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Mon pays fantastique

mam05400

Nouveau poète
#1


Mon pays fantastique,

Je ne sais, si mon rêve, fut éveiller. Ce que je peux vous dire, c'est qu'il était si vrai, que mes yeux à jamais, en resteront figés.
Je me retrouvais là, comme téléportée, dans un monde fantastique, que je vais vous conter.
Assise sur un rocher, suspendu dans le vide, j'admire la féerie, de cette mer emplie, de poissons transparents, de créatures troublante, que je ne peut d'écrire, tant elles sont surprenante.
Le ciel tellement bas, déploie autour de moi, une superbe lumière, de couleur orangé, tiré jusqu'à la mer, par de merveilleux verts, et de bleu mélangé.
Dans un fort battement d'ailes, un énorme dragon, volant de tout son long, passe devant mes yeux, sans même être alarmé, par mon regard surpris, d' autant d'esthétisme, de grâce et d'harmonie.
Je le vois s'éloigner, et d'un geste discret, je le sent ce tourner, afin de m'observer.
Son regard profond, pénètre ma vision, de toute la gentillesse et la magnificence, de ce monstre affolant.
Son regard si touchant, pénètre mon esprit, mon cœur, ma volonté, d'ésperer chevaucher, cet énorme dragon, afin de m'envoler, vers le pays des fées.
Mon esprit retrouvé, je décide d'explorer, cette grande forêt, qui me tourne le dos.
Je pénètre en secret, dans ces bois si inquiet, je sens que l'on m'observe.
De petits chants léger, me parviennent aux oreilles, puis, des pas, si discret, que j'entends trottiner, me laisse interloquée.
Ce sont eux, je le sais. Ces êtres que je connais, de mon enfance passée, où je les retrouvés, le soir après "mangé", le nez dans mes grimoires, que j'aimais rédiger, pour me faire rêver.
Ils sont là, je le sais, je les entends bouger, derrière les fourrés.
Ils doivent être effrayés, à l'idée de penser, que je vais les trouver.
J'ai tellement marchée, que je suis éreintée. Je décide de m'étendre un instant, au pied de ce grand arbre, tellement gigantesque, qu'il me semble inquiétant.
Je m'endors. Mon sommeil fut bref.
je me sent soulevée, empoignée par les pieds, par les branches serrées, qui semble s'amuser.
Mon regard à l'envers, semblant chercher de l'aide, reste tout à coup bloqué, sur ce sol habité, Ils ce sont tous montrés, pour pouvoir me sauver.
Les Elfes, gracieux et souples,et pourtant si fragiles, paraît de beaux bijoux attachés à leurs cou.
Leurs traits sont d'une finesse. Leurs beauté me captive, je ne veut pas bouger, je veux les admirer, pour ne pas oublier leur si belle personne.
Les Lutins sont ici, avec leurs barbes verte, pour mieux se camoufler, dans la mousse des forêts.
Ils ont une peau d'écorce, un collier de fruit sec.
Une feuille de rhubarbe entourée sur elle même, leur sert de chapeau, pour ce couvrir la tête.
A, mes gentils lutins que j'ai tant espérée, les soirs de Noël, pouvoir les présager.
Je vois aussi les fées, qui volent autour de moi, elles me scrutent.
Leurs regards me submerge, d'une émotion puissante, devant cette beautée gracieuse et caressante.
Je ne suis pas inquiète, je ressent la chaleur, de toutes ces créatures, qui s'inquiètent pour moi.
Puis tous à coup je vois, une fée, plus préssée que les autres, de me voir libérée, sortir, de, je ne sais où, une baguette magique.
L'arbre ne veut pas lâcher, j'appartiens à son jeu, qui semble l'amuser, et malgré les criailleries de tous ces êtres unique, l'arbre reste impassible, à quelque humanité.
Puis, dans un bruit de tonnerre, je sent trembler la terre, et je vois pétrifiée, le dragon me soulever.
L'arbre, ne peut que céder, sous sa peur arrogante.
Et me voilà posée, comme je l'espérais, sur le dos écaillé, de mon ami Dragon.
Je m'éloigne de ce monde , qui va tant me manquer.
J'ai le temps malgré moi, de contempler en bas, mes amis féeriques, qui m'observent m'envoler, pour un lointain palais...