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Nouvelles

PAuger

Nouveau poète
#1
Pour infos , j'écris aussi des nouvelles : L'homme Il faisait nuit. C'était une nuit noire et profonde. Une nuit où rien ne bouge, où tout le monde reste cloitré chez soi à cause du froid. Il faisait nuit, une nuit d'hiver. Une nuit d'hiver glaciale. Une nuit où l'on tout le monde dort, avec la couverture jusqu'au oreilles. Une nuit silencieuse : pas une automobile, pas un cycliste, pas d'ombres humaines. Rien que des lumières blafardes produites pas les lampadaires. D'ombre, il n'y avait que celles des voitures garées. Pas une âme vivante. C'était bien l'hiver. Il neigeait peut-être? Non même pas. Il faisait noir, c'est tout. Noir et froid. Bon, mais il y avait surement des animaux errants ? Pas du tout, rien, le noir, la nuit, le froid, et puis moi, sans oublier ce type. Ce type marchait, droit devant lui. Sans se retourner. Sans émettre le moindre bruit. Il marchait droit devant lui, tout simplement. Peut-être allait-il me voir, m'entendre? De ça, rien. Il était vétu de noir. Par cette nuit glaciale et sombre on ne l'apercevait presque pas. Il marchait. D'un pas lent. Habillé d'un grand manteau, un caban. Il avait des cheveux lisses et noirs. Il semblait drogué ? Même pas. Il marchait, droit sur l'asphalte. Il voulait simplement vivre sa vie, marcher. Je l'ai suivi pendant longtemps. Il allait nulle part, juste droit devant lui, éternellement. J'ai ralenti. Il était d'un teint blanc. Un blanc contrastant avec le noir. Le noir de cette nuit glaciale et profonde. Rien. Que lui est moi. Dans la pénombre. Que nous, que lui, que moi. Je décidai de le suivre, encore. Je ne suis pas d'un naturel préssé. Je n'avais rien à faire. A part le suivre. C'est ce que je fis, je le suivi. Longtemps. La lune brillait. Elle était blanche. Quasiment transparente. D'un blanc migrant vers l'argenté. Mais je le suivais. Toujours, longtemps. Puisque je n'avais rien à faire. Pas de travail, seul, heureux, libre et curieux. Curieux de savoir qui c'était. Cet homme qui marchait, droit devant lui. Dans la pénombre de la nuit, glaciale, noire, profonde. Il avait peut-être la quarantaine. Je n'en sais rien. Seul Dieu le sais. Il était peut-être heureux, heureux de marcher. Je ne puis savoir. Il était devant moi. A une distance certaine. Je le suivais. Encore et encore. Toujours. Longtemps. Il était là. Devant moi. Sur la route noire, par cette nuit noire, habillé de noir. La rue tournait. Il tourna. Je tourna. Nous tournâmes. Il marchait encore. Comme un automate. Un automate vétu d'un grand manteau noir. Qui marchait droit. Je le suivait toujours. Pourquoi s'arreter. J'avais le temps. Le temps devant moi. Je l'employais à le suivre. Encore. Toujours. J'avais envie de savoir qui c'était. Peut-être que ce type était seul lui aussi. Peut-être qu'il n'avait rien a faire lui aussi. A part marcher. Droit devant lui. Sur l'asphalte. Le noir dominant. Moi, j' étais fatigué. Le suivre. Encore longtemps peut-être. Je ne sais pas. Lui non plus sans doute. Mais ça. Seul Dieu le sait. Il marchait. Eperdumment. La rue semblait infinie. Voitures garées ici et là. Lumière blafarde. Nuit noire et sombre. C'était tout. Sauf lui et moi, nous, qui marchions. Encore. Peut-être allait-il se mettre à chanter? Non je ne crois pas. Je crois qu'il voulait simplement marcher. Droit devant lui. Sur l'asphalte noir et droit. Par cette nuit noire, profonde, sombre et donc silencieuse. Par ce mois de Décembre. Où il n'y avait pas d'âme vivante. Toutes étaient cloitrées. Chez elles. En train de dormir. Probablement. Cela, personne ne le savait. Sauf Dieu, peut-être. Je ne sais pas. Moi, je suivais cet homme. Grand de loin. Grand de près. Grand. Vétu de noir. Qui marchait. Droit devant lui. Sur la route. Infinie. A côté des voitures garées. Sous cette lune blanche. Sous les éclairages blafards des lampadaires. Par cette nuit. Noire. Profonde. Sombre. Silencieuse. Où personne ne vivait. Sauf nous, moi, lui. C'était tout. Rien. Qui était-ce ? Je ne sais pas. Seul Dieu le savait, et encore... Il marchait. Moi aussi. Moi derrière lui. C'était tout.
 

melody11

Nouveau poète
#2
t'es pas sympa de dire des trucs comme ca sur le livre d'or si t'aime pas ce site fallait pas t'inscrire....
 

galinette

Nouveau poète
#4
Tu n'as rien d'autre à faire pour écrire celà sur le livre d'or ?

Posté par PAuger le 16/01/11 à 18h14 (10/10)
PDPDPDPDPDPDPPDPDPDDPPDPDD JVOUS PISSE

Posté par PAuger le 12/01/11 à 20h29 (10/10)
Jai lherpes sur les fesses
un truc bleu dans la queue
de la rouille pleins les couilles
la syphilis dans lpénis
un flegmon sur mon jonc
quand jvois mon braquemart,
quel cauchemar !