Notre monde
Notre monde où va-t-il privé de la morale
Source de tout respect pour les êtres vivants,
Nous avons embrayé la machine infernale
Qui affecte la vie des environnements.
L’humain au fil des ans court à sa décadence
Tant il est aveuglé par l’agent, le profit,
Il n’imagine point l’état de déchéance
Où il sombre à grands pas ayant perdu l’esprit.
La fortune est pour lui un appel des sirènes
Vers lequel il avance ignorant le danger,
Mais tout à sa folie il cause bien des peines
A tout ce qui pour lui ne peut rien rapporter.
Cendrieux, le 23 mars 2007