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Résultat du concours Mots imposés

#1
CONCOURS : Mots imposés

alphabet.jpg

Du 27 avril au 7 mai
Résultats 10 mai


Thème : selon votre inspiration à travers des mots imposés

Consignes :
Métrique non imposée (nombre de pieds)
Rimes ABAB
26 mots à « caser »


Absolu
Barème
Cerner
Dépoli
Écimer
Farcir
Geste
Héritage
Inapte
Jungle

Kilt
Levure
Massue
Narrer
Oisive
Pause
Quantité
Ravages
Saisons
Tiédir
Unité
Ventru
Waterpolo
Xérès
Yéti
Zéro

L’ordre de ces mots pourra être changé mais ils devront rester intacts (ne pas conjuguer les verbes et respecter singulier et pluriel)

Je demande aux concurrents d’attendre les résultats pour poster sur leur page personnelle les poèmes présentés au concours

Attention à l’orthographe, accords et ponctuation
Chaque participant peut envoyer 3 poèmes


Si vous souhaitez faire partie du jury me contacter sur ma MP

Chef de jury : Llumierelive

**********************

Médaille d'or INNONIME MARIA
Médaille d'argent MARGHO
Médaille de bronze PROSE16

1 Le Karma du Yéti MARGHO 8.47

Je m'en vais vous narrer une bien longue histoire
Qu'il faudra vous
farcir jusqu'à son dénouement...
Patience, les amis, car il convient de boire
Mes parole, inspirées d'un juste sentiment.


Il s'agit de cerner à l'issue de la fable
Comment agir ensemble et en toute
unité,
Ce, sans jamais
tiédir. Je serais intraitable :
Oisive indifférence vous devrez éviter !


En absolu silence vous allez m'écouter,
Puis nous ferons la
pause avant de nous lancer.
Nos aspirations, qu' il ne faut
écimer,
Nécessitent
levure en grande quantité.


Nul n'est besoin d'échelle ou même de barème
En jungle de la ville ou au fin fond des bois
Pour voir que les
saisons, en déréglé système,
Indiquent les
ravages d'un climat en émoi.


Le glacier dépoli, autrefois bien ventru,
Comme peau de chagrin s'amenuise sans cesse.
Ceci est une alerte, comme un coup de
massue

Il nous faut faire un geste et agir sans faiblesse.

Quand les Alpes auront la langueur du pays,
Que l'on nomme Jerez, c'est en Andalousie,
L'on y boit le
xérès en bonne compagnie,
Le combat sera vain et la lutte finie...


Quand nous aurons souillé des Anciens l'héritage...
Quand les neiges éternelles, réduites à
zéro
Par les erreurs de l'Homme, à leur défense inapte,
S'éteindront en un vain et tout dernier sanglot...


Lorsque chapka sera quittée pour panama,
Ou bien
kilt échangé contre beau paréo,
Ahuris, nous verrons, dans le panorama,
Le
yéti et l'isard jouer au water-polo.


Un bel *arrangement*des 26 mots sur le problème du réchauffement de la planète
Votre narration est très réussie dans une expression écrite parfaite
Très beau style de plume
Pas mal le titre, j'ai aimé cet écrit qui suit une idée fort louable...
Bravo ! Pour votre conclusion sensée et pleine d'humour.
( 2ème quatrain : rimes un peu proches )
( 6éme quatrain ; en rimes AAAA et non ABAB )
( mes paroles )
Consignes respectées en partie
Héritage ne rime pas avec inapte…problèmes climatiques bien menés avec ces mots imposés


******************

2 Sur la pente qui s’étire RAYMOND3 7.81

Je pars du niveau Zéro dans la neige
À la recherche du grand
Yéti blanc,
Un coup de
Xérès sur le télésiège
C’est parti! À nous deux, monstre géant !


Pas de Ventru pour cette randonnée,
Au clou,
Waterpolo et son bonnet!
L’
Unité de l’effort et bien entraîné
La
Massue maniée, tel un bâtonnet.


Pas question de Tiédir grimper et vite,
Oublier la
Pause Oisive hors Saisons,
Elle fait des
Ravages quand elle s’invite,
Quantité de pas dépend l’ascension.


Dans l’Absolu j’ai fixé un Barème:
Narrer mon aventure, sans la gonfler
De
Levure, partager ce plaisir suprême,
Ô, vieux singe j’arriverais à te
Farcir, te Cerner!


Quand le Geste Dépoli touchera ton ombre
Tu regretteras la
Jungle et les buissons,
L’approche des soldats en
Kilt et leur nombre,
Inapte ton Héritage sera fuite à l’agression.


