Sur Charnïa, les trois soleils inondaient le sable et ses habitants, persuadés de retrouver leur Dieu, nettoyaient le temple de Pépère. À l'extérieur, tout le monde s'activait pour rendre encore plus belle la pyramide à son effigie. Chouânne n'avait pas survolé la zone neigeuse et n'avait pas vu que sur cet immensité de glace fumant ses vapeurs d'onyx, il y avait le véritable temple de Pépère. Celui où il se trouvait était en fait une réplique minuscule malgré sa grandeur. La pyramide qui était sur le continent de glace mesurait deux cent vingt mètres de haut, ses absidaux étaient recouverts de diamants d'une teneur exceptionnelle entre ces joyaux des gravures en or de Pépère étaient disposées dans un ordre précis. Chacune était l'évolution de la cité bâtie par Pépère et sa réplique terrestre en Égypte. La pyramide qui était sur le continent de glace mesurait deux cent vingt mètres de haut, ses absidaux étaient recouverts de diamants d'une teneur exceptionnelle entre ces joyaux des gravures en or de Pépère étaient disposées dans un ordre précis. Le bas des murs était recouvert de marbre de Carrare.
La cellule où se trouvaient les prisonniers était beaucoup moins cossue. Les parois étaient en craie blanche et le sol en terre battue. Elchatponne était terrifié par les créatures, telles que les avait décrites un œil en exagérant immodérément. Chouânne était confiante en Liettuje et savait que si celle-ci n'avait plus de nouvelles, elle avertirait Mercure. Leïlanne était sur le point de quitter Xyron donc, il suffisait de patienter en attendant, tout en espérant que les habitants de Charnïa ne leur fassent pas de mal. Un repas leur avait été servi, et Chouânne à sa grande surprise le trouva succulent et copieux. Des poulets rôtis avaient été laissés à disposition des chats. Un œil et Fripouille se réglaient, mais Elchatponne avait si peur qu'il ne put rien avaler.
Le poète se réveilla sur son bureau et constata qu'il s'était endormi sur son livre. Il regarda dehors, mais ne vit pas Pépère. Par contre, il vit que Cookie était dans un état d'excitation improbable. Les hommes derrière la cabane continuaient de monter leur antenne tout en la surveillant. Il n'y avait plus de fumée dans le ciel et le soleil avait un teint assez pâle comme s'il s'était voilé derrière sa toilette de gaze. C'est ainsi que ses rayons pleuvaient timidement sur les arbres dénudés qui étaient dans le pré à Cookie. Celle-ci n'en pouvait plus. Elle avait senti de l'intérieur la très mauvaise odeur consécutive au passage de Pépère. Elle était partie voir et avait découvert le désastre. Pour la narguer, il avait écrit au-dessus sur la paroi avec une craie, cadeau d'amitié ma copine, chat chat chat. Du coup, la pauvre jument courrait pour se défouler de sa colère.
- Hii, bandit, hii pirate, hii renégat, il a fait caca hii, et il écrit sur les murs de ma maison, hii flibustier, hii je vais faire caca sur ton hélicoptère hii.
Pépère dans la cellule du commissariat était extrêmement orgueilleux et se vantait de ses exploits. Assis sur sa chaise pattes croisées sur la table, Nike en évidence, il avait allumé dessus les Led qui étaient sur la carnèle et Pépère super héros clignotait juste en dessous de ses chevilles qui étaient gonflées comme des melons. Il lisait un SMS d'Emmanuel Macron avec attention. Carla faisait l'airbus sur l'épaule de François qui pour s'amuser avait rentré un doigt dans le goulot d'une bouteille vide sans même qu'il sache pourquoi il faisait cette chose stupide.
Ma dent, s'écria-t-il, je vais la garder pour la mettre sous l'oreiller et Nicolas lui répondit étonné, pourquoi faire et bien pour la Petite souris. C'est Oui-oui qui m'a appris ça dans mon livre, il est très fort ce petit bonhomme, c'est quand même un ouvrage hautement philosophique lol. Encore merci d'avance, Nicolas, de bien vouloir me l'expliquer.
