Quand ton œil verse une eau comme du sang,
J’aime voire ce monde sans guerre ni héros.
Nous avons seulement des victimes innocentes
D’un état malade de l’amour éros.
Quand on pédestre ton pectoral juvénile,
Je deviens gladiateur filiforme animalcule,
Et maritalement le mal vernaculaire
Ma farcie. Mon œil halieutique te lorgne.
Audible ma voix démoniaque qui sombre,
Candide ô chrysanthème, esclandre mon libellé
A l’apologie d’un emblème amiante prisé.
Ambre ô amalgame, antidote de mon antre,
Arcane de mon augure, haltère de mon hémistiche,
Elytre de mon lignite, poulpe ô tentacule,
Dans les moments maussades qui m’assaillent atone,
A la floraison funèbre de la haine,
Le candide du felhing n’appartient qu’à toi.
Je suis captif achevé sans sève,
Je ne suis pas bataille ni combat, je suis ton choix
A la douceur du soir au soleil déclive
J’aime voire ce monde sans guerre ni héros.
Nous avons seulement des victimes innocentes
D’un état malade de l’amour éros.
Quand on pédestre ton pectoral juvénile,
Je deviens gladiateur filiforme animalcule,
Et maritalement le mal vernaculaire
Ma farcie. Mon œil halieutique te lorgne.
Audible ma voix démoniaque qui sombre,
Candide ô chrysanthème, esclandre mon libellé
A l’apologie d’un emblème amiante prisé.
Ambre ô amalgame, antidote de mon antre,
Arcane de mon augure, haltère de mon hémistiche,
Elytre de mon lignite, poulpe ô tentacule,
Dans les moments maussades qui m’assaillent atone,
A la floraison funèbre de la haine,
Le candide du felhing n’appartient qu’à toi.
Je suis captif achevé sans sève,
Je ne suis pas bataille ni combat, je suis ton choix
A la douceur du soir au soleil déclive