Un dernier élan et tu gagneras l’aurore,
Dans la montagne et d’
Écimer ton ciel
Tourmenté de formes et près d’éclore,
Je resterais là, muet ravalant mon fiel.


La chasse au Yeti
Une impression que vous êtes resté sur votre faim
Maligne la grosse bête, correctement écrit
Consignes respectées
Quelque petites imperfections de style l'ensemble est*acceptable*
Une chasse au Yéti qui se termine à son avantage...
ou pour son mythe...Ouf !
( riment différemment : siège /neige....Saison/ ascension... buissons / agression )
Mais consignes respectées.
A éviter : la coupure du phrasé des vers… sans la gonfler/De levure, ton ciel/tourmenté
Belle aventure dans ces 26 mots à caser

*************************

3 A tous les poètes FREDERIC REBOUL 7.16

Parti de zéro, poète se prend un coup de massue, il faut le cerner.
Se croyant
inapte, il se pause, ne veut plus de quantité et positive.
Dépoli, manquant de reflet, un barème, sourire, ne se laisse berner.
Dans l’
absolu, dur de le narrer
, d’un geste, il prend sa plume oisive


Le créatif, il faut se le farcir et le tiédir.
La
levure le fait monter, des ravages.
Ce n’est pas si simple de le refroidir,
Une
unité, quatre saisons, il est sage…


Avec ses mots, il doit trouver le juste chemin.
Rêvons et avançons dans cette belle histoire.
Cuisine un peu l’amertume avec
Xèrès en main,
Jungle, yéti ventru avec son kilt veut y croire.


Il ne veut pas écimer les troncs.
Tout cela vous bassine ?
Cela est un
héritage, c’est pour mon bien, c’est bon...
Ne pas tourner en rond,
waterpolo l’attend à la piscine…


Pour placer les 26 mots, vous avez réussi
Mais j'ai eu, en vous lisant l'impression que vous les posiez avec des mots autour sans lien
Votre texte ne tient pas la route
Pourtant le fait d'aborder Poètes et écriture auraient pu donner un bon résultat
Vous devez vous concentrer sur votre expression écrite autour de vos idées qui doivent raconter une histoire
Ce n'est pas le cas
Une partie de Water-polo qui sera bien méritée
Consignes respectées
( 1er quatrain : vers un peu longs )
Les mots sont bien là mais un peu utilisés au hasard…


******************
4 Match perdu en vain, six mots. LURON1er 8.44

Après ce match de water-polo,
Je m’habille d’un
geste,
Fuyant comme un gigolo,
Vite fait, j’enfile ma veste.


Nous avons perdu par un cinq zéro,
Je le hais ce maudit score
absolu
Nous n’étions pas les héros,
D’un handicape non résolu.


C’était sûrement dû au carême,
Il nous manquait juste une
unité,
Mais nous étions loin du
barème,
Rabaissant en nous notre vanité.


Mais contre des écossais sans kilt,
Nos yeux embrumés comme un verre
dépoli,
Nageant mal, nous avons fait un tilt,
Pour résumer sans terme impoli.


Difficile ici de tout vous narrer,
Mais pendant une petite
pause,
J’n’avais qu’une envie, me barrer,
Mais l’entraîneur voulait qu’on cause.


Nous nous étions fait cerner,
Il nous fallait se les
farcir,
Sans vouloir encore nous faire berner,
Restait à l’équipe de bien vouloir mincir.


Comme certains, j’étais bien trop ventru,
C’est l’histoire de l'une de ces
saisons,
Pour concurrencer ces malotrus,
J’me suis dit : Alors biaisons !


Ne pas nous endormir sur notre héritage,
KO comme un coup de
massue,
Il nous faudrait un petit avantage,
Discret, mais surtout à leur insu.


D’un jeu construit, je restais inapte,
Leurs têtes, il nous fallait
écimer,
Que de nos idées, jamais ils ne captent,
Ce fut le contraire, ils nous avaient décimés.


Des joueurs, nous avions la quantité,
Dans nos rangs, ils avaient fait des
ravages,
Ne nous manquait qu’une plus grande qualité,
Ils crawlaient comme des preux sauvages.


Se mesurant aux animaux de la jungle,
J’avais pris un peu d’ultra
levure,
J’ai été suspendu comme du linge sur la tringle,
Dans un coin près de la nervure.


Notre attaque n’avait fait que tiédir,
En nous cachant comme le
Yéti,
Il nous fallait nous reverdir
Et réitérer la gagne qui autrefois nous vêtit.


Terminé le Xérès,
Et cette nage
oisive,
Reprends toi en exprès,
C’est ce que me dit Olive.


