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Noirceur à l'encre du coeur

#1
De cet état sauvage où la flamme n'est que virulence
Ô odieux père quel art as-tu de produire des tremblements de terre !
Tu as déchiré le silence par ce feu obscène Ton venin Ô règne funeste tu as hérité !
Ton venin mortel s'est répandu sur la scène du soleil !
De noir, de sang
De trouille, béante !
Ta présence hostile baignant mourante dans la racine du malaise !
Pourquoi diable, en rajouter à mon effroi ?
Combien d'esprits pervertis ont fait leur loi ?
Mauvais père que tu as été, une honte signée par ton nom !
Ton travail combien tu t'es plaint, pas la peine de te venger sur nous
Tu es le meilleur pour tendre une situation, ta colère au poing sanglant !
Tes passions je les expédie dans le royaume des lassitudes au degré des mépris !
Jamais là pour faire le bien, ton temps tu l'as bâclé, saccagé, piteux naufrage !
Rare moment mémorable j'en garde
Gaspillé par des instables, plus sales !
Je t'ai provoqué, sévèrement punis
Par défiance par désespoir de cause, vilain plaisir !
Une barrière immense entre nous et toi
Communication inexistante ne te regarde plus dans le miroir !
Tu n'as agis que par culpabilité, pour tes propres intérêts mille supplices !
Ton passé ta rattrapé, le mal être ta dévoré Que de pitié et de non fierté j'ai eu
À te ressembler, combien je te déteste
Tu n'as rien fait pour changer, tu t'es tout seul enfoncé !
Pendant que je luttai contre le monde entier à subir leurs assauts répétitifs
J'ai rejoins les ombres du mal, d'un caractère vulcain !
Marre de la vie, ma gentillesse ma aveuglé, mon désert stérile fût ma vérité !
Quel est le sens de la beauté ?
À devoir combattre le méandre de la difficulté !
L'inexpérience a été une fatalité
Seul en résonance avec moi-même
Le courage m'a abandonné, plus de bonheur dans lequel flotter !
Sors à tout jamais, de mon corps de ma pensée !
Ces souvenirs noircis à devoir m'emporté un jour nommé
Ressurgissent à en plus finir, être en vigilance orange constamment est saoulant à devoir me contrôler
Tu attises les flammes furieuses de ma colère
Quand un conflit éclate il est difficile de m'arrêter
Aliéné je le deviens, pas fier mais pas serein
Depuis que je respire un infime bonheur, une caresse sur ma pensée
Je revis j'idéalise je redeviens ange de lumière retrouvé
Chaque jour un peu plus de silence et de paix
Je me sens de nouveau moi-même
Depuis que je suis sorti de cette fausse des enfers
Je veille à laisser entrer la lumière
Je bois tout le ciel tous les soleils.
Je me sens fort et faible
Je me sens beau et entamé
Je me sens colombe de la paix.
 
Dernière édition:
#2
De cet état sauvage où la flamme n'est que virulence
Ô odieux père quel art as-tu de produire des tremblements de terre !
Tu as déchiré le silence par ce feu obscène Ton venin Ô règne funeste tu as hérité !
Ton venin mortel s'est répandu sur la scène du soleil !
De noir, de sang
De trouille, béante !
Ta présence hostile baignant mourrante dans la racine du malaise !
Pourquoi diable, en rajouter à mon effroi ?
Combien d'esprits pervertis ont fait leur loi ?
Mauvais père que tu as été, une honte signée par ton nom !
Ton travail combien tu t'es plaint, pas la peine de te venger sur nous
Tu es le meilleur pour tendre une situation, ta colère au poing sanglant !
Tes passions je les expédient dans le royaume des lassitudes au degré des mépris !
Jamais là pour faire le bien, ton temps tu l'as bâclé, saccagé, piteux naufrage !
Rares moments mémorables j'en garde
Gaspillé par des instables, plus sales !
Je t'ai provoqué, sévèrement punis
Par défiance par désespoir de cause, vilain plaisir !
Une barrière immense entre nous et toi
Communication inexistante ne te regarde plus dans le miroir !
Tu n'as agis que par culpabilité, pour tes propres intérêts mille supplices !
Ton passé ta ratrapper, le mal être ta dévoré Que de pitié et de non fierté j'ai eu
À te ressembler, combien je te déteste
Tu n'as rien fait pour changer, tu t'es tout seul enfoncé !
Pendant que je luttai contre le monde entier à subir leurs assauts répétitifs
J'ai rejoins les ombres du mal, d'un caractère vulcain !
Marre de la vie, ma gentillesse ma aveuglé, mon désert stérile fût ma vérité !
Quel est le sens de la beauté ?
À devoir combattre le méandre de la difficulté !
L'inexpérience à été une fatalité
Seul en résonance avec moi-même
Le courage m'a abandonné, plus de bonheur dans lequel flotter !
Sors à tout jamais, de mon corps de ma pensée !
Ces souvenirs noircis à devoir m'emporter un jour nommé
Ressurgissent à en plus finir, être en vigilance orange constamment est saoulant à devoir me contrôler
Tu attises les flammes furieuses de ma colère
Quand un conflit éclate il est difficile de m'arrêter
Aliéné je le deviens, pas fier mais pas serein
Depuis que je respire un infime bonheur, une caresse sur ma pensée
Je revis j'idéalise je redeviens ange de lumière retrouvée
Chaque jour un peu plus de silence et de paix
Je me sens de nouveau moi-même
Depuis que je suis sortit de cette fausse des enfers
Je veille à laisser entrer la lumière
Je bois tout le ciel tous les soleils.
Je me sens fort et faible
Je me sens beau et entamé
Je me sens colombe de la paix.
Triste mais bien écrit.

Excusez moi mais vous devriez utiliser le correcteur d'orthographe ce Ui rendrait vos écrits encore plus agréables à lire.

Amicalement
Gaby

Ps pourrai je emprunter votre titre pour un acrostiche à l'occasion ?
 
Dernière édition:
#3
Triste mais bien écrit.

Excusez moi mais vous devriez utiliser le correcteur d'orthographe ce Ui rendrait vos écrits encore plus agréables à lire.

Amicalement
Gaby

Ps pourrai je emprunter votre titre pour un acrostiche à l'occasion ?
Je vais voir ce que je peux faire, j'ai effectué à l'instant quelques corrections. Merci
Oui Gaby je n'y vois pas d'inconvénient. Faite donc.