Les animaux se reposaient n'étant pas habitués à veiller. Stomy et le Doc parlaient de Johnny et de Laura, mais si bas que personne n'arrivait à écouter. Le Pépère regarda Nicolas et lui dit.
- J'ai reçu un SMS de Manu, il réveillonne au Touquet, il a mangé des cordons-bleus, lol. Il me pose une question à laquelle je ne trouve pas de réponse. Voilà, pour recenser les nez rouges, tous les maires de France on demandé aux habitants de mettre dans un sac un bouchon rouge de bouteille de villageoise s'ils étaient un nez rouge. Dans les villes ça peut aller le décompte est correcte, mais dans les campagnes, ils y a plus de bouchons que d'habitants dans les sacs. Par exemple sur la commune de mon alcoolique, il y a quatre cent vingt habitants et la mairesse a décompté neuf cent quatre-vingt-quinze nez rouges, c'est à n'y rien comprendre. Aurais-tu une idée Nicolas ? Je ne t'ai pas dit la meilleure, les sacs vont être livrés à l'Élysée et nous devront recompter ces milliers de sacs avec le Président, bon nous verrons ça demain ensemble.
- Écoute, je ne comprends pas, comment il peut y avoir plus de nez rouges que d'habitants sur une commune. Alors et Marie Chatoinette, tu ne l'as pas encore raconté.
- Hé bien voilà, ma chamoureuse, Marie Chatoinette, qui était la minette à Louis seize, faisait de l'humanitaire. Elle était partie au Zimbabwe avec sœur Chatmanuelle, pour livrer du matériel scolaire aux fourmis savantes du pays. C'étaient des colonies de fourmis qui étaient à l'époque les plus intelligentes au monde. Elles créaient tout ce qui était livré à l'exportation vers notre pays par avions ou par bateaux. Ma chamoureuse a été enlevée par des trafiquants que j'avais fait arrêter quelque temps avant. Ils faisaient des fausses roues de diligence. Ils inondaient la cour de ces fausses roues et à vitesse élevée, elles explosaient. Les accidents d'autoroute étaient une hécatombe et j'ai retrouvé les coupables en Chine. Ils faisaient fabriquer par des taupes ces fausses roues avec de la sciure de bois qu'elles faisaient en le rongeant. J'ai donc sillonné le Zimbabwe avec sœur Chatmanuelle pour la retrouver et je l'ai délivré d'une bande de singe à têtes carrées qui était complice de ces malfaiteurs. Nous sommes aussitôt retourné vers le château de Versailles avec ma chatmoureuse et sœur Chatmanuelle.
La cellule où se trouvaient les prisonniers était beaucoup moins cossue. Les parois étaient en craie blanche et le sol en terre battue. Elchatponne était terrifié par les créatures, telles que les avait décrites un œil en exagérant immodérément. Chouânne était confiante en Liettuje et savait que si celle-ci n'avait plus de nouvelles, elle avertirait Mercure. Leïlanne était sur le point de quitter Xyron donc, il suffisait de patienter en attendant, tout en espérant que les habitants de Charnïa ne leur fassent pas de mal. Un repas leur avait été servi, et Chouânne à sa grande surprise le trouva succulent et copieux. Des poulets rôtis avaient été laissés à disposition des chats. Un œil et Fripouille se réglaient, mais Elchatponne avait si peur qu'il ne put rien avaler.
Le poète se réveilla sur son bureau et constata qu'il s'était endormi sur son livre. Il regarda dehors, mais ne vit pas Pépère. Par contre, il vit que Cookie était dans un état d'excitation improbable. Les hommes derrière la cabane continuaient de monter leur antenne tout en la surveillant. Il n'y avait plus de fumée dans le ciel et le soleil avait un teint assez pâle comme s'il s'était voilé derrière sa toilette de gaze. C'est ainsi que ses rayons pleuvaient timidement sur les arbres dénudés qui étaient dans le pré à Cookie. Celle-ci n'en pouvait plus. Elle avait senti de l'intérieur la très mauvaise odeur consécutive au passage de Pépère. Elle était partie voir et avait découvert le désastre. Pour la narguer, il avait écrit au-dessus sur la paroi avec une craie, cadeau d'amitié ma copine, chat chat chat. Du coup, la pauvre jument courrait pour se défouler de sa colère.
