Oh! Mon rhum est haut ( Hic ! hic ! hic! ) ( pour rire un peu)
D'après Roméo et Juliette, Duo avec moi-même, Oui, c'est possible. De Lilasys
Oh! Mon rhum est haut et toujours je le guette,
Avec lui je zozote et je pars en goguette,
Mon seul humour ne fait que te casser les pieds,
Oui! Rhum là-haut, plus je bois, moins je suis déterminé.
Oh! Ma zézette, mon (ph)fallacieux sucre d'orge,
C'est bien l'apôtre pas clair pour un rot qui se forge,
C'est un détour pour l'absence de ta reprise,
Je ralenti le risque de ta fin, bien arrosée sera ma promise.
Oh! Mon rhum est haut, je pleure de boire ce rosé,
Je ne fuis pas, même au lit tes beaux aspects,
Je flonflonne l'humour, fondant et tremblotant ta fleur,
Dans les bars, je m'ennuie du four de ta rancœur.
Oh! Ma zézette, quelle méprise ce flou un peu con,
Si lâcher le goulot que je présume, jamais ne répond,
Flotte, mange et festoie à la saison des folles du plafond,
Mais surtout, ma tigresse, vole donc comme un faucon.
Oh! Mon rhum est haut quand serais-je plus vivante,
Ton humour pour toi est un roc fort, avec le vin serpente,
Mon obole est un chaume sur ton toit pour te soutenir,
Même mes baleines ici ne sont ici que souvenir.
Oh! Ma zézette, enferme ici les feux follets à naître,
S'occupant des bourses pour les faire paraître,
Cette nuit, camarade, je vais faire un malheur,
Qui réduit comme un four ce doux labeur.
Oh! Mon rhum est haut, je vais desservir à demi,
Car mon bon vin ne tiendra pas jusqu'à la nuit,
Des ténèbres, je sortirais encore comme celle,
Que ton humour, ne peut pas être que simple ritournelle.
Oh! Ma zézette, cette nuit tu'n'feras pas la fête,
Pas même à l'usine, reposé tu sera encore verte,
Une absente encore déposée ou l'on n'peut plus puiser,
Cette grande veste pour ce jour pour toi, m'a déjoué.
D'après Roméo et Juliette, Duo avec moi-même, Oui, c'est possible. De Lilasys
Oh! Mon rhum est haut et toujours je le guette,
Avec lui je zozote et je pars en goguette,
Mon seul humour ne fait que te casser les pieds,
Oui! Rhum là-haut, plus je bois, moins je suis déterminé.
Oh! Ma zézette, mon (ph)fallacieux sucre d'orge,
C'est bien l'apôtre pas clair pour un rot qui se forge,
C'est un détour pour l'absence de ta reprise,
Je ralenti le risque de ta fin, bien arrosée sera ma promise.
Oh! Mon rhum est haut, je pleure de boire ce rosé,
Je ne fuis pas, même au lit tes beaux aspects,
Je flonflonne l'humour, fondant et tremblotant ta fleur,
Dans les bars, je m'ennuie du four de ta rancœur.
Oh! Ma zézette, quelle méprise ce flou un peu con,
Si lâcher le goulot que je présume, jamais ne répond,
Flotte, mange et festoie à la saison des folles du plafond,
Mais surtout, ma tigresse, vole donc comme un faucon.
Oh! Mon rhum est haut quand serais-je plus vivante,
Ton humour pour toi est un roc fort, avec le vin serpente,
Mon obole est un chaume sur ton toit pour te soutenir,
Même mes baleines ici ne sont ici que souvenir.
Oh! Ma zézette, enferme ici les feux follets à naître,
S'occupant des bourses pour les faire paraître,
Cette nuit, camarade, je vais faire un malheur,
Qui réduit comme un four ce doux labeur.
Oh! Mon rhum est haut, je vais desservir à demi,
Car mon bon vin ne tiendra pas jusqu'à la nuit,
Des ténèbres, je sortirais encore comme celle,
Que ton humour, ne peut pas être que simple ritournelle.
Oh! Ma zézette, cette nuit tu'n'feras pas la fête,
Pas même à l'usine, reposé tu sera encore verte,
Une absente encore déposée ou l'on n'peut plus puiser,
Cette grande veste pour ce jour pour toi, m'a déjoué.