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Nos peintres aériennes

#1
Lorsque meurt les manteaux au contact du Soleil
Ces cumulonimbus où draine la tristesse
Comprennent qu'il est temps, sans signe de faiblesse
Que renaissent les sons des aubes de l'éveil.

S'ensuit, suite à cela, un vol de messagères
Qui annoncent que l'heure est vouée à apporter
Un arpège fleurit sous un souffle irisé
Où les vents charroieront un torrent de bruyère.

Ces douces mélopées, chaque année, nous parsèment
De teintes bigarrées sous leur filtre d'amour
En créant des unions sous leur noble discours.

Dans ces cadres princiers, par leurs lyre, elles sèment
Un tableau symphonique en leurs danses pastels
Tel est l'annuel présent de ces bancs d'hirondelles.

Oiseau Lyre.
 

Pièces jointes

Polymnie2

Maître Poète
#2
Un chant haut en couleurs
prometteurs de jardins fleuris
sous les oiseaux carillonneurs
oubliant les feuilles meurtries!

Qu(il est beau ton poème,
j'ai vu pour ma part
des groupes de pigeons,
deux dans mon allée
qui s'envolaient à tire d'ailes,
et s'élèvent d'autres en multitude
au fur-et-à-mesure que mon regard
vers la nature s'agrandissaient!

Bises, Poly