Un beau matin je suis parti,
détaché de ma chaire en toute partie,
attaché à ma chère, je suis meurtri,
je file dans le ciel, doux esprit.
Plus aucun poids, léger comme l'air,
je reste pourtant encore lié.
Mon âme au sol s'est accrochée,
j'ai peu de temps pour me libérer.
Je vole, je survole, en tout sens,
je tire..., je m'étire..., je m'élance!,
mais rien y fait, ho comme je t'aime !
je n'en peux plus, je suis tout blème.
L'hallo de lumière m'appelle au loin,
toutes ces couleurs jalonnent le chemin,
une voix douce chante ce refrain,
"Libère ton âme, ne pense à rien!".
Le temps pressant je file en bas,
en direction du point d'attache,
derrière ma peine, là je me cache,
j'étais un homme si grand si fort,
je la regarde, ma fée qui dort,
baiser glacé qui me détache,
acte dernier comme je suis lâche,
j'ai peur qu'elle est froid,
j'ai mal, quel effroi!
Lien coupé, je plonge vers le soleil,
en sueur, extirpée de son sommeil,
elle m'appelle, se sent perdue...
je suis ici... au lustre pendu.
Au revoir ma princesse, c'était trop fort,
je t'aimais par delà cet amour,
j'ai inventer un nouveau mot pour,
l'exprimer je dis AMOR(T).
détaché de ma chaire en toute partie,
attaché à ma chère, je suis meurtri,
je file dans le ciel, doux esprit.
Plus aucun poids, léger comme l'air,
je reste pourtant encore lié.
Mon âme au sol s'est accrochée,
j'ai peu de temps pour me libérer.
Je vole, je survole, en tout sens,
je tire..., je m'étire..., je m'élance!,
mais rien y fait, ho comme je t'aime !
je n'en peux plus, je suis tout blème.
L'hallo de lumière m'appelle au loin,
toutes ces couleurs jalonnent le chemin,
une voix douce chante ce refrain,
"Libère ton âme, ne pense à rien!".
Le temps pressant je file en bas,
en direction du point d'attache,
derrière ma peine, là je me cache,
j'étais un homme si grand si fort,
je la regarde, ma fée qui dort,
baiser glacé qui me détache,
acte dernier comme je suis lâche,
j'ai peur qu'elle est froid,
j'ai mal, quel effroi!
Lien coupé, je plonge vers le soleil,
en sueur, extirpée de son sommeil,
elle m'appelle, se sent perdue...
je suis ici... au lustre pendu.
Au revoir ma princesse, c'était trop fort,
je t'aimais par delà cet amour,
j'ai inventer un nouveau mot pour,
l'exprimer je dis AMOR(T).