Oh! Match perdu, c'est qu'ils sont costauds à détrôner ces Écossais
Une histoire drôle, pour un carton
Rouge la lampe
Attention à ne pas descendre de division !!
J'ai aimé votre côté
*nous dévions les canarder*
L'ensemble de votre texte donne satisfaction
J'ai participé à votre match du début à la fin ...Bravo !
( j'aurais mis : de preux...)
( Avec Xérès, il me semble que vous avez voulu dire : express )
Consignes respectées.
Contre rendu d’une page sportive bien mené !




******************

5 Femmes du monde (à Aurélie) INNOMINE MARIA 9.66 médaille d'or

Dans le pays lointain de la neige et du vent
Keyuri promenait son regard sur les cimes
Où vivait, parait-il (est-il encore vivant?)
Un
yéti qui peuplait la noirceur des abîmes ;


Mary, sur une chaise où l'ennui la berçait
Regardait son époux, d'une calme paresse,
Jouer au
waterpolo comme lorsqu'il froissait
De son cœur pur encor l'innocente jeunesse ;


Les pas de Nutaaq résonnaient sans pudeur
Dans le calme
absolu du continent de glace,
Tandis qu'elle luttait contre cette froideur
Qui seule a le pouvoir d'occuper cette place ;


Ulrika regardait les jeunes élagueurs
Écimer le bouleau qui bordait sa clôture
Et sentait le frisson d'indécentes langueurs
Tandis que son amant démarrait sa voiture ;


Quiong laissait tiédir son thé noir infusé
L'esprit soudain perdu dans de vagues chimères
Et le sourire en coin de son cœur amusé
Couvrait avec douceur les épices amères ;


Rokhaya supportait un client impoli
En posant son regard sur les lourdes statues,
Ces vagues souvenirs d'ivoire
dépoli
Sortant droit de son âme et de ses mains battues ;


Dans l'oisive chaleur des rayons du soleil
Lydia promenait sa main tendre et gracile
Sur les tissus d'argent, de pourpre et de vermeil
Qu'assemblait avec soin le tapissier habile ;


Accordant une pause à son pesant labeur
Natasha s'endormait sur un tas de copies
Et laissait libre cours à son instinct flambeur
En rêvant sur le web à d'autres utopies ;


Ermenhild regardait, sur l'immense parking,
Son grand frère assommer d'un incroyable
geste
Son opposant direct au tournoi de viking
Dont l'immense
massue avait un air funeste ;


Dans la jungle sauvage, Ailen, le souffle court
Courrait sur le sol pur qui fait son
héritage
Et la foret sans fin griffait son pantacourt
Tandis qu'elle vivait comme on fait à cet âge ;


Voilà déjà cent ans que passaient les saisons
Sur le palier en bois de l'étroite chaumière
Et les yeux d'Elena, depuis cent floraisons
Admiraient doucement la Nature fière ;


Carmen, sous les rayons du soleil andaloux
Buvait un vieux
Xérès au doux parfum de rêve,
Écoutant le fracas de l'Océan jaloux
Qui brisait sa fureur sur les bords de la grève ;


Mélangeant d'une main la levure et le sel
Amihan écoutait d'une oreille attentive
Sa fille lui
narrer -d'un ton d'universel !-
Les contes habituels de sa terre native ;


Isobel, d'une voix que portait la montagne,
Avec son père en
kilt et les autres anciens
Chantait le sang perdu de la Grande Bretagne
Avec cette
unité qu'ont seuls les musiciens ;


Lasse que de farcir cet animal ventru
Qu'aimait manger son fils à son anniversaire
Gislaine, en se disant « Que j'aime ce mâtru »,
Combattait sans répit l'Ennui, son adversaire ;


« Un plus un font zéro quand on est malheureux »
Pensait Karolina, jeune célibataire
En dressant le
barème assez peu valeureux
Des biens dont un décès la rendait légataire ;


Toute prise à cerner la quantité de noix
Qu'elle avait amassé durant sa promenade
Paloma, que gardait un gros matou viennois
En oubliait de boire son jus mangue-grenade ;


En regardant mourir l'Océan dans le ciel
Tahira, dont les pieds effleuraient les rivages
Se sentait trop
inapte à s'enfuir loin du miel
Qui recouvrait sans fin la guerre et les
ravages ;


Mais parmi toutes, toi - dont le regard toujours
Hante mes souvenirs quand mon œil se referme-
Seule avait le pouvoir d'illuminer ces jours
Dans lesquels, loin de toi, le souvenir m'enferme.


