Mon cœur le fautif, le patient,
Au milieu d’un désert aride et vide
Ombre Livide et son air qui envide
Ne connait guère de risques et d’inconvénient
Ni « d’éventualités » comme notion .
Voit à jamais surgir l’énergie du fond
Apparente telle que mon humble passion
Déloyale d’être l’être téméraire et imprudent (…).
Mes larmes veulent gravir le sommet d’un mont.
Pourquoi ne leur dites vous pas que je ne suis leur coin du Vent,.
Un souffle d’ouragan, un chemin d’enfer brûlant et gelant nos rangs
Séparant nos deux camps, les seuls construits an après an,............
Tout ne suit mon itinéraire insensible,
Austère et cassant, pénible et harassant
Accablant même l’audacieux hardi mâle persévérant,
Une rafale du temps et une piètre rupture d’un tourment,
La vie est ainsi une dure notion à atteindre
On ne peut par érosion l’atteindre mais seulement la craindre,
Parvenir à la moindre entente
Redresser le vernis de la pente,
Et monter le haut, entré dans cet abri,
Nous procurant tant d’ataraxies, de poésie,
Que c’est beau oui, de rêver du silence et de sérénités
A la rencontre de la convoitise et de l’avidité
Et si je décidais de tout abandonner, tout cesser,
Si au prix du silence tout j’acceptai
O, cœur coupable de mon funeste rang
Agitant la terre au tremblement,
O esprit vaillant, fautif et délinquant,
Qui interne puis enferme l’être de son fond qu’il soit noir ou blanc,
Est Terne comme de l’argent, insignifiant aux bons regards des passants.
Mais marqueur de pouvoirs,
Assujettissant à son égard milles dépendances et obéissances
Qu’il a pu tout simplement avoir
Comment ne pas comprendre la phrase dite avec tant d’audaces
Et à mon cœur se pose le cran du soutien, l'affres de l’angoisse
Que je n’arrache pour vous plaire à vous "mariage"
Et peut importe l’usure et l’usage de l’âge (…)
Quand s’ouvre aux ténèbres
L’enfer des cieux funèbres
Et quand s’en ira la nuit
Aux trêves, abondons bruits
Ne faisant que hanter mes courtes songeries (…)
Et mon cœur l’effronté, souvent en rit
Zra17.
Au milieu d’un désert aride et vide
Ombre Livide et son air qui envide
Ne connait guère de risques et d’inconvénient
Ni « d’éventualités » comme notion .
Voit à jamais surgir l’énergie du fond
Apparente telle que mon humble passion
Déloyale d’être l’être téméraire et imprudent (…).
Mes larmes veulent gravir le sommet d’un mont.
Pourquoi ne leur dites vous pas que je ne suis leur coin du Vent,.
Un souffle d’ouragan, un chemin d’enfer brûlant et gelant nos rangs
Séparant nos deux camps, les seuls construits an après an,............
Tout ne suit mon itinéraire insensible,
Austère et cassant, pénible et harassant
Accablant même l’audacieux hardi mâle persévérant,
Une rafale du temps et une piètre rupture d’un tourment,
La vie est ainsi une dure notion à atteindre
On ne peut par érosion l’atteindre mais seulement la craindre,
Parvenir à la moindre entente
Redresser le vernis de la pente,
Et monter le haut, entré dans cet abri,
Nous procurant tant d’ataraxies, de poésie,
Que c’est beau oui, de rêver du silence et de sérénités
A la rencontre de la convoitise et de l’avidité
Et si je décidais de tout abandonner, tout cesser,
Si au prix du silence tout j’acceptai
O, cœur coupable de mon funeste rang
Agitant la terre au tremblement,
O esprit vaillant, fautif et délinquant,
Qui interne puis enferme l’être de son fond qu’il soit noir ou blanc,
Est Terne comme de l’argent, insignifiant aux bons regards des passants.
Mais marqueur de pouvoirs,
Assujettissant à son égard milles dépendances et obéissances
Qu’il a pu tout simplement avoir
Comment ne pas comprendre la phrase dite avec tant d’audaces
Et à mon cœur se pose le cran du soutien, l'affres de l’angoisse
Que je n’arrache pour vous plaire à vous "mariage"
Et peut importe l’usure et l’usage de l’âge (…)
Quand s’ouvre aux ténèbres
L’enfer des cieux funèbres
Et quand s’en ira la nuit
Aux trêves, abondons bruits
Ne faisant que hanter mes courtes songeries (…)
Et mon cœur l’effronté, souvent en rit
Zra17.
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