Mes yeux ce ferment,
Le noir m’entoure,
Le silence apparaît,
Et soulage les battements de mon cœur,
Qui diminue à chaque seconde,
Une chaleur envahie tous mon corps,
Des pieds à la tête,
C'est la terre qui m'envoie sa dernière énergie,
Pour qu'elle parte vers le créateur du ciel.
Un calme plat,
Plus de son,
Plus de pensée,
Plus de sentiments,
Couché à attendre mon heure
Qui ne serait tarder,
Je sent cette froideur,
De mon enveloppe corporel,
Qui ce vide de mon âme,
Elle est partie s'envole vers une meilleur vie,
Et moi je suis là couché dans mon lit,
Un corps vide et glacé,
Par la disparition de mon moi intérieur,
Ça y est c'est fini,
Plus de souffrance,
Plus d'état d'âme,
Plus de cœur,
Plus de peur,
Plus de sentiments,
Plus de sensation,
Juste un corps vide,
Prêt à se sacrifier,
Dans les flammes d'un feu ardent,
Et jeter à la mer pour disparaître indéfiniment,
Belle fin que composera mes enfants.
La mort est belle,
Et un n'y a qu'elle pour libérer,
Et soulager toute souffrance existante.
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Transférer
Le noir m’entoure,
Le silence apparaît,
Et soulage les battements de mon cœur,
Qui diminue à chaque seconde,
Une chaleur envahie tous mon corps,
Des pieds à la tête,
C'est la terre qui m'envoie sa dernière énergie,
Pour qu'elle parte vers le créateur du ciel.
Un calme plat,
Plus de son,
Plus de pensée,
Plus de sentiments,
Couché à attendre mon heure
Qui ne serait tarder,
Je sent cette froideur,
De mon enveloppe corporel,
Qui ce vide de mon âme,
Elle est partie s'envole vers une meilleur vie,
Et moi je suis là couché dans mon lit,
Un corps vide et glacé,
Par la disparition de mon moi intérieur,
Ça y est c'est fini,
Plus de souffrance,
Plus d'état d'âme,
Plus de cœur,
Plus de peur,
Plus de sentiments,
Plus de sensation,
Juste un corps vide,
Prêt à se sacrifier,
Dans les flammes d'un feu ardent,
Et jeter à la mer pour disparaître indéfiniment,
Belle fin que composera mes enfants.
La mort est belle,
Et un n'y a qu'elle pour libérer,
Et soulager toute souffrance existante.
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