Mathématiques d'une rupture.
Puisque en deux tu m'as divisé,
puisque je valais trois fois rien,
puisque en somme, je ne retiens
que la formule du baiser,
je multiplie les additions :
Je soustrais de moi tout amour
et, égal aux zéros, je fourre
ma virgule sans condition.
Je croyais en cette équation
et ne calculais rien de plus.
Alors comprends, belle inconnue,
la racine de mes actions :
Je t'aime exponentiellement,
mais ton cœur tellement variable,
en fonction de ce qui l'accable
me retire ses sentiments.
Il faut bien que je solutionne
par la volupté le problème !
Il ne me reste rien : Je t'aime
et tu comptes plus que personne.
22.01.09
Puisque en deux tu m'as divisé,
puisque je valais trois fois rien,
puisque en somme, je ne retiens
que la formule du baiser,
je multiplie les additions :
Je soustrais de moi tout amour
et, égal aux zéros, je fourre
ma virgule sans condition.
Je croyais en cette équation
et ne calculais rien de plus.
Alors comprends, belle inconnue,
la racine de mes actions :
Je t'aime exponentiellement,
mais ton cœur tellement variable,
en fonction de ce qui l'accable
me retire ses sentiments.
Il faut bien que je solutionne
par la volupté le problème !
Il ne me reste rien : Je t'aime
et tu comptes plus que personne.
22.01.09