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Pépère le chat du poète. Suite. 13 octobre

#1
Depuis le début des événements, Cookie avait la tranquillité dans sa maison. Elle dormait tranquillement et Chatdore était contre elle. Lucie s'était réveillée et elle était partie au fond du champ. Il lui semblait que l'homme qui parlait tout seul en marchant était de retour, car elle entendait des voix. En effet, l'homme était encore dans les parages et regardait des vidéos sur un site, pour ne pas le dire pour personnes averties. Julie ne le voyait pas, mais il s'approchait de plus en plus et elle finit par entendre ce qu'il disait. - Non ce n'est pas possible encore des blondes. Bon alors où est le réseau. Bon, je vois ce que c'est François le FBI à du mettre un micro dans le téléphone et cela brouille la réception, c'est sûr. Il rangea le téléphone dans sa poche et vint vers la clôture et enfin Lucie le distingua. Il s'approcha de plus en plus près et finit par se poser devant Lucie et la regarda avec curiosité et finit par lui dire. Bon, je sais que tu es un agent du FBI un arbre là-bas plus loin à ton odeur et tu as posé un micro dans mon téléphone. Ton silence est assez éloquent et je suis certain de ce que je dis. Bon, je vais aller voir les gendarmes. J'ai lu dans le journal le brigadier Tatouvu parlait de tes agissements et tu seras arrêté par les gardes du corps à Macronche d'ailleurs, j'étais avec l'élysée cet après-midi et je lui en ai parlé. Enlève ton masque si ça se trouve, tu es une femme. C'est vrai quoi, j'ai quarante ans et je n'ai jamais eu de copine, mais ce n'est pas une raison pour se moquer de moi. Julie ne comprenait rien à son langage et finit par repartir vers le noyer où habitait Rookie. L'homme lui reprit le chemin de la forêt en continuant de parler tout seul. À Sancoins, sœur, Mathilde était contente de son geste envers le brigadier. Elle roulait dans tous les sens. Malgré ses quatre-vingt-deux ans, elle avait réussi une gymnastique insensée et conduisait avec un pied et de l'autre tenait le volant. De la main droite, elle changeait les vitesses et sa main gauche était posée sur un de ses yeux. La musique à fond, elle fonçait vers le supermarché Atac pour aller chercher de l'essence. - Qu'est ce que c'est que ses voitures où on ne voit même pas la route en conduisant normalement. C'est insensée cette histoire. Où qu'elle est la troisième, alors connas.. Déjà, que tu es un boit-sans-soif en plus, tu te rebelles et refuses de changer de vitesse attends, je vais te soigner, je vais te mettre un bon coup d'accélération dans le museau et tu ferras moins la malines. Bon ipomme où qu'il est le bistrot, heu, non la station a vin. Je suis perdue avec cette voiture qui est impossible à conduire. Ha un snap, qui c'est, ce con de père Dominique qu'est ce qu'il veut encore bon, je m'arrête. Stop voiture de mauvaises qualités. La sœur stoppa l'auto comme elle le put et répondit au père Dominique. Pendant ce temps Pépère et Turbo remontaient vers la cabane du poète. Plutôt, que de prendre la route, ils coupaient à travers le champ à Cookie. C'était une idée de Pépère qui avait émis l'idée de passer voir la jument et regarder dans la cabane s'il n'y voyait pas des indices de son vol. En réalité, c'est qu'il avait une envie de caca très urgente et n'osait pas le dire à Turbo. Dans sa tête, il pensait, qu'est ce que je vais encore me marrer, chat chat chat. Arrivé vers la cabane, il s'exécuta en entrant, il s'approcha doucement du museau à Cookie et leva la queue et fit son affaire avant de sortir en courant en disant à Turbo. - Sauve qui peut, la bougresse a la gastro-entérite vite, elle se repend, c'est un tsunami. Les deux chats partir à pattes rabattues en direction du chalet. Turbo fut le premier à s'arrêter en face de la maison à Bibou. Il entra dedans et Pépère le suivit. - Dit moi, Pépère, tu es sérieux de cette histoire de bouteille greffée sur des arbres ? - Bien sûr que je suis sérieux et sache qu'il était arrivé à faire son affaire de greffe. Voilà sa compagne avait mis des bouteilles de rhum vide sur un arbre. Oui, mais voilà en dessous mon alcoolique africain repeint à la craie indienne avait enterré des saloperies chimiques. Du coup, les bouteilles ont poussé et sa soûlarde et lui les ont cueillis et bus. Résulta, ils se sont retrouvés aux urgences. Figure toi qu'elle avait les oreilles qui avaient poussées de 12 mètres et mon soûlard iranien imbibé de bière du pôle Sud à les dents qui poussaient sans s'arrêter. Les médecins de l'hôpital n'avaient jamais constaté un tel phénomène. Voilà mon loulou.

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Cortisone

Maître Poète
#2
Hihihihi le soûlard avec les dents qui poussent sans arrêt. Je serais curieuse de voir ça. J'attends la suite demain avec impatience
Amicalement Daniel
Gaby