Un écrit qui peut toucher les âmes sensibles....
Dans les odeurs de volutes d'encens,
Dans la buée épaisse de senteurs de jasmin,
Elle se balade lascive, dénudée pour un bain,
Son corps va quémander l'huile d'Argan,
Il la massera de bas en haut , sans dire mot,
Des doigts d' Enfer et de bons attributs,
Se laissant deviner sous la serviette,
Portée sur les hanches en paréo,
Va-t-elle céder , telle une eperdue ?
Vibrera-t-il aux stratagèmes de séduction,
Aux folles passions que l'on retient,
Embarquera-t-il dans un échevelé tourbillon,
Elle le guette, l'attisant de ses reins,
Elle, obligée de rester enfermée,
Elle, si libre dans cet endroit réservé
Aux Dames, se faisant belle et purifier
Tenu par des hommes faits pour lorgner.
Qui restent pudiques, mais avenants
Ils savent attendre le bon moment,
Mettant son plumage au service
captivant,
Épaule contre epaule, les doigts s'entrelacants,
Se promenant sur des seins, aux avantages entreprenants,
Elle se laisse faire, derrière la face cachee,
Des doigts, il écarta les bords de la fosse inexplorée,
Baillant , pour recevoir l'instrument à son entrée,
Le barrage force, le plaisir dépassa la douleur,
Le Rubicon était franchi, elle s 'habilla le cœur,
Comme elle était venue, en longue robe fonce,
Un foulard lui cachant , les yeux et cheveux mordorés.
L'air chaud derrière la porte la secoua
de son haleine brûlante,
Regagnant son domicile, haletante
Elle se savait enfermée une semaine,
Attendant le prochain bain,
Les mains sondant ses prunelles satin,
Comme si, lui, masseur , le sang en feu,
Lisait la réponse dans ses yeux ,
D'une habilité sans egale, Priape et sa chevauchée,
Enfourchant, les yeux noyés,. Le " petit dieu"et ses lobes fessiers...
Dans les odeurs de volutes d'encens,
Dans la buée épaisse de senteurs de jasmin,
Elle se balade lascive, dénudée pour un bain,
Son corps va quémander l'huile d'Argan,
Il la massera de bas en haut , sans dire mot,
Des doigts d' Enfer et de bons attributs,
Se laissant deviner sous la serviette,
Portée sur les hanches en paréo,
Va-t-elle céder , telle une eperdue ?
Vibrera-t-il aux stratagèmes de séduction,
Aux folles passions que l'on retient,
Embarquera-t-il dans un échevelé tourbillon,
Elle le guette, l'attisant de ses reins,
Elle, obligée de rester enfermée,
Elle, si libre dans cet endroit réservé
Aux Dames, se faisant belle et purifier
Tenu par des hommes faits pour lorgner.
Qui restent pudiques, mais avenants
Ils savent attendre le bon moment,
Mettant son plumage au service
captivant,
Épaule contre epaule, les doigts s'entrelacants,
Se promenant sur des seins, aux avantages entreprenants,
Elle se laisse faire, derrière la face cachee,
Des doigts, il écarta les bords de la fosse inexplorée,
Baillant , pour recevoir l'instrument à son entrée,
Le barrage force, le plaisir dépassa la douleur,
Le Rubicon était franchi, elle s 'habilla le cœur,
Comme elle était venue, en longue robe fonce,
Un foulard lui cachant , les yeux et cheveux mordorés.
L'air chaud derrière la porte la secoua
de son haleine brûlante,
Regagnant son domicile, haletante
Elle se savait enfermée une semaine,
Attendant le prochain bain,
Les mains sondant ses prunelles satin,
Comme si, lui, masseur , le sang en feu,
Lisait la réponse dans ses yeux ,
D'une habilité sans egale, Priape et sa chevauchée,
Enfourchant, les yeux noyés,. Le " petit dieu"et ses lobes fessiers...
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