Nos cœurs s’affolent dans un amour
Où l’espérance est sans recours
Où le ruisseau de la souffrance
Y coule dans la somnolence.
Les circonstances et les horizons
Ont altéré nos belles saisons
Et enseveli de nos âmes l’euphorie
La volupté et l’harmonie.
Quel malheur pour nous deux !
Nous sommes damnés à un langoureux
Lyrisme étiolé par les vicissitudes
De la vie, à toute latitude.
Notre vie aurait été un printemps
De roses, de fleurs à l’oraison
Et nos cœurs se seraient réjouis
Dans la véhémence des nuits.
Quand notre passé s’évoque,
Quand notre histoire se provoque,
Une larme chaude obéit
A un déboire déjà alangui.
Apaisons ô mon unique Eve
Nos plaisirs dans les rêves !
Réjouissons-nous de nos désirs nocturnes
Dans l’illusion perdue, dans l’infortune.
Moulay Cherif Chebihi Hassani
Où l’espérance est sans recours
Où le ruisseau de la souffrance
Y coule dans la somnolence.
Les circonstances et les horizons
Ont altéré nos belles saisons
Et enseveli de nos âmes l’euphorie
La volupté et l’harmonie.
Quel malheur pour nous deux !
Nous sommes damnés à un langoureux
Lyrisme étiolé par les vicissitudes
De la vie, à toute latitude.
Notre vie aurait été un printemps
De roses, de fleurs à l’oraison
Et nos cœurs se seraient réjouis
Dans la véhémence des nuits.
Quand notre passé s’évoque,
Quand notre histoire se provoque,
Une larme chaude obéit
A un déboire déjà alangui.
Apaisons ô mon unique Eve
Nos plaisirs dans les rêves !
Réjouissons-nous de nos désirs nocturnes
Dans l’illusion perdue, dans l’infortune.
Moulay Cherif Chebihi Hassani