Je pus sentir un jour un délicat arôme
Qui m’advenait alors en composant mes psaumes
Pour venir vers mon être en un temps quaternaire
Et qui sans fin dépeint ma plume sédentaire
En ce conditionnant à quatre thématiques
Et qui déploie toujours dans mon cœur leur rythmique.
Ce quatuor a régi en construisant son camp
Un harmonieux récit dès l’orée du printemps
Dans mon corps lanciné afin de m’orienter
Vers un courtois chemin lors de mon arrivée
Afin de m’emporter par cette ondée bénite
Au salue du Seigneur en tournée qui incite
A protéger autrui en cette antipathie.
En effet ma croyance en cet homme érudit
M’a permis jusque-là dès mon pèlerinage
A venir m’octroyer les clés de ce passage
Pour pouvoir devenir une simple fidèle
Ma personnalité étant indissociable
Avec cette doctrine en un courant affable
Qui m’octroie un chemin que je ne veux trahir.
Par ces dix sommations qui sont à prémunir
Ce culte m’apostrophe en me garantissant
Que mon sombre destin uni au firmament
Etait déjà tracé depuis que j’eus ouvert
Mes yeux incommodés sur ce globe polaire
Par ces esprits glaciaux qui ne savent penser
Car leur propre nombril en cette société.
Par mes propriétés j’ai pu suivre sans guide
Nombre de filiations décrétées sous l’égide
De ces textes de lois qui pour moi symbolise
L’euphuisme de mon âme en une chaude brise
Avalisant sans peur ces dogmes exhortés
De cette religion dont s’ensuit ma gaité.
Jamais je ne voudrais en être séparée
De ce sacral sauveur qui m’a souvent alloué
Son généreux soutien sans l’once d’une attente
Afin d’exterminer de manière atténuante
Mon quotidien mal-être émanant sans répit
Dans ce cercle infernal que me donna la vie.
Je pus être avertie dès l’aube de l’aurore
Que l’existence n’est qu’un réel coup du sort
Une lutte infinie pour que j’apprenne à être
D’une force mentale afin de transparaître
En puissante entité pour pouvoir faire front
A ces mornes affronts égrenant la scission
De mon âme à ce corps souillé sous ces offenses.
Alors pour ne finir en ombre d’indolence
J’ai appris malgré moi qu’il me fallait mander
Ce genre de souffrance afin d’y adopter
Une saine plaisance en la déprédation
Pour que de la déprime accourt en discrétion
Un allier avenant pour créer mon auspice.
De cette dépression s’ajustera en lice
Une mélancolie qui ne m’a pas quittée
Accroissant sans douleur ma sensibilité
Pour que puisse paraître un agrégat lyrique
Troisième fruit de ma destinée platonique
Pour avoir les atouts qui scelle ma mission.
J’y ajoute à cela une prémonition
Une injonction d’amour afin de terminer
En beauté ma palette aux émotions variées
Ce sentiment étant la quintessence pure
De ce que peut produire un gracieux Epicure
Le plus précieux présent s’évaporant de terre
Laissant lieu, par sa mort, notre sphère en poussière.
Par ce quarté formant mon esprit religieux
Je souhaite déverser sur ce saphir scabreux
Guidé par mon Totem qui accentue ces traits
Un salvateur faisceau pour l’apport d’un attrait
Sur ce flot d’émotions qui commence à périr
Afin d’en déferler pour que puisse alunir
Mon onctueuse lueur édictée par mon Père.
J’aspire à mériter ce halo de lumière
Pour ne pas décevoir cet homme fondateur
Qui égrène sa course au porte de mon cœur
Afin que s’accentue les vertus racolées
Au soutien que je veux humblement concéder
Par ce riche rayon composé de prières
Pour pouvoir soulager les plaintes meurtrières.
Je resterais le chat veillant sous la hantise
A ce qu’aucun humain ne se dévalorise
En fonction du désir de ces cœurs abrasifs
Ne voulant les blesser en étant intrusif
En restant ténébreux afin de surélever
Ce spirituel pléthore au rang d’illuminé.
