Oh ! Cieux odieux.
D’une sieste, sommeillant sous un beau ciel clair,
Profitant du soleil, un bienfait pour mon âge,
S’entrechoquèrent des nuages en flash d’un éclair,
Cumulonimbus ne voulait plus être sage.
La foudre fulgurante m’ôtait le plus précieux,
Son tonnerre assourdissant mes petites oreilles,
Ce sont des dieux odieux qui ont cassé mes cieux,
Agitant mon repos, détruisant mes merveilles.
Les nues pleuraient, versant leurs plus grandes larmes,
Tourbillon ajoutant des petits grains glacés,
Ne pouvant se combattre qu’avec nos petites armes,
Camouflé à l’abri, me sentant agressé.
Orages, oh ! Offrez-nous donc les plus beaux espoirs,
Azur du ciel redevient donc sans ton bouteille,
J’ai désiré la lune rousse mais sans la voir,
Mais cachée par des nuages obstruant ma veille.
D’une sieste, sommeillant sous un beau ciel clair,
Profitant du soleil, un bienfait pour mon âge,
S’entrechoquèrent des nuages en flash d’un éclair,
Cumulonimbus ne voulait plus être sage.
La foudre fulgurante m’ôtait le plus précieux,
Son tonnerre assourdissant mes petites oreilles,
Ce sont des dieux odieux qui ont cassé mes cieux,
Agitant mon repos, détruisant mes merveilles.
Les nues pleuraient, versant leurs plus grandes larmes,
Tourbillon ajoutant des petits grains glacés,
Ne pouvant se combattre qu’avec nos petites armes,
Camouflé à l’abri, me sentant agressé.
Orages, oh ! Offrez-nous donc les plus beaux espoirs,
Azur du ciel redevient donc sans ton bouteille,
J’ai désiré la lune rousse mais sans la voir,
Mais cachée par des nuages obstruant ma veille.