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Mon renouveau d'espoir

#1
Cela fait un moment que je n'ai pas posté ici, et j'en suis confuse. J'espère que ce poème vous plaira.

Donne-moi un instant antipathique vie
Un instant pour souffler, respirer, et humer
Ses cheveux, son regard, sa tendresse infinie
Et offrir à cet âme un écrin de gaité.

Ne m’éteints pas de suite, j’ai besoin de lui dire
Qu’au grand jamais je ne saurais assez l’aimer
Ne pouvant lui porter que l’écrit d’un sourire
Sous l’appel de mes mots, de mes vers, et baisers.

Mon encre n’a la force, le courage, et l’esprit
De lui avouer comme il m’a émoustillé
En faisant de mes sens le plus beau paradis
D’un voyage, d’un conte, où s’ancre l’éternité.

Toi qui me dis tout haut ce que tu n’oses dire
Toi qui m’a octroyé les plus beaux des cadeaux
Ta Foi, et ton amour, ta tendresse, et tes rires
Jamais au grand jamais, tous mes plus beaux appeaux…

…Ne seront comment te remercier mon cher
A ta juste valeur, toi qui m’a tant offert
Le plus beau des récits que je veux séculaire
Car il fait de ma vie la plus belle chimère.

Il répond davantage à toutes mes prières
Il est le grand barrage apaisant de mes peurs
Pour calmer cet afflux de doutes, de misères
En m’illustrant les points d’un avenir meilleur.

Oh oui, j’ai constaté ce qu’était le futur
Celui qu’on s’imagine en pensées et en rêves
Comme si un génie avait de mes ruptures
Sécrété les bons tons pour en faire une trêve.

Je ne pourrais prétendre à de plus grands atours
Il n’est pas un exemple, mais il est mon plus beau
Chacun écrivant sa propre histoire d’amour
Tant qu’elle lui dédie tous ses plus doux échos.

Peut-être n’est-il pas parfait aux yeux des autres
Mais pour ma part il fut en quelque mois à peine
L’essence même de ce qui fait d’un apôtre
Son méritoire titre en évinçant les haines.

Que puis-je conférer à quelqu’un qui me prouve
Que j’ai su retrouver en son cœur mon miroir ?
Car sa démagogie est tout ce que j’éprouve
Pour que renaisse en moi tous mes plus grands espoirs.

Jamais je ne pourrai t’aimer comme il le faut
Ou comme je le veux, mais qu’importe, mon amant
En rythme nos deux cœurs maintiennent le flambeau
D’un amour qui toujours luira au firmament.

Alors je t’en supplie vil démon de mes nuits
Laisse poindre à mes yeux ce qui fait ta magie
Cet astre qui scintille en sa belle eurythmie
Faisant de nos accords la plus belle alchimie.

Ainsi c’est pourquoi c’est sous ces partitions
Que vit et que résonne au plus haut point ma plume
Car c’est par son esprit empli d’émotions
Que je peux composer mes plus belles coutumes.

Il me berce, me câline, pour faire de nos soirs
La belle allégorie d’un présent de noblesses
Où je peux y puiser la source de mon art
En faisant de mes pleurs les plus belles promesses.

Ainsi j’ai compris qu’à ses côtés, mes émois
N’étaient pas un souci mais ma fibre artistique
Celle qui constitue en mes écrits, ma foi
Et qui forment l’esprit de mes contes rythmiques.

Alors crois-moi la vie que pour ce noir passé
Sur mes relations, je t’ai tôt pardonnée
Car tu m’as permis de toucher l’inespéré :
Cet amour m’offrant ma plus belle destinée.

Si j’écris à ce point, c’est que j’aie entrevu
Tout ton potentiel flagrant et envoûtant
Et qui font de nos nuits un envol éperdu
En ce refrain charnel aux couplets irriguant…

…Pour y écrire mes rus d’inspirations
Les plus jolis qui soient et qui m’ont tant permis
De m’améliorer, car en cet oraison
J’ai pu y sublimer, sans honte, mes mélodies.

J’ai compris que j’étais une boule émotive
Qui avait tant peur de l’assumer, car personne
N’étaient très réceptifs aux larmes de mes rives
Dépeignant ce pour quoi mon cœur bat et rayonne.

Car dès que tu m’as fait renaître de mes cendres
Ma prose devenait intuitive et aisée
Signe que j’étais bien perdue dans les méandres
D’un passé qui m’avait à jamais dévastée.

J’ai pu enfin tuer un peu ce lourd silence
Qui pesait en mon cœur, en mon âme, et ma vie
Et qui montre à jamais, en parfaite cadence
Que tu es bien la muse ayant changé ma vie.

Passerelle de ces moments de nostalgie
J’ai repris mon crayon pour poursuivre ma voie
Car en m’inspirant de cet esthète érudit
J’ai enfin pu comprendre à quoi rimaient mes choix.

Celui de finir en Bretagne à ses côtés
En faisant découvrir mon probable talent
Pour prôner tout ce qui m’a toujours animé
Soit adorer aider et soutenir les gens.

Alors merci mon ange, merci pour tout mon cœur
Merci pour m’avoir tant aidé à me rouvrir
Protégée sous tes cieux et tes maintes valeurs
A ne plus avoir peur de dépeindre, et d’écrire…

…Ce qui me tient à cœur, en m’améliorant
Sous ton astre enchanteur, toi qui façonne l’art
Et l’esprit de mes mots, et de mes jugements
En dépeignant sans mal l’unisson de nos moires.

Voilà pourquoi dans chaque écrit ton cœur demeure
C’est pour à ma façon, bien piètre, mais véridique
Te rendre hommage et ce malgré le dur labeur
Que de trouver les mots pour croquer les éthiques…

…Leçons que tu alloues et qui comblent mon âme
Soit de purger la Terre en l’apport régulier
De l’amour, l’amitié, qui évoquent la flamme
De la force infinie de ces valeurs lésées.

Oiseau Lyre.
 

Pièces jointes

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