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Mon dernier combat

PascalH

Grand poète
#1
De cet encens qui se repend sur le lit de ton corps
Dirige mon âme perdue vers cette nouvelle perdition
Tu fait de moi l’alvéole de tes plaisirs jusqu’à l’aurore
Et de ma mort le présent puis le futur de notre fusion.

Tu enclave mon être de tes parfums les plus subtiles
Comme une prêtresse qui se prépare à l’accomplissement
De cette offrande qui engendre ainsi cet amour si futile
Réclame que nos pairs en regard puissent être cléments.

Je m’échoue sur ce rivage ou ma peur m’a abandonné
Pour une bouche qui s’éternise sur les mots ancré en chœurs
Déroulant les maux qui déclarent d'une guerre à mal aimer
Se lézarde sur le mur de ma vie et poignarde mon cœur.

Je suis maintenant si seul que le drap de l'oublie m’oppresse ici bas
Faisant fort que tout ce qui me rapproche m'éloigne à ce jour de toi
Comment pourrais je trouver ce réconfort qui me manque , j'en suis las
Car je ne puis attendre pour puiser la force de ce dernier combat.

Ed. PascalH 14/04/2017
 

iboujo

Maître Poète
#2
Les lions sont encore dans l'arène
et je t'accompagne si tu permets

Un texte dur ,fort ,triste de par son titre
mais quelle plume!

veux -tu créer ,
le Club des Gladiateurs , Gladiatrices,
tiens il y a glad dans ce mot ...
Nous ne sommes pas seuls dans cet état Pascal sur Crea..
j'insiste..
pas question de se laisser partir
pour le moment tu es vivant et ton crayon aussi

jocelyne
allez on y croit
courage
 
Dernière édition:

farida

Maître Poète
#3
Totalement d'accord avec toi jojo
et pour vous Pascal,je dis courage et espoir ,langue et belle vie pour vous.
Amicalement.
 

PascalH

Grand poète
#4
Merci à vous tous , mais ce n'est qu'une modeste plume qui se laisse envahir par de bien sombres pensées.


Ce fut le désespoir , puis la compassion, l'écoute et la compréhension des mots qui trop souvent s'épuise sous le florilège des maux pour que naissent enfin l'esprit qui s'épanoui et se libère .



Je ne suis que ce modeste lien entre mon âme et mon esprit cartésien car tout ses textes appartiennent à l'infini et leurs farandoles de lettres imbriqué les uns aux autres qui ne sont que les silences là ou mon coeur qui s'y est perdu un jour.


Pas d’inquiétude pour mes chers et chers ami(e)s , merci de votre part d'y prêter une aussi sympathique attention.

Bien à vous.