07 milliards de corps en mouvement, 07 milliards de cœurs en silence.
Chacun porte, sous l’éclat furtif d’un sourire,
Un fardeau tissé d’ombres et de regrets,
Un soupir étouffé, un murmure d’autrefois
Qui revient hanter le présent comme une vague tenace.
À chaque pas, une histoire se devine,
Une déception nouée à un espoir brisé,
Un "si seulement" qui s’accroche aux heures,
Un "et si..." qui laboure l’esprit,
Creusant des sillons où germent les douleurs.
Et pourtant, le monde avance,
Implacable et indifférent,
Comme si cette houle intime n’avait jamais existé.
Les visages s’éclairent d’un sourire — masque fragile,
Tandis que le cœur tangue,
De l’euphorie à l’abîme,
De l’abîme à l’accalmie,
Et parfois, à un nouveau naufrage.
Car les blessures ne meurent jamais,
Elles sommeillent, tapies dans l’ombre de l’oubli,
Prêtes à jaillir au premier choc,
À se mêler aux vents mauvais,
Glissant, comme une larme traîtresse,
Au coin d’un œil fatigué.
Alors chacun marche,
Insoupconné, et bien couvert
Trainant ses douleurs comme sous une cape usée,
Qui en dévoilent quelques unes
Sous l'effet de vents ou de tempêtes
Fragiles éclats d’une humanité jamais tout à fait éteinte.
Chacun porte, sous l’éclat furtif d’un sourire,
Un fardeau tissé d’ombres et de regrets,
Un soupir étouffé, un murmure d’autrefois
Qui revient hanter le présent comme une vague tenace.
À chaque pas, une histoire se devine,
Une déception nouée à un espoir brisé,
Un "si seulement" qui s’accroche aux heures,
Un "et si..." qui laboure l’esprit,
Creusant des sillons où germent les douleurs.
Et pourtant, le monde avance,
Implacable et indifférent,
Comme si cette houle intime n’avait jamais existé.
Les visages s’éclairent d’un sourire — masque fragile,
Tandis que le cœur tangue,
De l’euphorie à l’abîme,
De l’abîme à l’accalmie,
Et parfois, à un nouveau naufrage.
Car les blessures ne meurent jamais,
Elles sommeillent, tapies dans l’ombre de l’oubli,
Prêtes à jaillir au premier choc,
À se mêler aux vents mauvais,
Glissant, comme une larme traîtresse,
Au coin d’un œil fatigué.
Alors chacun marche,
Insoupconné, et bien couvert
Trainant ses douleurs comme sous une cape usée,
Qui en dévoilent quelques unes
Sous l'effet de vents ou de tempêtes
Fragiles éclats d’une humanité jamais tout à fait éteinte.