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Ouvre les yeux, crée toi ta propre opinion...

#1
Je me pose, histoire de faire un texte
j'ai besoin d'air, passé plus de frontière,
que celle pour aller au pays,
la ou j'ai trouvé celle qui, je pensé,
pouvais peut-être m'aidé, mai qui,
o final me détruit...

o début tu te dit que ce n'est rien,
combien de fois je me suis dit,
pff si je veux je peut arrêté demain...
c'est triste a dire, mais réaliste...
je suis tombé dans ce puie profond,
difficile de sen sortir, je le dit,
oui je l'avoue, car je n'aime pas me mentir...
je ne suis pas acro o point de devenir fou,
rassure toi sa pourrait être bien pire...
un maximum de sincérité,
voila se qui me fait avancé,
je ne suis pas Jeanne d'arc,
mais j'entends quand même une voix,
une voix qui guide mais pas,
difficile d'expliquer, c'est trop trouble,
j'ouvre les yeux petit a petit depuis quelque années,
j'écris tout sa en observent se monde,
je baisse la tète, merde regarde par terre,
tout comme moi tu est assis sur une bombe,
je reléve la tète, car je refuse cela...
je refuse de me dire que tout le monde vie,
pour au final finir dans une tombe,
ou retourné a la poussière,
pour ceux qui, dans ce monde,
ne vive pas, mais survive,
qui se shout pour ne plus subir,
même les yeux rouges, voie la vie,
seulement en noir et blanc,
assis sur un banc dans un parc,
affalé, complètement défoncé, limite inconscient,
ouvre les yeux, regarde le, prend conscience,
qu'il na pas choisie cela,
qu'il ne subit que les conséquence,
de mauvais choix qu'il a plus faire dans le passé...
regarde le, fais toi une opinion,
ne suis pas celle de la plupart des être humains,
tourné la tète, se dire non ! je n'est rien vue...
lui ta vue même si ton attitude,
n'aurais préféré pas la voire,
qu'on esquive son regard il en na prie l'habitude,
mais lui aussi aurait préféré continué c étude,
au lieu d'être sur ce banc complètement ivre...
mais quand pas une seul débouché se pointe à l'horizon,
tous finisse par perdre la raison,
Pour quiconque crois que je dramatise,
oui ce texte est crue, non je ne mâche pas mes mots,
j'évacue, retranscrire mon vécue,
l'ont ne croie que se que l'ont voie
ou plutôt se que l'ont veux bien nous faire voir,
les médias censure ce dont elle n'est pas fière
nous font avalé tous ceux qu'il veulent nous faire croire,
la censure je la nique, o nom de la liberté d'expression...
ici bas, bien trop de pression, tous ceux que fait l'homme, foire !
dénoncé les bavure policière, c'est une fierté,
pour ceux qui sur la balance de la justice, ne pèze pas lourd,
ces keufs qui prétende défendre l'état,
alors qu'ils sont eux même en état d'ébriété,
besoin d'air, de liberté, mais pas celle,
comme après un gros joins d'herbe,
besoins d'être heureux, que chaque jour qui passe,
sois nouveau, lever la tète, regardé droit devant,
est me dire sayé maintenant je trace,
sans ne plus jamais regardé en arrière,
mauvais pressentiment, quand je pense au future...
pas encore 17 ballais, est ma mémoire est déjà pleine a craqué,
de plein de chose qui mon marqué,
ici la réalité te pousse a te crever les yeux,
ne me dite pas que ce monde est droit,
il part en vrille est ne reviendra pas,
c'est pas une questions de mauvaise fois,
je fais ce que je peux, trop peut souvent ce que je veux,
je n'oublierais jamais tous ceux qui mon aidé, ou supporté,
je ne serait jamais seul, je suis encore très loin du sommet...
la route vers tout la haut, est sinueuse, pleine d'embûche,
très peut sur, et tortueuse, alors d fois je trébuche,
merci a tout ceux qui m'aide a relevez la tète,
a ne pas devenir aveugle, devant la réalité,
gardé les yeux ouvert, même si certain être humains
parfois, me font pitié...