Un ravissement que votre écrit
Sans parler des consignes parfaites, J'ai adoré cette ambiance avec tous ces prénoms de femmes occupées à...
Quand c'est bien écrit, sans faute, avec beaucoup de* lucidité *dans les scènes que le lecteur suivent comme une page de roman
Madame ou Monsieur, c'est de la bel ouvrage
Bonne idée, même si l'énumération de toutes ces conquêtes
potentielles est longue... Quel Casanova !
Vous revenez à l'unique amour de votre vie.
( forêt ) De belles rimes ...Consignes respectées
Et en plus des rimes masculines/féminines alternées. Magnifique cet enchainement de scénettes, écriture des plus harmonieuses, je suis subjuguée, bravo
***************

6 A mots, coups, vers LURON1er 6.83

Écimer l’héritage d’une façon de ce Yéti,
Une
quantité à cerner dans la jungle de ce ventru,
A faire cent
ravages à la massue en regard dépoli,
Petit quota en
levure de ces saisons
, suis inapte de l’absolu.

Mis sur pause oisive pour vous le narrer, le xérès, j’l’ai vu tiédir,
L’
unité du barème me permettait de cerner le zéro,
D’un
geste, j’ai mis mon kilt pour pouvoir me le farcir,
Afin d’arriver à l’heure pour le tournoi de
water-polo.



Après x lectures, votre lectrice s'est perdue dans ce concentré de mots
pour trouver un sens à vos dires
Je reste sur un quai, sans en comprendre le sens
*une chasse au Yeti ?
Un adversaire de jeu de water-polo ?
Une ' juxtaposition des 26ots qui ne m' a pas convaincue
Un bon titre.
Pas facile à condenser ces 26 mots imposés, pari réussi !
Consignes respectées.
26 mots placés en condensé…mais le sens reste à rechercher


***************
7 Monstres sacrés : MARGHO 9.31 médaille d'argent

Un yéti bien ventru décida un matin
De quitter Ben Névis*, sa terre d'
héritage,
Afin de parcourir
quantité de chemins,
Car à grande altitude il était fort
inapte.


Pour satisfaire son clan, honorer ses couleurs
Il enfila d'un
geste son kilt au beau tartan
Et emplit sa fiole d'ambre à suaves odeurs,
Préférant au
xérès, un whisky de vingt ans


Il craignait le danger. Pour les risques cerner,
Anticiper l'attaque, en réduire
ravages
Il s'arrêtait souvent : pause pour se retourner
La
massue à la main, avec des airs sauvages.


Mais il sentait souvent son courage tiédir
Et regrettait d'avoir oublié la levure
Qui eut pu le transit de tripes ralentir...
Veuillez me pardonner de
narrer chose impure


Parcourant les Highlands au silence absolu,
Sans souci des
saisons il traversa les parcs
Désertés de toute âme comme
jungle inconnue,
Pour s'arrêter enfin sur les rives d'un lac...


L'eau oisive soudain perdit son unité,
Son miroir
dépoli venait de se troubler.
Lui apparut alors un monstre fort âgé

Qu'il eut fallu farcir pour mieux le savourer

Comme au water polo la bataille fit rage :
Il voulu l'
écimer, au barème des forces
L'un et l'autre semblaient avoir même courage
Score"
zéro à zéro" pour ces bêtes retorses !


* Ben Névis : plus haut sommets des Highlands


Subjugué par votre facilité d'élocution écrite et sans doute verbale
Un combat de no stress bien amenés
26 mots à caser
C'est fait et j'admire vos facilités de langage
Très beau et bien raconte
*rien à couper, pas un fil ne dépasse*
Belle aventure de Yéti fort bien narrée.
( héritage et inapte ne riment pas )
( j'aurais mis une virgule après risques, : 1er vers 3ème quatrain)
Héritage ne rime pas avec inapte…6ème quatrain en rime plate et non en ABAB
Histoire bien menée


*******************

8 Jonglage périlleux en mots improbables ! PROSE16 9.20 médaille de bronze

Lovée dans un cocon de bien-être absolu
Sans métrique ni autre barème,
Je me plais à
cerner les mots lus et relus,
Serai-je
inapte à me farcir un thème ?

Ma plume oisive se dresse et caracole,
Après arrêt sur
pause, saurai-je encore l'aimer ?
Sous nuage de
levure inspirante, ô elle s'envole !
Ne plus
narrer d'histoire, la mésestimer...

Ce coup de massue se révèle salutaire,
Le
water-polo se joue entre rimes et vers,
Écimer la quantité pour qualité volontaire,
Ce mot à mot me tourne la tête à l'envers !


Leur jungle tend à tiédir les pieds de ma prose,
Ils ne se comptent plus à l'
unité,
Ne respirent plus le parfum de la rose,
Ciel ! Un quatrain
ventru réclame l'immunité !

