Notre feu sacré, cette chaleur humaine qu’est-ce donc, nous en ressentons les effets, c’est elle qui uni les êtres par deux dans l’amour, elle qui regroupe les hommes en familles, en tributs. Ne pas être seul, se sentir vivant à travers les autres, elle qui nous pousse vers l’autre, les autres, à les aimer, elle qui induit une sensation de bien être, un sentiment de vivre pleinement, d’être, effet produit de l’affection sous toutes ses formes d’amours et d’amitiés.
Nous en avons tous ressenti un jour les effets, ne serais ce qu’avec l’amour maternelle, “être baigné dans une bienfaisante chaleur qui nous donne envie que ce moment vécu dure une éternité” malheureusement, il ne dure pas, car comme toute énergie il se doit être alimenté constamment, comme le feu pas assez ou trop d’air, et la flamme s’étouffe. Nous sommes tout a la foi le combustible et l'oxygène, celui qui réchauffe et celui qui est réchauffé. Entretenir cette chaleur est donc un travail de tout les instants, requérant une vigilance constante. Les obstacles ne manquent pas qui peuvent souffler cette petite flamme, inattentions, éloignements, orgueil... Cette chaleur que nous prodiguons et recevons devrait être notre seule préoccupation, nous vivons, être unique, entouré mais seul. Nos décisions nous incombe et que nous soyons riche ou pauvre seules notre pensé intérieure, agis et guides nos actes, cette pensé se sert de la chaleur humaine qui l’entoure pour suivre la route vers le bien et l’amour universelle, que cette chaleur vienne à lui manquer elle a de grande chance de s’égarer dans le dédale de l’égoïsme et de la méchanceté. c’est cette chaleur extérieure qui nous donne la force de surmonter les obstacles que la vie dresse sur notre route, c’est aussi pour cette raison que nous ressentons tant de peines lorsque nous somme séparé d’un être cher, quelles qu’en soi la raison et c’est la chaleur de l’amitié qui répare et colmate les fuites par lesquelles notre propre chaleur s’enfuie.
Dans le désert ou chemine notre route, les oasis de l’amitié sont la survie du voyageur.
Sans mise en forme poétique, cette réflexion sur une cause universelle.
Nous en avons tous ressenti un jour les effets, ne serais ce qu’avec l’amour maternelle, “être baigné dans une bienfaisante chaleur qui nous donne envie que ce moment vécu dure une éternité” malheureusement, il ne dure pas, car comme toute énergie il se doit être alimenté constamment, comme le feu pas assez ou trop d’air, et la flamme s’étouffe. Nous sommes tout a la foi le combustible et l'oxygène, celui qui réchauffe et celui qui est réchauffé. Entretenir cette chaleur est donc un travail de tout les instants, requérant une vigilance constante. Les obstacles ne manquent pas qui peuvent souffler cette petite flamme, inattentions, éloignements, orgueil... Cette chaleur que nous prodiguons et recevons devrait être notre seule préoccupation, nous vivons, être unique, entouré mais seul. Nos décisions nous incombe et que nous soyons riche ou pauvre seules notre pensé intérieure, agis et guides nos actes, cette pensé se sert de la chaleur humaine qui l’entoure pour suivre la route vers le bien et l’amour universelle, que cette chaleur vienne à lui manquer elle a de grande chance de s’égarer dans le dédale de l’égoïsme et de la méchanceté. c’est cette chaleur extérieure qui nous donne la force de surmonter les obstacles que la vie dresse sur notre route, c’est aussi pour cette raison que nous ressentons tant de peines lorsque nous somme séparé d’un être cher, quelles qu’en soi la raison et c’est la chaleur de l’amitié qui répare et colmate les fuites par lesquelles notre propre chaleur s’enfuie.
Dans le désert ou chemine notre route, les oasis de l’amitié sont la survie du voyageur.
Sans mise en forme poétique, cette réflexion sur une cause universelle.