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Pépère le chat du poète, suite.

#1
Fripouillet pendant ce temps était toujours devant la cabane du poète. Il se réveilla en sursaut. Il s'était encore endormi sur le fauteuil de Pépère.
La xsara était démarrée et le poète au volant. La porte de la cabane était restée entrebâillée et Fripouillet se précipita à l'intérieur.
À peine avait-il commencé à fouiller qu'il entendit des pas derrière la porte.
- Tiens, il est parti mon petit rouquin.
Il n'eut que le temps de se cacher sous le bureau derrière la poubelle.
- Mince, j'ai bien failli être pris la patte dans le sac moi tout seul. Mais je ne rêve pas, juste devant, là, non ! Incroyable cette énorme brioche. Mais pas de saucisson, c'est étrange, ses grandes dents ont dû s'en occuper, c'est presque certain.
Pépère avait raison, c'est un ventre sur patte, mais où va-t-il comme ça. Alors, l'alcoolique, tu t'en vas d'ici que je prévienne mon chef. C'est incroyable, qu'est-ce que c'est que ce bruit. Je ne rêve pas, il avait un sac de croquettes à la main quand il est arrivé.
Oui, Fripouillet, tu entends bien, il mange les croquettes.
Mais pourquoi cette voiture tourne dans le vide dehors. Est-ce qu'il arrive ou bien est-ce qu'il s'en va. Et si cela faisait un long moment que je m'étais endormi. Je rage, moi tout seul, je ne voulais pourtant pas dormir.
Le poète mangeait des biscottes dans du café. Il avait mise tourner sa voiture pour recharger la batterie, car il s'en allait vers Sancoins pour aller chercher du gaz. Il comptait s'arrêter avant chez sa mère pour voir les feux et donner une caresse à ses chats qui étaient sur place.
De derrière sa poubelle, Fripouillet qui était en admiration devant la brioche n'entendit même pas l'homme s'en aller.
Il s'en rendit compte d'un seul coup.
- Mince, je rêvais et le ventre sur pattes est reparti.
Bon, occupons-nous de cette brioche avant de prévenir Pépère.
Il réussit à déchirer la poche et en mangea un bon morceau.
- Bon maintenant fouillons, nous tout seul, je dois retrouver ces saucissons. Incroyable ! Rien de rien, ils sont introuvables, allons voir sur ce bureau.
Alors, hum, des catisfactions, bon allez goûtons-y, avant que Gargantua ne revienne, c'est donc ça qu'il mangeait. Tien un article de journal, que disent-ils, non, un couvre-feu, la région est en guerre, mince, déjà que c'est la disette, hé bien, nous allons tous mourir de faim nous autres.
Appelons Pépère pour lui dire où nous en sommes, nous seul. Mais comment vais-je faire pour sortir, mince, je me suis capturé moi tout seul, hé bien, si ma mère me rappelle, elle va être furax.
Pépère était près à repartir quand il reçu l'appel de Fripouillet.
- Mince, un coup de fil, répondons nous autres avant de partir.
- Oui, ici Pépère le chatgent secret number one, qui est à l'appareil. Ha Fripouillet, attend, je mets le haut-parleur.
- Oui, j'attends mon copain, dis moi quand c'est bon.
- C'est fait, agent Fripouillet. Déjà, il faut que je t'explique quelque chose, quand nous sommes en mission, ce n'est pas mon copain, mais chef suprême où on général, ou général Pépère. Tu peux me remercier, pour ce fait, je pourrais t'envoyer en conseil disciplinaire. Après, tu débutes, tu ne pouvais pas le savoir. Alors est-ce que par hasard, tu aurais du nouveau.
- Oui, mon général Pépère, le soûlard est parti avec sa voiture et il n'avait pas de saucissons avec lui. Simplement, il avait un sac de croquettes catisfactions dont je ne sais où il a été les chercher. Je te jure, mon général Pépère, je n'ai pas dormi, j'étais sur le fauteuil. Je ne sais pas comment il a fait, mais il est arrivé à sortir sans ouvrir la porte.
- D'accord, agent Fripouillet, continue ta mission de surveillance, s'il revient préviens moi. Je me demande où il est allé, après s'il est parti allumer le feu chez sa mère, nous avons le temps nous autres, avec ses silex, il en a au moins pour une bonne heure.
Dès qu'il revient, essaie de voir si tu ne pourrais pas entrer fouiller dans le capharnaüm, je suis certain que les saucissons sont là.
- Mon général Pépère, je suis dans la cabane, et je prospecte.
- Quoi, non, incroyable, tu ne pouvais pas le dire plus tôt.
- Oui, mon général Pépère, dans...
- Non, dis plutôt, mon copain, c'est trop long mon général Pépère, nous sommes pressés nous autres.
- Oui, mon copain, dans la cabane, je fouille partout, je ne les ai pas trouvés. Il mange tes catisfactions, tu avais raison, c'est un ventre sur patte.
Qu'est-ce que je fais à présent, mon géné, oups, mon copain.
- Tu n'as rien trouvé d'autre par hasard.
- Si mon copain, un article de journal, c'est pour des mesures incroyables de temps de guerre.
- Ah oui, envoie-le par photo que je regarde ça.
Fripouillet mit fin à l'appel et il se dépêcha de prendre une photo de l'article pour lui envoyer. Il se rappela qu'il avait oublié de lui demander comment sortir de la cabane.
Le Pépère reçu la photo et il dut lire l'article au moins trois fois de suite. Il était toujours très indisposé du ventre et cela le dérangeait fortement.
- Alors que dit-il ?
- Oui, qu'est-ce que c'est que cet article ?
- Hé bien, mes copains, c'est du lourd, et même du très lourd.
Savez-vous pourquoi le frère de mon brin de paille nucléaire était en train de retaper un char d'assaut. Hé bien, c'est la guerre bactériologique. Oui, je comprends maintenant pourquoi Fripouillet ne l'a pas vu sortir de la cabane. Le salopard a trouvé le moyen de se rendre invisible et les autorités sont à sa recherche. Ce n'est pas compliqué, ils ont même instauré un couvre-feu sur toutes les régions voisine à la sienne.
Il fait comme love gendarme avait fait un jour en mission.
- Mais qu'avait-elle fait ?
- Elle s'était rendu invisible, grâce aux connaissances extraordinaires de Pépère...