Kilt, sans culotte en flots de ravages,
Tu te moques des
saisons, où diable puis-je te caser ?
Murielle t' a gentiment offert en
héritage,
Sur ma page délicatement, je dois te poser !


Un yéti sirote du xérès dans un verre dépoli,
D'un
geste brutal, je le chasse de mon rêve !
Zéro problème, de vilains mots en strophes jolies,
La poésie ne connaît pas de trêve...


"la poésie ne connaît pas de trêve,"
Vous avez raison
Un texte un brin sérieux, un brin humoristique
Pas mal écrit
Les 26 mots forment une petite historiette sur les mots, vos mots en Poésie
agréable à lire
Pas mal le titre.
Belle narration qui met en scène tous les mots imposés,
sans oublier leur auteure, un coup de maître !
Consignes respectées.
26 mots bien menés pour ce « casse tête » poétique

******************

9 Solitude alphabétique DR MEOW 8.58

Le nombre de mes amis est presquezéro
Si j'exclus le yéti qui se loge en ma tête,
Et je soupçonne le
xérès que je bois trop
Après mon
waterpolo, de rendre pompette.


Je ne suis pas ventru, quoi que je veuille en dire,
Et l'
unité, c'est une valeur que j'adore.
Mes relations, pourtant, ne cessent de
tiédir,
Et les
saisons passant accélèrent leur mort.


Toutes mes amitiés cessent dans des ravages
Qui brillent par leur force et par leur quantité.
Tous mes bonheurs sont mis en
pause sans ambages
Car mon âme
oisive n'a pas de fixité.


Narrer ce qui fait que tous mes amis s'en vont
Aussi douloureusement qu'un coup de
massue
Serait vide comme un pain sans levure, et non
Mignon comme un chat en
kilt qui a un poil dru.


C'est comme ça : la vie est une sombre jungle.
Y être
inapte à l'amour est ma destinée.
C'est l'
héritage qui pend au bout de mes ongles
Et un
geste suffirait à tout terminer...


Mais je veux me farcir cet humain que je crains
Sans fin plutôt que de tenter de m'
écimer :
Vivre m'a
dépoli comme un miroir sans teint,
Mais je me suis résolu à ne plus
cerner


Les gens. Je les place sous l'odieux barème
D'une science qui n'est qu'artificeabsolu.
Mais je pleure parfois, voulant quelqu'un qui m'aime,
Ce qui est impossible en mon cœur dissolu.


Belle écriture que je souligne pour un associable
je vous cite, vous avez probablement quelque chose à offrir
Le choix est délibéré d' après ma lecture *le monde est une jungle*
La solitude est votre amie pendant que ceux que vous aviez vous quittent
Ne parlons pas de l'amour qui vous échappe malgré un certain regret
Bon titre.
Une solitude qui aurait pu être triste, mais la façon dont vous nous l'avez contée
ne l'est pas du tout...J'ai beaucoup aimé...Bravo !
Consignes respectées.
Jungle son ‘ingle »/ ongle son « ongle »
Conseil : évitez la coupure du phrasé des vers…massue/ Serait vide, et non/Mignon, à ne plus cerner///les gens
Un peu lourd « ce qui fait que tous mes amis s’en vont »
Solitude bien contée


*****************

10 Dans les bois CORTISONE 8.9

Dans une jungle offerte en héritage
Vivait un yéti ventru et alcoolique
Il avait pris une telle
quantité de potage
Qu'il avait attrapé une grosse colique


Sa douce moitié en kilt, une massue en main
Oisive de surcroît, prenait la pause
Avant de farcir un canard pour demain
Elle faisait des
ravages et pour cause


En toutes saisons sur le feu faisait tiédir
La levure pour faire monter le gâteau
Qu'elle parfumera de
Xérès, un élixir
En y ajoutant une
unité de fleurs de bouleau


Appliquant le barème du zéro absolu
Elle était inapte à faire le geste du semeur,
D'
écimer et de cerner les arbres vermoulus
Dans un miroir
dépoli en toute candeur


Elle souhaitait vous narrer son cours de waterpolo
Mais son homme des bois cassa le miroir
Et de colère elle décida de porter un polo

Mais depuis ce jour elle broya du noir.

Un couple de yeti ! Il fallait y penser
De beaux vers très bien construits mais un peu de fautes de conjugaison qui font ombrage à vos lignes
L'ensemble a plu au lecteur pour l'originalité du choix des acteurs du texte
Un récit très drôle, Monsieur et Madame Yéti en désaccord...
Et cette dernière qui conteste en polo !!! Je me l’imagine bien …
presque humaine ! Bravo !
( qu'elle parfumait : 3ème quatrain / 3ème vers )
Consignes respectées.
Un retour à l’homme des cavernes…fort amusant et belle écriture

***************

11 Si je pouvais, j’ai lu et relu POLYMNIE2 8.43
Les mots pour maux


J’ai fait ton grand voyage en cette dure vie,
Celle d’un silence ou presqu’
absolu,
Dans cette
jungle sévit la morale en survie
C’est un état en nous et non un résolu !


