Poème de 2017
Non posé car saison dépassée !
Non posé car saison dépassée !
Quel beau masque d'héritier pour cet insecte bénéfique
et si proche de la Nature!
Nature vue de loin, pour voir de près !
et si proche de la Nature!
Nature vue de loin, pour voir de près !
Sur pelouse, descend l’œil mystérieux, fouille!
Mon regard reverdit ma pensée s’agenouille
Là où je croyais voir de belles inconnues,
J’attise un non savoir sur la mise en tenue
D’une tige élégante élevée d’une fleur
Rouge et noire accrochée au bon vouloir pro-fanée
Mon regard reverdit ma pensée s’agenouille
Là où je croyais voir de belles inconnues,
J’attise un non savoir sur la mise en tenue
D’une tige élégante élevée d’une fleur
Rouge et noire accrochée au bon vouloir pro-fanée
Alors que maillons font chaîne bien armée !
Lors gendarmes veillent en costume de cœur !
Révisant le mystère que coccinelles flânaient
Le long de la tigelle, en quinconce, une à droite,
L’autre à gauche avec Nature, artiste,
Peignant un fin tableau dressé de bon aloi !
Ils grimpent et se posent eux-mêmes en fleuristes.
Ce charmant tableau tellement enfantin
Ressemble à l’enfant le crayon à la main
Le posant partout souvent n’importe où !
Il a bien raison ! Y-a-t-il une règle
Y-a-t-il une Âme aux traits de liaison?
Posant le regard vers le vaste horizon !
Le regard de l’enfant est bien celui d’un sage
La vérité, la pure est bien la sienne !
Révisant le mystère que coccinelles flânaient
Le long de la tigelle, en quinconce, une à droite,
L’autre à gauche avec Nature, artiste,
Peignant un fin tableau dressé de bon aloi !
Ils grimpent et se posent eux-mêmes en fleuristes.
Ce charmant tableau tellement enfantin
Ressemble à l’enfant le crayon à la main
Le posant partout souvent n’importe où !
Il a bien raison ! Y-a-t-il une règle
Y-a-t-il une Âme aux traits de liaison?
Posant le regard vers le vaste horizon !
Le regard de l’enfant est bien celui d’un sage
La vérité, la pure est bien la sienne !
Là, où l’être se baisse
N’est-pas l’écarlate infime bête à Bon Dieu
Ni la minuscule fleur serpentant l’arabesque
Mais la pensée en oraison joignant le délicieux !
N’est-pas l’écarlate infime bête à Bon Dieu
Ni la minuscule fleur serpentant l’arabesque
Mais la pensée en oraison joignant le délicieux !
Polymnie2,ce 21 mai 2019
Il est pénible de revoir un brouillon
Avec des bruits, des voix, des réflexions !
Avec des bruits, des voix, des réflexions !
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