son rapport à son chef.
- L'affaire est claire, l'homme, est bien un trafiquant d'armes et il cache des armes dans la cabane. Actuellement, il commande les fucking horse Android qui sont en train de dissimuler les armes avec de la paille. Je me suis approché doucement. Personne ne m'a vu dans l'obscurité et j'ai bien compris le leurre. Figurez-vous qu'ils mettent des produits puants pour rendre l'endroit inapprochable. Faite attention mon commandant quand les hommes iront poser les caméras. Je vous conseille de leur faire porter un masque à gaz. C'est peut-être des produits nocifs, ne sait-on jamais. Je pense que le chat Pépère nous a enfumé en nous racontant des sornettes et il est peut-être complice de la bestiole Android comme son maître qui a comme couverture celle de poète. De derrière la cabane, je les ai distinctement entendu parlé, le cheval parlait de bazooka et le poète parlait au téléphone de gaz sarin, certainement à un complice et le chat était armé d'un fusil-mitrailleur qu'il avait sur le dos et lui parlait de missile nucléaire et citait Pépère donc nous devrions prévenir le Pentagone, je pense. Dit l'agent qui avait tout et rien vu.
- Je fais mon rapport et l'envoie par satellite immédiatement, vous avez fait un excellent travail et vos renseignements sont précieux, lui répondit son chef.
Un œil qui s'était échappé de la cabane du poète s'était retrouvé derrière l'homme qui était venu parlé à Lucie. N'étant pas habitué à courir l'homme qui était assez gros s'était écroulé au pied d'un arbre. Il avait rallumé sont téléphone et parlait tout seul.
- Bon est-ce qu'il y a du réseau pour que j'appelle la gendarmerie et dénonce la jument extraterrestre et le chat robot d'à côté. Non, ce n'est pas vrai pas de réseau comment, je vais faire. Une seule solution reprendre le chemin de la maison et appeler de là-bas. Qu'est ce que c'est que ce bruit derrière moi, c'est sûrement le cavalier sans tête où pire un agent du Fbi ou un extraterrestre qui te cherche pour t'implanter une puce électronique dans le cerveau, vite à la maison.
Un œil qui s'était échappé de la cabane du poète s'était retrouvé derrière l'homme qui était venu parler à Lucie. N'étant pas habitué à courir l'homme qui était assez gros s'était écroulé au pied d'un arbre. Il avait rallumé sont téléphone et parlait tout seul.
- Bon, est-ce qu'il y a du réseau pour que j'appelle la gendarmerie et dénonce la jument extraterrestre et le chat robot d'à côté. Non, ce n'est pas vrai pas de réseau comment, je vais faire. Une seule solution reprendre le chemin de la maison et appeler de là-bas. Qu'est-ce que c'est que ce bruit derrière moi, c'est sûrement le cavalier sans tête où pire un agent du Fbi ou un extraterrestre qui te cherche pour t'implanter une puce électronique dans le cerveau, vite à la maison.
Le bruit qu'il avait entendu, n'était qu'un œil qui était parti se réfugier dans un arbre. Il ne savait plus comment faire. S'il retournait vers la cabane, il risquait d'être surpris par l'homme du chalet. S'il repartait vers le champ, il pouvait tomber sur ce Turbo qui était sûrement de la police. L'homme devant lui voulait appeler la gendarmerie. Il ne connaissait pas les lieux et cela était risqué de s'aventurer n'importe où. Il prit la résolution de dormir un moment dans l'arbre le temps que tous les protagonistes qu'il risquait de croiser soient éloignés de sa route.
Le poète avait fini par retourner dans sa cabane. Le pépère fit signe, silence de sa patte et d'attendre que ça se calme. Une musique retentit et le Pépère dit à Turbo.
- Mon loulou, c'est bon, mon flan brésilien aux raisins violets d'Allemagne écoute la messe nous sommes tranquilles. Il va écrire des messes noires et après, il invoquera la lune, je l'ai souvent vu faire quand il est complètement cramé. Ce qu'il faut faire, c'est se déguiser en cheval et ensuite aller voir Cookie et lui dire que notre petit est grimpé dans un arbre et qu'il ne peut en redescendre et lui faire emmener l'échelle jusqu'à la maison. Arrivés là-bas, nous prétexterons un faux appel de son copain Chatdore qu'un chat a fait caca chez, elle et elle repartira. Donc toi, tu te déguises en cheval, car avec tes pattes, tu peux courir aussi vite qu'elle. Moi, je l'appellerai en numéro masqué pour la diversion.
- Mais elle risque de ne pas me croire. Un cheval ne grimpe pas aux arbres.
- Hé bien si mon Loulou les chevaux sauvages à écailles de Sibérie grimpe aux arbres pour ramasser les branches mortes pour se réchauffer.
- Ha, bon, il y a des chevaux là-bas. Tu es sur Pépère, en Sibérie des arbres !
- Oui, laisse-moi t'expliquer. Il y a des arbres à poissons qui fournissent les océans. Ils naissent congelés pour le capitaine igloo qui les ramène vers l'océan où une fois décongelés, ils repartent vers toutes les mers du monde. Donc vivent dans ces forêts des chevaux à écaille de poisson. C'est pour pouvoir ne pas se faire repérer par les arbres qui les prennent pour des petits à eux. Oui, je précise ces arbres sont myopes et Afelou ne les fournit pas donc, comme ils voient mal, ils confondent les chevaux avec des petits à eux. Donc ces chevaux, qui sont en bande, grimpent dans les arbres pour récupérer le bois mort qui leur serre à faire du feu pour se réchauffer sous ce climat de -80 degrés. Ils ont une autre particularité, ils ont des griffes de chats à la place des sabots. Donc, tu vas te présenter comme un cheval de Sibérie, tu as compris mon loulou. Bon, fouillons autour du gourbi de mon œuf carré assaisonné au piment d'Ukraine pour trouver de quoi te travestir.
- À vos ordres chef.
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Cortisone

Maître Poète
#2
Ah ben moi qui adore le poisson il faut me dire ou se trouve les arbres à poissons congelés. Mdr
Merci Daniel pour ce nouvel épisode.
Que va t'il se passer demain ???
Amicalement
Gaby