Oiseau Lyre.
Qui m’advenait alors en composant mes psaumes
Pour venir vers mon être en un temps quaternaire
Et qui sans fin dépeint ma plume sédentaire
En ce conditionnant à quatre thématiques
Et qui déploie toujours dans mon cœur leur rythmique.
Ce quatuor a régi en construisant son camp
Un harmonieux récit dès l’orée du printemps
Dans mon corps lanciné afin de m’orienter
Vers un courtois chemin lors de mon arrivée
Afin de m’emporter par cette ondée bénite
Au salue du Seigneur en tournée qui incite
A protéger autrui en cette antipathie.
En effet ma croyance en cet homme érudit
M’a permis jusque-là dès mon pèlerinage
A venir m’octroyer les clés de ce passage
Pour pouvoir devenir une simple fidèle
Ma personnalité étant indissociable
Avec cette doctrine en un courant affable
Qui m’octroie un chemin que je ne veux trahir.
Par ces dix sommations qui sont à prémunir
Ce culte m’apostrophe en me garantissant
Que mon sombre destin uni au firmament
Etait déjà tracé depuis que j’eus ouvert
Mes yeux incommodés sur ce globe polaire
Par ces esprits glaciaux qui ne savent penser
Car leur propre nombril en cette société.
Par mes propriétés j’ai pu suivre sans guide
Nombre de filiations décrétées sous l’égide
De ces textes de lois qui pour moi symbolise
L’euphuisme de mon âme en une chaude brise
Avalisant sans peur ces dogmes exhortés
De cette religion dont s’ensuit ma gaité.
Jamais je ne voudrais en être séparée
De ce sacral sauveur qui m’a souvent alloué
Son généreux soutien sans l’once d’une attente
Afin d’exterminer de manière atténuante
Mon quotidien mal-être émanant sans répit
Dans ce cercle infernal que me donna la vie.
Je pus être avertie dès l’aube de l’aurore
Que l’existence n’est qu’un réel coup du sort
Une lutte infinie pour que j’apprenne à être
D’une force mentale afin de transparaître
En puissante entité pour pouvoir faire front
A ces mornes affronts égrenant la scission
De mon âme à ce corps souillé sous ces offenses.
Alors pour ne finir en ombre d’indolence
J’ai appris malgré moi qu’il me fallait mander
Ce genre de souffrance afin d’y adopter
Une saine plaisance en la déprédation
Pour que de la déprime accourt en discrétion
Un allier avenant pour créer mon auspice.
De cette dépression s’ajustera en lice
Une mélancolie qui ne m’a pas quittée
Accroissant sans douleur ma sensibilité
Pour que puisse paraître un agrégat lyrique
Troisième fruit de ma destinée platonique
Pour avoir les atouts qui scelle ma mission.
J’y ajoute à cela une prémonition
Une injonction d’amour afin de terminer
En beauté ma palette aux émotions variées
Ce sentiment étant la quintessence pure
De ce que peut produire un gracieux Epicure
Le plus précieux présent s’évaporant de terre
Laissant lieu, par sa mort, notre sphère en poussière.
Par ce quarté formant mon esprit religieux
Je souhaite déverser sur ce saphir scabreux
Guidé par mon Totem qui accentue ces traits
Un salvateur faisceau pour l’apport d’un attrait
Sur ce flot d’émotions qui commence à périr
Afin d’en déferler pour que puisse alunir
Mon onctueuse lueur édictée par mon Père.
J’aspire à mériter ce halo de lumière
Pour ne pas décevoir cet homme fondateur
Qui égrène sa course au porte de mon cœur
Afin que s’accentue les vertus racolées
Au soutien que je veux humblement concéder
Par ce riche rayon composé de prières
Pour pouvoir soulager les plaintes meurtrières.
Je resterais le chat veillant sous la hantise
A ce qu’aucun humain ne se dévalorise
En fonction du désir de ces cœurs abrasifs
Ne voulant les blesser en étant intrusif
En restant ténébreux afin de surélever
Ce spirituel pléthore au rang d’illuminé.
Oiseau Lyre.