Mais cette qualité n’est pas une levure
Qui gonfle l’Esprit elle est pour l’unité,
Geste offrant qui ne prie sur icône ou gravure
Il est priorité sur des yeux d’éternité.


Y-a-t-il un barème pour cerner un regard ?
Comment pénétrer une immense profondeur,
Que creuse un vrai
Yéti, cet être avec égard
Arbitre oeuvrant tous gaz « les sens » en frondeur !


C’est à coups de massue qu’il défend les perdus
En l’homme glacé fait
ravages sur leurs saisons
Miserere en nos psaumes font pleurer les éperdus
Car les malheureux à plaindre, c’est nous avec raison.


La misère couchant parterre, sans repas, sans xérès
Celui qui s’oublie pour « farcir » les plats, les fruits !
Pauvreté est asservie n’est jamais servie express
Serait-ce la logique de violer un usufruit ?


J’ai honte de narrer ma pause en ce domaine
Cet absurde
zéro ventru d’infidélité
Quand l’humanité et moi-même se promènent
Près de la mendicité restant au sol alitée !


Je me sens inapte, avec des muscles sans héritage !
Waterpolo fait match pour écimer un dépoli
Je combats avec lui, tiédir mon œil, seul otage
Car mon âme frémit me voit gênée au lit !


Je voudrais être ce pieux vase communicant
Je l’ai rêvé ce matin au « cil en cieux » d’une nuit
C’est sur « canne à paix » que songe l’Esprit vacant
Se revêt d’une pensée, sur l’aire
oisive sans ennui !


J’ouvre grand, sans mesure, ma vue vers sa tunique,
J’ajoute un
kilt et vois un Don Quichotte
En gros plan qui me dit : « Je ne suis pas unique
Pour causes avec croix, galope une
quantité de menottes » !


Vous et les pauvres
Un texte ou vous vous efforcez de montrer qu'ils sont nombreux à tendre la main alors que votre vie vous la considérez comme aisée
Je m'entends: vous mangez à votre faim
Implorer le ciel pourquoi pas
Que fera-t-il ?
Complexe la relation avec le vivant rejeté et la prière
L'écrit n'est pas facile à lire quand il s'agit de réel et le spirituel
Vous l'avez fait
Vos césures sont un' peu gênantes à lire parfois
mais vous avez fourni du travail
Une très belle façon de faire passer un courant d'humanité contestataire,
une prise de conscience face au monde trop en souffrance...Merci.
De beaux jeux de mots tels : "cil en cieux " " canne à paix "
Consignes respectées
J’aime vos jeux de mots tout en finesse…Vision réaliste et d’actualité


*****************

12 Héritage du père Yéti MARYVELO 7.85


Cerner quoi...un geste en héritage ?
Du père
Yéti de la jungle déjantée.
Je me vois
inapte face aux ravages,
En
absolu et à l'unité...


Tiédir les saisons à coup de massue,
Ne présage pas la
pauseoisive.
Le
barème zéro ajoute quantité au ventru,
Présente fille en
kilt je reste captive.


Écimer la nature devient hébété.
Narrer l'histoire en buvant dans un verre dépoli du Xérès,
Fait monter la
levure tel un ballon dérouté,
De
water-polo,sans eau, au ras de mes fesses...


Vous ai je sérieusement étonné ?
Ah!il faut se la
farcir,
Cette Yéti en kilt au fond de la forêt

Qui se prend au plaisir d'écrire.

Un texte très drôle et une chute qui fait sourire
Vous êtes un ou une joyeuse, dites voir Poète
vous mettez *le mot qui fait que*,
L'on ne s'ennuie pas avec le ou la rimailleuse ci-contre
Pauvre madame Yéti qui décide de prendre la plume, pour dire stop aux hommes
saccageant son territoire encore vierge...Belle idée !
Consignes respectées
( pauseoisive "accroché " involontaire ? ) ( étonné / forêt : sons différents )
Etonné son é/forêt son ai…Amusant mais un peu décousu


*************
13 Un instant seulement POLYMNIE2 8
Fusent les mots !

Comment narrer l’instant se perdant en l’Ether
Plus rapide qu’une idée qui se tue à
cerner
Un sujet dans un vaste océan qui se terre,
Mais qui vit, se meurt et sans pouvoir rien discerner !


