Une fois de plus tu as ouvert mon appétit pour mieux me faire languir
C’est fou comme ça m’abêtis tout en stimulant mon désir de te dévêtir
Et voilà que seule chez moi, je pense de nouveau à toi
Je t’imagine à demi-nu, sous la caresse de mes doigts
Tandis que j’écris ces lignes, mes dents viennent chevaucher ma lèvre inférieure
Mon esprit grand ouvert à l’aphrodisiaque pulsion de me délecter de ta raideur
Comme j’aimerais, dans l’instant, t’effeuiller lentement
Poser mes lèvres en enrobement sur ton membre brûlant
Faire de ma bouche un fourreau de plaisir ardant et te voir défaillir en gémissant
Révélant ainsi mon côté félin et dominant, mon regard latin et limite insistant
Ma salive lubrifiante, renvoyant la lumière, viendrait caresser ta hampe dressée
Ma langue infatigable danserait sur ton frein et couvrirait ta couronne perlée
Ces intenses caresses me monteraient déjà à la tête
Tu reconnaîtrais dès lors ma respiration que rien n’arrête
J’entamerais lentement une ondulation totalement aléatoire tout en t’inspectant
Qui ferait pression sur ta garde pour relâcher sa tension à la découverte de ton gland
Me mouvant avec entrain et variation pour te déguster tout entier
Ma bouche se contractant, aspirant tout en vrillant le long de ta virilité
Puis ma langue, de son revers, câlinerait ton sexe pour s’attarder sur tes joyeuses
Les cajolant, tout en encourageant avec délicatesse, leur valse délicieuse
Pour mettre un frein à ton supplice, ma paume loverait ton prépuce un bref instant
J’en profiterais pour te contempler en redemander d'un regard suppliant
Ma bouche dévoreuse reprendrait aussitôt ses assauts avec fermeté
Un pouce sur ta garde pour contenir ta jouissance prête à s’exprimer
Ma fougue accentuée aspirerait ton essence vibrante sans trêve
Pouce relâché, jaillirait en mon gosier, ta chaude et précieuse sève.
C’est fou comme ça m’abêtis tout en stimulant mon désir de te dévêtir
Et voilà que seule chez moi, je pense de nouveau à toi
Je t’imagine à demi-nu, sous la caresse de mes doigts
Tandis que j’écris ces lignes, mes dents viennent chevaucher ma lèvre inférieure
Mon esprit grand ouvert à l’aphrodisiaque pulsion de me délecter de ta raideur
Comme j’aimerais, dans l’instant, t’effeuiller lentement
Poser mes lèvres en enrobement sur ton membre brûlant
Faire de ma bouche un fourreau de plaisir ardant et te voir défaillir en gémissant
Révélant ainsi mon côté félin et dominant, mon regard latin et limite insistant
Ma salive lubrifiante, renvoyant la lumière, viendrait caresser ta hampe dressée
Ma langue infatigable danserait sur ton frein et couvrirait ta couronne perlée
Ces intenses caresses me monteraient déjà à la tête
Tu reconnaîtrais dès lors ma respiration que rien n’arrête
J’entamerais lentement une ondulation totalement aléatoire tout en t’inspectant
Qui ferait pression sur ta garde pour relâcher sa tension à la découverte de ton gland
Me mouvant avec entrain et variation pour te déguster tout entier
Ma bouche se contractant, aspirant tout en vrillant le long de ta virilité
Puis ma langue, de son revers, câlinerait ton sexe pour s’attarder sur tes joyeuses
Les cajolant, tout en encourageant avec délicatesse, leur valse délicieuse
Pour mettre un frein à ton supplice, ma paume loverait ton prépuce un bref instant
J’en profiterais pour te contempler en redemander d'un regard suppliant
Ma bouche dévoreuse reprendrait aussitôt ses assauts avec fermeté
Un pouce sur ta garde pour contenir ta jouissance prête à s’exprimer
Ma fougue accentuée aspirerait ton essence vibrante sans trêve
Pouce relâché, jaillirait en mon gosier, ta chaude et précieuse sève.
LadyHamilton
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