Mes liens s'ouvraient sur son très fort joug,,
quand une larme jaillissait , perdante. lanscinante ,
l'œil rougit sur le plus humble tapis roux
qui merdait sur le coude , bleuit tentante
canta la canzonné
insolente jovialité qui ne ternissait ma cerne ,
,d"une troublante voix qui jouissait sur " Ma route "
quand les cris ne me persuade , si terne
O, vert qui ose , sur la pointe qui ne doute .
pour le cri de ma gorge , dont mon mentor me refusait,
lasse, si lasse , quand je dormais sur son épaule ,
d'un suintement indocile qui s'épuise et s' usait .
sur le fort , de mon arêne d'homme , en rôle
canta la canzonné
Les yeux rivés sur mon sein diaphane qui pointe ,
la cambrure qui s'éreinte en bombant ma Lombaire,
l'odeur d'encens qui hume ma chambre disjointe
caressante , de effrénée si dense dans l' air .
Ma lèvre fièvreuse , si humble au gout de manganèse.
d'un magnésium pas plus futile en étant utile ,
quand le silence de mon antre qui ne cesse
laissante d'un cri qui hurle jusqu'à mon ile
canta la canzonné , ,
les rêves d'hier au bord d'une plage d'Ibiza ,
si long island pour la bouche en mi Amie ,
sur le dos revenant d'une hot soirée en bas
quand la tempe rougissait , si , maman , si
Kiss de Samyelle
www.FLSamyelle@fr
quand une larme jaillissait , perdante. lanscinante ,
l'œil rougit sur le plus humble tapis roux
qui merdait sur le coude , bleuit tentante
canta la canzonné
insolente jovialité qui ne ternissait ma cerne ,
,d"une troublante voix qui jouissait sur " Ma route "
quand les cris ne me persuade , si terne
O, vert qui ose , sur la pointe qui ne doute .
pour le cri de ma gorge , dont mon mentor me refusait,
lasse, si lasse , quand je dormais sur son épaule ,
d'un suintement indocile qui s'épuise et s' usait .
sur le fort , de mon arêne d'homme , en rôle
canta la canzonné
Les yeux rivés sur mon sein diaphane qui pointe ,
la cambrure qui s'éreinte en bombant ma Lombaire,
l'odeur d'encens qui hume ma chambre disjointe
caressante , de effrénée si dense dans l' air .
Ma lèvre fièvreuse , si humble au gout de manganèse.
d'un magnésium pas plus futile en étant utile ,
quand le silence de mon antre qui ne cesse
laissante d'un cri qui hurle jusqu'à mon ile
canta la canzonné , ,
les rêves d'hier au bord d'une plage d'Ibiza ,
si long island pour la bouche en mi Amie ,
sur le dos revenant d'une hot soirée en bas
quand la tempe rougissait , si , maman , si
Kiss de Samyelle
www.FLSamyelle@fr