Mon songe reste une ombre, un gris dépoli à écimer,
En ce ciel, sombre nuée
inapte ne peut courir,
Elle erre en l’espace alors pourquoi m’escrimer ?
Le voilà naître en l’Esprit à l’aube d’un sourire *!


Désir paraît à l’heure oisive des oiseaux,
Leurs ritournelles, tel un refrain aux pas des ailes !
Ma
pause est assassinée par le bruit de ciseaux
Qui rasent les jardins en fières donzelles*!


Le tracteur fracasse et fait multiples ravages,
Le silence éteint l’
absolu, voyagent les parfums
D’herbes folles, en
quantité senteurs de nuages !
En activité Tam ! Tam ! le forgeron n’est pas défunt !


Son geste évocateur, travaille sous parasol,
Il chante en vrai
Yéti faisant trembler sa voix,
Le son grave retrouve la
jungle, sans clé de sol,
Il ne porte pas de
kilt, car « l’aube-épine » fourvoie !


Les étincelles d’or fondent comme un soleil,
Palpite sous rayons sa force en chaudes pensées !
Les Dieux voient son cœur, à la forge, pareil,
Fait de lumières, l’
héritage en tous sens, embrassées.


Cet artisan n’a nul besoin d’un Waterpolo
Il ne court pas les cafés pour un verre de xérès
Il se sert sur fontaine source claire de l’eau.
Il nage et muscle les
saisons en fusion express !


C’est le mois des pluies, du chaud et du froid,
C’est en martelant le temps, le fer, que l’on pense aussi
A la
massue offrant deux visages, la beauté, l’effroi*
« Au roseau des étangs » un tendre bien assis !


Nul besoin de farcir le fleuron de couronne
Tiédir sans levure leventru barème de l’atmosphère
Avec l’
unité réunie pour que fredonnent
Amour, Nature, courage, paix sans de
zéro sphère !


Des mots imposés qui fusent avec légèreté parlant de gestes simples,
sur tableau fort poétique.
Consignes respectées.
Votre pause nature est rompue par le bruit des ciseaux, d'une débroussaille et ce forgeron s'y mettant aussi
Un joli *rendu*pour tous ces bruits autour de bous
Jeux de mots, Métaphores, etc…
Vos pensées, votre esprit reliés au ciel matinal calme et serein se voient bouscules
Un bel écrit où Nature et votre "vous" parcourez les lignes
Un souci de lecteur avec vos césures
Le phrasé de vers entrecoupés fractionne l’harmonie d’ensemble…
Parfume/ D’herbes folles…que l’on pense aussi/A la massue…fredonnent/Amour
Le silence est d’or mais apparemment difficile d’accès



HORS CONCOURS



Projet d'un nez.... LYS

Oisive, admirant mes roses épanouies,
Je m'interroge : aurai-je assez d'absolu,
De concrète quantité et qualité inouïe ?
Créer la tentation en ce flacon ventru ?


Pas de mortes saisons, elles sont rares.
Car parmi cette jungle de parfumeurs,
C'est toujours barème et taux barbares.
Qui ouvrira le grand bal des senteurs ?


J'avoue être inapte à cerner la tendance.
Comment pénétrer en ce monde inconnu,
Perpétuer cet héritage, ai-je une chance ?
Il me faut appeler ce petit homme barbu...


Drôle d'individu en kilt qui me fit un geste
Au cours d'une compétition de Waterpolo,
Et me tendit sa carte, prise sans conteste.
Aubaine que ce comptable, point un zéro !


Pas de panique, je vais faire des ravages,
Cet expert, comme la levure d'un gâteau
Sera j'en suis sûre, l'atout sans ambages.
Je vais l'inviter, et lui farcir un perdreau...


Écimer quatre belles tiges de mes roses,
Xérès sur la table, je ne suis pas un yéti !
Et pendant la pause café, à petites doses,
Lui exposerai projets sous le lustre dépoli...


Puis, je l'espère, sans un coup de massue,
Il faudra bien parler du chiffre sans unité.
Mise à tiédir, une tarte amandine congrue,
Je finirai de vous narrer mon récit déjanté....


****************
Olympiades via l’Ecosse IBOUJO

Mes parents m'ont donne le goût des jeux de ballon en HERITAGE,
INAPTE au Basket vu ma taille, bonne en Natation
"WATER- POLO " : leur dis-je un jour : " tu vas te FARCIR des filles carrées à l’emballage",
Je retrouvais régulièrement les jeunes de mon âge en compétition.


La famille avait reçu un coup de MASSUE en l' ABSOLU
Me voyant les mains plutôt dans la LEVURE, à faire TIEDIR le lait
Agrémenté de Xérès, pour la pâte du flan de Mamie Lulu
Je n' imaginais pas être Top Chef en cuisine j'étais le ZERO pointé.