La suite demain.

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Cortisone

Maître Poète
#2
Fripouillet pendant ce temps était toujours devant la cabane du poète. Il se réveilla en sursaut. Il s'était encore endormi sur le fauteuil de Pépère.
La xsara était démarrée et le poète au volant. La porte de la cabane était restée entrebâillée et Fripouillet se précipita à l'intérieur.
À peine avait-il commencé à fouiller qu'il entendit des pas derrière la porte.
- Tiens, il est parti mon petit rouquin.
Il n'eut que le temps de se cacher sous le bureau derrière la poubelle.
- Mince, j'ai bien failli être pris la patte dans le sac moi tout seul. Mais je ne rêve pas, juste devant, là, non ! Incroyable cette énorme brioche. Mais pas de saucisson, c'est étrange, ses grandes dents ont dû s'en occuper, c'est presque certain.
Pépère avait raison, c'est un ventre sur patte, mais où va-t-il comme ça. Alors, l'alcoolique, tu t'en vas d'ici que je prévienne mon chef. C'est incroyable, qu'est-ce que c'est que ce bruit. Je ne rêve pas, il avait un sac de croquettes à la main quand il est arrivé.
Oui, Fripouillet, tu entends bien, il mange les croquettes.
Mais pourquoi cette voiture tourne dans le vide dehors. Est-ce qu'il arrive ou bien est-ce qu'il s'en va. Et si cela faisait un long moment que je m'étais endormi. Je rage, moi tout seul, je ne voulais pourtant pas dormir.
Le poète mangeait des biscottes dans du café. Il avait mise tourner sa voiture pour recharger la batterie, car il s'en allait vers Sancoins pour aller chercher du gaz. Il comptait s'arrêter avant chez sa mère pour voir les feux et donner une caresse à ses chats qui étaient sur place.
De derrière sa poubelle, Fripouillet qui était en admiration devant la brioche n'entendit même pas l'homme s'en aller.
Il s'en rendit compte d'un seul coup.
- Mince, je rêvais et le ventre sur pattes est reparti.
Bon, occupons-nous de cette brioche avant de prévenir Pépère.
Il réussit à déchirer la poche et en mangea un bon morceau.
- Bon maintenant fouillons, nous tout seul, je dois retrouver ces saucissons. Incroyable ! Rien de rien, ils sont introuvables, allons voir sur ce bureau.
Alors, hum, des catisfactions, bon allez goûtons-y, avant que Gargantua ne revienne, c'est donc ça qu'il mangeait. Tien un article de journal, que disent-ils, non, un couvre-feu, la région est en guerre, mince, déjà que c'est la disette, hé bien, nous allons tous mourir de faim nous autres.
Appelons Pépère pour lui dire où nous en sommes, nous seul. Mais comment vais-je faire pour sortir, mince, je me suis capturé moi tout seul, hé bien, si ma mère me rappelle, elle va être furax.
Pépère était près à repartir quand il reçu l'appel de Fripouillet.
- Mince, un coup de fil, répondons nous autres avant de partir.
- Oui, ici Pépère le chatgent secret number one, qui est à l'appareil. Ha Fripouillet, attend, je mets le haut-parleur.
- Oui, j'attends mon copain, dis moi quand c'est bon.
