Je te rêve la nuit.
Je te vis le jour.
Et arrive la nuit et passent les jours,
Je suis avec toi pour toute la vie.
Je ne peux t’oublier.
Mais tu n’es qu’un étranger.
Nous ne serons jamais.
Mais je ne peux que désespérer.
Tu n’es pas mien et tu ne le seras pas.
Qu’y puis-je faire ?
Jamais à moi tu ne penseras.
Je brûle de feu. Je suis en enfer.
Je ne te connais pas.
Tu ne me connais pas.
Parfois, je vois tes yeux
Qui me disent des choses, mais pas celles que je voudrais.
Je m’en remets à Dieu
Pour que je puisse réagir, t’oublier mais je reste sans volonté
Face à tes regards.
Sans réponses sont mes espoirs.
Un mur nous sépare,
Ainsi que des trains et des gares.
Mais je t’aime,
Tout de même.
Je te vis le jour.
Et arrive la nuit et passent les jours,
Je suis avec toi pour toute la vie.
Je ne peux t’oublier.
Mais tu n’es qu’un étranger.
Nous ne serons jamais.
Mais je ne peux que désespérer.
Tu n’es pas mien et tu ne le seras pas.
Qu’y puis-je faire ?
Jamais à moi tu ne penseras.
Je brûle de feu. Je suis en enfer.
Je ne te connais pas.
Tu ne me connais pas.
Parfois, je vois tes yeux
Qui me disent des choses, mais pas celles que je voudrais.
Je m’en remets à Dieu
Pour que je puisse réagir, t’oublier mais je reste sans volonté
Face à tes regards.
Sans réponses sont mes espoirs.
Un mur nous sépare,
Ainsi que des trains et des gares.
Mais je t’aime,
Tout de même.