Je me mis à CERNER, et la piscine , ses longueurs,
GESTE, PAUSE, avec un coach VENTRU
Un YETI, sorti tout droit de sa JUNGLE, en sueur,
Me faisant la tête comme un pot de verre DEPOLI, bon sportif mais malotru.


Pour la sélection des Olympiades en Ecosse, le BAREME temps fut serré,
Je forçais, à fond, un corps à corps avec l'eau chlorée
ÉCIMER était le mot, le bonnet me faisant une tête de Bouleau unicéphale mais sans faiblir et pressée je fusais, fendant l'eau, j’attendais les résultats.


Hourrah ! Je partais dans les sillage des KILTS écossais, seconde, après l'élimination des candidats
Une belle SAISON sportive, nous finissions vainqueurs
Sans RAVAGE sur le podium, nos sourires au cou noué d Or, d' un cordon tels des dadas*
Le moral au beau fixe, une équipe scellée en UNITE c'est peut être cela la technique


Ce fut suivi des vacances, avant la reprise des entrainements
L'effort est toujours récompensé, dans toutes les spécialités
NARRER une année de sacrifices, apportant le firmament
À la maison, pour la joie des parents, en vacances et un peu OISIVE je bats le beurre pour plats mijotés


Et tout le monde est satisfait !!!!

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26 MOTS EN QUESTION Llumierelive

Dans l’absurdité d’un abyssal absolu
Où le barème barométrique semble barbare,
Comment cerner les cernes sans salut
D’une dépouille dépurative sur dépoli d’un bar ?


Sinon d’écimer les sérénissimes millésimes,
Les farcir, les fasciner en farceur
Dans un geste de gestion d’un géniteur légitime
En happant hâtivement l’héritage d’un haïsseur ?


Incertitude inapte à d’inespérées inepties
En cette jungle juridictionnelle mais jubilatoire
Où le kaki d’un kilt et le kapok d’un képi
S’élèvent telle levure au bon vouloir d’un laminoir ?


Sous la massue mastoc d’une massive masure
Narrer sans narguer les narguilés narcotiques,
Oser supposer dans l’oisellerie oisive mais sûre
Qu’une pause s’impose et repose sur prose antique ?


Ou sous le qualificatif d’une quantité de quatre califes
Relever d’un ragot les ravages de la rage
Sur salaison des saisons aux salives sans ifs
Tiédir les têtes de thé sans tripotage ?


Uniformité en unité utilitaire
Pour vaincre la vaillance d’un ventru vaincu :
Un waterpolo de Walhalla au water
Car la Xénophobie sous xérès est « gratte cul » !


Les yeux d’un yéti yankee yoyottent
Au zénith de la zone zéro il zozote…
La moralité de ces propos : ne vous posez pas trop de questions vous n’en trouverez jamais la solution…


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Oiseaux de mauvaise augure IBOUJO

J'ai a la maison un drôle d' oiseau, un époux apparemment,
Mais avec les SAISONS , que de RAVAGES sur notre couple, Jill et Julot,
Pas un GESTE tendre , INAPTE à offrir le moindre sentiment.
Plutôt adepte de XERES que de reprendre le WATERPOLO


Toujours en PAUSE pendant que je m'active, il faut se le FARCIR en journée,
Ne parlons pas du regard, un cristal noir DEPOLI qui fusille,
Un HERITAGE de sa mère, une "baronne" autoritaire, impossible à CERNER.
Oisive et muette à ses heures entre filles.
Où hyperactive et bavarde à vous ECIMER, le cervelet au diner.


Penchée sur son BAREME pour son décès, Calculant l'usufruit, une UNITE qu'elle tient garder pour Leon,
Son boucher qui ne lui sert pas que des cotes d'agneau à griller,
elle adore le morceau dans la culotte*ou son filet mignon,
En attendant nous buvons le bouillon bien saucées.


Des paroles dans la figure telle une MASSUE, vivant avec deux sacs décousus,
Privilégiant la QUANTITE a la qualité,
Conversations: Ambiance ZERO, seul compte JuJu,
Le YETI, sauvage, nu du cerveau, venu de sa JUNGLE un broussard inadapté,
Me leurrer ??? Il ne me fait pas TIEDIR mais bouillir, la presse et le jus !!


C'est un binôme que j'ai épousé, du papier carbone certifié quequet !
Plutôt que NARRER nos vacances écossaises et les KILTS princiers
Matière cashemire, Ness, son l'histoire racontée,
Je vais leur faire le coup, une tangente à Tataouine, sous l'aile d'un beau fauconnier …
 
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