Mes non-voeux 2022 font un peu merdeux,
Ce n’est pas encore en deux mille vingt deux qu’on fera des heureux,
Année d’élections verra les p’tits coqs en érection,
des petits laiderons qui nous z’aiderons pas, qui ne nous z’aimerons pas,
Le jour J, à l’heure H dans leur scénario de série B, pas pour jeune premier,
ces faux Zorro, ces petits Rocco, en surplus de chromosomes Y, pas même du classé X.
Des p’tits hardeux suants, puants, qui s’éreintent à la tâche tout l’Art de… de nous la mettre,
avec des vœux de bonheur, d’amour, de fidélité ou d’infidélité, qui s’assoient sur nos souhaits de liberté,
surfant sur la vague, la une, la deux,… la quatre, la delta, puis la omicron.
Et le ô Macron qui nous présentera avec toute la clique des ministres, rapportés par les journaleux,
confirmés par des scientifiques, applaudis par des « Monsieur de… », des « fils de… »
des gradés, des dégradés, des ridés, des débridés, des condés, des secondés, des premières mains et des second couteaux,
des «en devenirs » pour tous les demeurés, de près ou de loin, les deux fois rien, à tous les piqués, les guillotinés, les covidés,
les bovidés, les ovidés, les obsédés, les démodés, même aux décédés, des vœux de santé sur fond de mesures sanitaires,
des vœux de réussite, de fortune et de chance,
des vœux hasardeux pour qui deux plus deux ne feront jamais quatre à la fin du mois,
calculés sur l’augmentation du coût de la vie, indexés sur le prix du pétrole ou celui d’une balle de ping-pong,
je déduis la tva, je retire la csg, je déplace la virgule et je retiens un…
comme pour les retraites qui passeront en 2022, de soixante deux à soixante quatre ans, bande de…
en gros des vœux de santé précaires pour contribuables cafardeux.
Laissons le soins de ces tristes mots à tout ces hideux,
je vous fais à vous mes amis précieux, les êtres chers, « pour une fois que j’ai un truc qui paie »,
vous les poètes déplumés, les chômeurs heureux, les « islamo-comiques » les assistés volontaires,
les hétéro-sapiens et les homo-sapiens, les écolos d’un soir, les anars des mille et une nuits,
à tous les chats noirs et chiens qui puent, aux deux chevaux et aux deux sous de table, aux deux qui se font la paire, les duponD et duponT,
au capitaine haddock et à Gaston Lagaffe, aux sorcières sans balai, à Esméralda et à la mère Michel pour qu’elle retrouve son chat,
aux mi-grands et aux demies portions, aux demoiselles et damoiseaux, aux dix p’tits nègres, aux trois p’tits cochons
à tous les antifa et anti-fade(u), aux gamins de la zone et à tous tous les révoltés du bocage,
ces non-voeux pour 2022 bien merdeux
Attention 22 v’la les cond’
Ce n’est pas encore en deux mille vingt deux qu’on fera des heureux,
Année d’élections verra les p’tits coqs en érection,
des petits laiderons qui nous z’aiderons pas, qui ne nous z’aimerons pas,
Le jour J, à l’heure H dans leur scénario de série B, pas pour jeune premier,
ces faux Zorro, ces petits Rocco, en surplus de chromosomes Y, pas même du classé X.
Des p’tits hardeux suants, puants, qui s’éreintent à la tâche tout l’Art de… de nous la mettre,
avec des vœux de bonheur, d’amour, de fidélité ou d’infidélité, qui s’assoient sur nos souhaits de liberté,
surfant sur la vague, la une, la deux,… la quatre, la delta, puis la omicron.
Et le ô Macron qui nous présentera avec toute la clique des ministres, rapportés par les journaleux,
confirmés par des scientifiques, applaudis par des « Monsieur de… », des « fils de… »
des gradés, des dégradés, des ridés, des débridés, des condés, des secondés, des premières mains et des second couteaux,
des «en devenirs » pour tous les demeurés, de près ou de loin, les deux fois rien, à tous les piqués, les guillotinés, les covidés,
les bovidés, les ovidés, les obsédés, les démodés, même aux décédés, des vœux de santé sur fond de mesures sanitaires,
des vœux de réussite, de fortune et de chance,
des vœux hasardeux pour qui deux plus deux ne feront jamais quatre à la fin du mois,
calculés sur l’augmentation du coût de la vie, indexés sur le prix du pétrole ou celui d’une balle de ping-pong,
je déduis la tva, je retire la csg, je déplace la virgule et je retiens un…
comme pour les retraites qui passeront en 2022, de soixante deux à soixante quatre ans, bande de…
en gros des vœux de santé précaires pour contribuables cafardeux.
Laissons le soins de ces tristes mots à tout ces hideux,
je vous fais à vous mes amis précieux, les êtres chers, « pour une fois que j’ai un truc qui paie »,
vous les poètes déplumés, les chômeurs heureux, les « islamo-comiques » les assistés volontaires,
les hétéro-sapiens et les homo-sapiens, les écolos d’un soir, les anars des mille et une nuits,
à tous les chats noirs et chiens qui puent, aux deux chevaux et aux deux sous de table, aux deux qui se font la paire, les duponD et duponT,
au capitaine haddock et à Gaston Lagaffe, aux sorcières sans balai, à Esméralda et à la mère Michel pour qu’elle retrouve son chat,
aux mi-grands et aux demies portions, aux demoiselles et damoiseaux, aux dix p’tits nègres, aux trois p’tits cochons
à tous les antifa et anti-fade(u), aux gamins de la zone et à tous tous les révoltés du bocage,
ces non-voeux pour 2022 bien merdeux
Attention 22 v’la les cond’
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