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Nine

InMyHead

Poète libéré
#1
Mes yeux se sont posés sur toi sans le vouloir,
Mais tu n’es que trop jeune et n’a connu de femme.
Ce caprice éhonté me hante et me désarme
Mais comment reculer ? Il est déjà trop tard.

Tu as su me charmer d'un sourire enjôleur
Et j'aimerais tant connaître la caresse de tes mains.
Je ne supporte plus de ne pas avoir ton cœur
Et il n’est pas très sage de trop tenter le mien

Si jeune tu fais pourtant vibrer en moi la flamme
Et le pécher ultime serait de succomber
Toi qui n’es encore homme, moi qui suis à peine femme
Combien de temps encore pourrais-je te résister ?

Mes nuits ne sont remplies que de songes inavouables
D'interdit transgressé, de tes mains sur ma peau
Tes lèvres franchissant les frontières imprenables
Ma volonté cédant sous le poids du fardeau

J'imagine en secret la douceur de tes lèvres
La caresse de tes mains explorant l'interdit
Je ne suis plus moi-même quand monte en moi la fièvre
Je ne veux que voler pour nous une seule nuit

J'ai voulu enfermer ces pensées dans une cage
Mais tu en as la clef et ne fais qu’attiser
Un feu dont le brasier ne saurait être sage
Et qui jamais je crois ne saurait s’apaiser

Tu prends plaisir à voir cette lente agonis
Dont seul notre abandon saurait me libérer
Mais comment faire pour vivre entre l'ardente envie
Et l'ignoble traîtrise que serait de céder

Pour toi ce n’est qu’un jeu et tu ne comprends pas
Que demain mon esprit ne saura t'oublier
Il y a bien trop d’enjeux dans ce jeu qu’on joue là
Je ne connais que trop les peines et les regrets.
 
#3
Mes yeux se sont posés sur toi sans le vouloir,
Mais tu n’es que trop jeune et n’a connu de femme.
Ce caprice éhonté me hante et me désarme
Mais comment reculer ? Il est déjà trop tard.

Tu as su me charmer d'un sourire enjôleur
Et j'aimerais tant connaître la caresse de tes mains.
Je ne supporte plus de ne pas avoir ton cœur
Et il n’est pas très sage de trop tenter le mien

Si jeune tu fais pourtant vibrer en moi la flamme
Et le pécher ultime serait de succomber
Toi qui n’es encore homme, moi qui suis à peine femme
Combien de temps encore pourrais-je te résister ?

Mes nuits ne sont remplies que de songes inavouables
D'interdit transgressé, de tes mains sur ma peau
Tes lèvres franchissant les frontières imprenables
Ma volonté cédant sous le poids du fardeau

J'imagine en secret la douceur de tes lèvres
La caresse de tes mains explorant l'interdit
Je ne suis plus moi-même quand monte en moi la fièvre
Je ne veux que voler pour nous une seule nuit

J'ai voulu enfermer ces pensées dans une cage
Mais tu en as la clef et ne fais qu’attiser
Un feu dont le brasier ne saurait être sage
Et qui jamais je crois ne saurait s’apaiser

Tu prends plaisir à voir cette lente agonis
Dont seul notre abandon saurait me libérer
Mais comment faire pour vivre entre l'ardente envie
Et l'ignoble traîtrise que serait de céder

Pour toi ce n’est qu’un jeu et tu ne comprends pas
Que demain mon esprit ne saura t'oublier
Il y a bien trop d’enjeux dans ce jeu qu’on joue là
Je ne connais que trop les peines et les regrets.
Tout ce qui parle de charme m’interpelle :D