La séparation
On ne va pas continuer
A faire comme si de rien n’était
On ne va pas rester muets
Sans dire un mot et dégoûtés
On ne va pas faire semblant
De nous entendre, d’s’aimer encore
C’est tout cousu de fil blanc
Malgré la scène, et le décor
Alors vaut mieux se séparer
Partir chacun de son côté
Car y a plus rien à réparer
Tout est foutu, tout a sauté
Je n’en peux plus de supporter
De vivre encore avec toi
Dans une ambiance à grelotter
Et dire qu’on est sous l’même toit
Alors écoute sois raisonnable
Car ça ne peux pas durer
Séparons nous, juste à l’amiable
Evitons de nous torturer
Tu as encore de très beaux restes
Pour te trouver un autre mari
Fais le pour moi, ce dernier geste
Tente la chance, fais le pari
Tu peux garder même la maison
Si ça t’convient, si ça te plaît
Et je n’en vois aucune raison
De t’refuser de suite, les clés
Tu pourra même, me prévenir
En cas d’besoin, à tout moment
En un clin d’œil, je vais venir
Avec au cœur, un pansement
Je prendrai juste, quelques affaires
Quelques bricoles, et mes photos
Et te laisserai en cet enfer
Vivre une nouvelle vie d’château
Comme ça tu peux sans demander
Rentrer, sortir comme tu le veux
Sans même te faire réprimander
Par un jaloux mari, nerveux
Alors adieu, et bonne chance
Porte toi bien et sois heureuse
Peut-être que grâce à mon absence
La vie sera belle, et toi radieuse
Peut-être aussi que ‘tu peux encore
Bâtir un autre, mais vrai foyer
Avec des gosses que tu adores
Et un mari pour te choyer
Mais on va plus continuer
A faire comme si de rien n’était
On ne va pas rester muets
Sans dire un mot et dégoûtés
On ne va pas faire semblant
De nous entendre, d’s’aimer encore
C’est tout cousu de fil blanc
Malgré la scène, et le décor
Merzak OUABED
Alger, le 25 janvier 2004
On ne va pas continuer
A faire comme si de rien n’était
On ne va pas rester muets
Sans dire un mot et dégoûtés
On ne va pas faire semblant
De nous entendre, d’s’aimer encore
C’est tout cousu de fil blanc
Malgré la scène, et le décor
Alors vaut mieux se séparer
Partir chacun de son côté
Car y a plus rien à réparer
Tout est foutu, tout a sauté
Je n’en peux plus de supporter
De vivre encore avec toi
Dans une ambiance à grelotter
Et dire qu’on est sous l’même toit
Alors écoute sois raisonnable
Car ça ne peux pas durer
Séparons nous, juste à l’amiable
Evitons de nous torturer
Tu as encore de très beaux restes
Pour te trouver un autre mari
Fais le pour moi, ce dernier geste
Tente la chance, fais le pari
Tu peux garder même la maison
Si ça t’convient, si ça te plaît
Et je n’en vois aucune raison
De t’refuser de suite, les clés
Tu pourra même, me prévenir
En cas d’besoin, à tout moment
En un clin d’œil, je vais venir
Avec au cœur, un pansement
Je prendrai juste, quelques affaires
Quelques bricoles, et mes photos
Et te laisserai en cet enfer
Vivre une nouvelle vie d’château
Comme ça tu peux sans demander
Rentrer, sortir comme tu le veux
Sans même te faire réprimander
Par un jaloux mari, nerveux
Alors adieu, et bonne chance
Porte toi bien et sois heureuse
Peut-être que grâce à mon absence
La vie sera belle, et toi radieuse
Peut-être aussi que ‘tu peux encore
Bâtir un autre, mais vrai foyer
Avec des gosses que tu adores
Et un mari pour te choyer
Mais on va plus continuer
A faire comme si de rien n’était
On ne va pas rester muets
Sans dire un mot et dégoûtés
On ne va pas faire semblant
De nous entendre, d’s’aimer encore
C’est tout cousu de fil blanc
Malgré la scène, et le décor
Merzak OUABED
Alger, le 25 janvier 2004