- Hii, bandit, hii pirate, hii renégat, il a fait caca hii, et il écrit sur les murs de ma maison, hii flibustier, hii je vais faire caca sur ton hélicoptère hii.
Pépère dans la cellule du commissariat était extrêmement orgueilleux et se vantait de ses exploits. Assis sur sa chaise pattes croisées sur la table, Nike en évidence, il avait allumé dessus les Led qui étaient sur la carnèle et Pépère super héros clignotait juste en dessous de ses chevilles qui étaient gonflées comme des melons. Il lisait un SMS d'Emmanuel Macron avec attention. Carla faisait l'airbus sur l'épaule de François qui pour s'amuser avait rentré un doigt dans le goulot d'une bouteille vide sans même qu'il sache pourquoi il faisait cette chose stupide.
Ma dent, s'écria-t-il, je vais la garder pour la mettre sous l'oreiller et Nicolas lui répondit étonné, pourquoi faire et bien pour la Petite souris. C'est Oui-oui qui m'a appris ça dans mon livre, il est très fort ce petit bonhomme, c'est quand même un ouvrage hautement philosophique lol. Encore merci d'avance, Nicolas, de bien vouloir me l'expliquer.
Les animaux se reposaient n'étant pas habitués à veiller. Stomy et le Doc parlaient de Johnny et de Laura, mais si bas que personne n'arrivait à écouter. Le Pépère regarda Nicolas et lui dit.
- J'ai reçu un SMS de Manu, il réveillonne au Touquet, il a mangé des cordons-bleus, lol. Il me pose une question à laquelle je ne trouve pas de réponse. Voilà, pour recenser les nez rouges, tous les maires de France on demandé aux habitants de mettre dans un sac un bouchon rouge de bouteille de villageoise s'ils étaient un nez rouge. Dans les villes ça peut aller le décompte est correcte, mais dans les campagnes, ils y a plus de bouchons que d'habitants dans les sacs. Par exemple sur la commune de mon alcoolique, il y a quatre cent vingt habitants et la mairesse a décompté neuf cent quatre-vingt-quinze nez rouges, c'est à n'y rien comprendre. Aurais-tu une idée Nicolas ? Je ne t'ai pas dit la meilleure, les sacs vont être livrés à l'Élysée et nous devront recompter ces milliers de sacs avec le Président, bon nous verrons ça demain ensemble.
- Écoute, je ne comprends pas, comment il peut y avoir plus de nez rouges que d'habitants sur une commune. Alors et Marie Chatoinette, tu ne l'as pas encore raconté.
- Hé bien voilà, ma chamoureuse, Marie Chatoinette, qui était la minette à Louis seize, faisait de l'humanitaire. Elle était partie au Zimbabwe avec sœur Chatmanuelle, pour livrer du matériel scolaire aux fourmis savantes du pays. C'étaient des colonies de fourmis qui étaient à l'époque les plus intelligentes au monde. Elles créaient tout ce qui était livré à l'exportation vers notre pays par avions ou par bateaux. Ma chamoureuse a été enlevée par des trafiquants que j'avais fait arrêter quelque temps avant. Ils faisaient des fausses roues de diligence. Ils inondaient la cour de ces fausses roues et à vitesse élevée, elles explosaient. Les accidents d'autoroute étaient une hécatombe et j'ai retrouvé les coupables en Chine. Ils faisaient fabriquer par des taupes ces fausses roues avec de la sciure de bois qu'elles faisaient en le rongeant. J'ai donc sillonné le Zimbabwe avec sœur Chatmanuelle pour la retrouver et je l'ai délivré d'une bande de singe à têtes carrées qui était complice de ces malfaiteurs. Nous sommes aussitôt retourné vers le château de Versailles avec ma chatmoureuse et sœur Chatmanuelle.
