Petit poème
Témoin de ma misère
Je verse sur toi les larmes qu’il ne peut pas voir
Je t’explique ce que lui ne comprends pas.
Il ne se rends pas compte des épieux qu’il m’enfonce
Des déceptiton que j’endure
Oui, je sais, il m’aime.
Ça suffit?
Pourquoi a-t-il l’impression que dire sans montrer est assé?
Pourquoi pense-il qu’un baiser par-ci par-la prouve tout?
J’en ai marre de me contenter d’un peu de jus comme promesse.
Marre de n’être jamais convaincue que c’est sincère
Pourquoi tu lui ouvres tes bras?
Ces bras qui me serrent si souvent…
Pourquoi elle a t-elle le droit
De dormir en sentant ton parfum?
Tu es injuste sans le savoir
Déstructeur sans t’en rendre compte
Tricheur sans le vouloir
Aveugle, tu creuses notre tombe
Tu brises ce que je t’offre
Tu marches joyeusement
Sur mon cœur en mille miettes
Sans même réaliser ce que tu fais.
À coup de paroles, tu démoli mon assurance
Témoin de ma misère
Je verse sur toi les larmes qu’il ne peut pas voir
Je t’explique ce que lui ne comprends pas.
Il ne se rends pas compte des épieux qu’il m’enfonce
Des déceptiton que j’endure
Oui, je sais, il m’aime.
Ça suffit?
Pourquoi a-t-il l’impression que dire sans montrer est assé?
Pourquoi pense-il qu’un baiser par-ci par-la prouve tout?
J’en ai marre de me contenter d’un peu de jus comme promesse.
Marre de n’être jamais convaincue que c’est sincère
Pourquoi tu lui ouvres tes bras?
Ces bras qui me serrent si souvent…
Pourquoi elle a t-elle le droit
De dormir en sentant ton parfum?
Tu es injuste sans le savoir
Déstructeur sans t’en rendre compte
Tricheur sans le vouloir
Aveugle, tu creuses notre tombe
Tu brises ce que je t’offre
Tu marches joyeusement
Sur mon cœur en mille miettes
Sans même réaliser ce que tu fais.
À coup de paroles, tu démoli mon assurance