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Pépère le chat du poète. Suite. 11 octobre

#1
Un œil qui en avait un peu marre de fureter sur le Web décida d'aller faire un tour dehors. Il laissa la valise face à une fenêtre. Elle était posé sur la table. Dedans, il n'y avait pas que les textes à Pépère, il y avait aussi des souvenir qui lui était très chers. Des photos ternies de lui et ses petits frères. Une mèche de cheveux de sa première maman. Quand, il avait vu Chouânne pour la première fois, il avait remarqué qu'elle avait les mêmes cheveux. Depuis cette rencontre cette petite mèche de cheveux lui était encore plus chère que ses textes. D'autre objets insignifiants pour, un œil étaient dans cette valise, une moustache de chat, des bouts de papier froissés avec différentes écriture, un livre de poésie avec une fleur séchée et un trèfle à quatre feuille, un vieux crayon de papier, un réveil usager et un catalogue de promotion d'un célèbre boucher où Pépère avait écrit dessus en gros avec un feutre rose fluo mes amours. Un œil franchit le pas de la porte et se dirigea vers le terrain du poète pour voir s'il ne trouvait pas d'autres objets à voler. Tandis que Pépère et Turbo remontaient la rue, il coupa la route devant eux qui étaient trois cent mètres plus haut. Arrivé à la cabane, il vit la porte ouverte et coincée avec un morceau de bois. Il se disait, c'est un cromagnon où quoi ? Il se risqua dedans et trouva sur le bureau du poète une tourte qui n'avait pas encore été déballée. Il déchira l'emballage et la mangea entièrement. Il n'avait pas manger depuis le matin et il avait extrêmement faim.
Pendant que le cousin faisait l'enquêteur, elle Sybage ne faisait que de penser à son chatmoureux et eu l'idée de lui écrire un poème qu'elle lui envoya. Voici ce texte.

Notre rencontre.

Le vent présence invisible m'apporte toujours quelque chose de toi.
Loin de ton être, il arrive et je sens ton odeur si exquise qui me met en joie.
En passant près de toi, il a gardé une trace merveilleuse de ta beauté.
Il balaie mon visage et ces parfums pénètrent mon âme à la chavirer.

Nous marchons dans l'allée qui borde le pré où sont né nos amours.
Si nous avions besoin de repos pour nos âmes, nous y viendrions toujours.
Le vent arrive à chaque fois avec un millier de trésors pour nos cœurs.
Tu marches devant au loin et je ressens la caresse de ce vent de bonheur.


Bientôt, j'arrive sur toi et te regarde sous l'ombre des grands noyers.
Le vent leur a porté ton odeur et les arbres en sont chavirés.
Vois sur l'onde des flots de l'herbe les feuilles aussi l'ont ressenti.
Comme les arbres ils se croient pousser par les vents du paradis.
Pour toi mon chatmoureux.
Dans la rue qui bordait le champ, Turbo suivait Pépère et il s'écria.
- Regarde devant, c'est le chat que j'ai vu dans l'allée. J'en suis , sur il a un faux œil très brillant.
Pépère qui était un peu myope n'avait rien vu et lui répondit.
- Olala mon Loulou tu as dû t'approcher trop près de la cabane et tu as dû être contaminé par les saloperies chimiques de mon rase moquette d'occasion élevé à la sciure de pamplemousse d'Italie fait par des Arméniens manchots.
- Ha, bon, tu crois ?
- Oui mon Lolou, figure toi que mon soûlard élevé à la courgette farcie à la confiture de pommes de terre et sa comparse qui est née dans un fût de pastis frelaté déguisé en pot au lait ont déjà été eux même contaminé par ses saloperies et ont été suite à ça engagé par Disney land pour la parade.
- Ha bon comment ça, explique moi Pépère.
- Voilà un soir, ils ont fait ensemble une soirée d'orgie alcoolique et alimentaire. Suite à ça, ils ont été en discothèque, le dance and drink, au retour la laguna qui fonctionnait à merveille grâce à mes soins à finies dans la cabane à Cookie et ils ont dormi dans la voiture. Au réveil, mon alcoolique cancéreux de l'ongle du gros orteil constate les dégâts et m'appelle en me disant. Mon gentil minet, tu vas réparer la cabane et ensuite refaire la carrosserie de la Renault. Je vais commander les éléments qu'il me dit. Les pièces étaient en rupture. Il décide de partir à Paris avec la chatlauréanne qu'il n'arrête pas de trifouiller. Il s'en va donc avec sa comparse en direction de Paris. Arrivé vers Disney Land un contrôle l'arête et lui et sa moitié sont emmenés à moitié hagards faire la parade.
- Ha bon pourquoi ?
- je t'explique au même moment Mickey et Daisy de marne la vallée avaient été au restaurant et avait été victimes d'une intoxication alimentaire et emmené aux urgences qui n'avaient pas prévenu leur patron. Mon soûlard et sa comparse à cause de la nuit passée dans les radiations de la cabane avaient muté en deux êtres étranges. Lui avait des oreilles énormes, une énorme tête et des pieds palmés. Elle des plumes un panache de plumes oranges au derrière un bec et des pieds palmés. Les gendarmes qui étaient à la recherche de Daisy et Mickey pour la parade, suite à un avis de recherche les avaient pris pour eux. Voilà mon Loulou comment, ils se sont retrouvés à faire la parade Disney Land. Alors fait attention si, tu vois qu'il te pousse un bec va aux urgences et fait le 15.



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