- C'est fait, agent Fripouillet. Déjà, il faut que je t'explique quelque chose, quand nous sommes en mission, ce n'est pas mon copain, mais chef suprême où on général, ou général Pépère. Tu peux me remercier, pour ce fait, je pourrais t'envoyer en conseil disciplinaire. Après, tu débutes, tu ne pouvais pas le savoir. Alors est-ce que par hasard, tu aurais du nouveau.
- Oui, mon général Pépère, le soûlard est parti avec sa voiture et il n'avait pas de saucissons avec lui. Simplement, il avait un sac de croquettes catisfactions dont je ne sais où il a été les chercher. Je te jure, mon général Pépère, je n'ai pas dormi, j'étais sur le fauteuil. Je ne sais pas comment il a fait, mais il est arrivé à sortir sans ouvrir la porte.
- D'accord, agent Fripouillet, continue ta mission de surveillance, s'il revient préviens moi. Je me demande où il est allé, après s'il est parti allumer le feu chez sa mère, nous avons le temps nous autres, avec ses silex, il en a au moins pour une bonne heure.
Dès qu'il revient, essaie de voir si tu ne pourrais pas entrer fouiller dans le capharnaüm, je suis certain que les saucissons sont là.
- Mon général Pépère, je suis dans la cabane, et je prospecte.
- Quoi, non, incroyable, tu ne pouvais pas le dire plus tôt.
- Oui, mon général Pépère, dans...
- Non, dis plutôt, mon copain, c'est trop long mon général Pépère, nous sommes pressés nous autres.
- Oui, mon copain, dans la cabane, je fouille partout, je ne les ai pas trouvés. Il mange tes catisfactions, tu avais raison, c'est un ventre sur patte.
Qu'est-ce que je fais à présent, mon géné, oups, mon copain.
- Tu n'as rien trouvé d'autre par hasard.
- Si mon copain, un article de journal, c'est pour des mesures incroyables de temps de guerre.
- Ah oui, envoie-le par photo que je regarde ça.
Fripouillet mit fin à l'appel et il se dépêcha de prendre une photo de l'article pour lui envoyer. Il se rappela qu'il avait oublié de lui demander comment sortir de la cabane.
Le Pépère reçu la photo et il dut lire l'article au moins trois fois de suite. Il était toujours très indisposé du ventre et cela le dérangeait fortement.
- Alors que dit-il ?
- Oui, qu'est-ce que c'est que cet article ?
- Hé bien, mes copains, c'est du lourd, et même du très lourd.
Savez-vous pourquoi le frère de mon brin de paille nucléaire était en train de retaper un char d'assaut. Hé bien, c'est la guerre bactériologique. Oui, je comprends maintenant pourquoi Fripouillet ne l'a pas vu sortir de la cabane. Le salopard a trouvé le moyen de se rendre invisible et les autorités sont à sa recherche. Ce n'est pas compliqué, ils ont même instauré un couvre-feu sur toutes les régions voisine à la sienne.
Il fait comme love gendarme avait fait un jour en mission.
- Mais qu'avait-elle fait ?
- Elle s'était rendu invisible, grâce aux connaissances extraordinaires de Pépère...


La suite demain.

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Un plaisir de lecture
Merci Daniel
Amitiés poétiques
Gaby