Il y a celles qui ne viendront plus
Faire la fête avec moi
Rire de tout et de rien
Ou pleurer leur chagrin
Se réchauffer auprès de moi
Je suis comme un ange déchu
Il y a celles, je me souviens de leurs noms
Marianne, Lucie, Estelle, Sophie...
Les cheveux bruns, les cheveux blonds
Martine m’avait beaucoup écrit
Il y a celles, fantômes d’un soir
Leurs photos dans un tiroir
Des femmes à la fois amours et amies
Ce soir, elles m’étouffent mes nostalgies
On les aimera encore et toujours
Ils ne font pas que mourir nos amours