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Mani le taureau et de la petite fleur

talysman

Poète libéré
#1
C'est l'histoire d'un taureau et d'une petite fleur flétrie.

Nous sommes en plein champs dans une très jolie campagne.
Là, paissent paisiblement de belles génisses et vaches.
Toutes étaient en compétition, pour l'unique taureau de ce cheptel, et quel taureau!!!
Il faut bien le dire, ce bel animal avait tout les atouts pour captivé l'attention, il avait le pelage d'un noir intense et bien luisant, ces cornes bien équilibrées au dessus de sa superbe tête, se portaient tel une couronne.
Tout chez lui n'était que splendeur, il ne lui manquait plus que des ailes.
Ah ! Il était bien conscient de son pouvoir d'attraction et visiter à sa guise chacune de ces femelles qu'il savait conquises...
Rien ne lui permettait le moindre doute sur son charme et de ces capacités à avoir ce qu'il désirait.
Il est le roi, le seul et l'unique dans ce champs.
Ces compagnes d'un instant étaient toutes aussi jalouses, c'était à celles qui attireraient son attention et auraient ces faveurs.
A coup de cornes et de sabots, elles se battaient, pourvus que Mani le taureau pouvait choisir selon ses goûts ; La plus belle, la meilleure ou la plus intéressante etc...
Voilà la vie de ce mâle vainqueur, sans conteste.
Mais des jours plus tristes l'attendaient.
Quand un matin, on vint le chercher, puis on l'enferma dans un camion, où il fût transporté à milles lieux de son univers.


Après des heures de ce très long voyage, il pût enfin voir la lumière du jour quelques instants, pour ce retrouver à nouveau enfermé dans un enclos sombre où très peu de luminosité arrivé jusqu'à lui.
Il se sentit si mal d'un seul coup, qu'aller t-il lui arriver ?
Pourquoi l'avait on déplacer ainsi ?
Que devrait-il faire ?
Puis reprenant courage, il se dit qu'un taureau comme lui, n'avait rien à craindre, que sûrement son éleveur, l'avait amené là pour couvrir des femelles d'autres élevages alentour.
Ainsi il se rassura et finit par se détendre, et s’endormit en pensant à toutes ses conquêtes aimantes qui attendraient impatiemment son retour.
Il fût brutalement sortit de ses songent, on le tiré très fort pour le faire sortir de cet enclos, plusieurs hommes le bousculer pour l'obligé à avancer dans une direction bien précise, on le frapper à mainte reprise sans qu'il puisse comprendre pourquoi ?
Si seulement on lui montrer où il devait se rendre, il irait bien seul et n'aurait point besoin de subir ces coups de bâton.
Mani le taureau, ne cherchant point à se défendre de ces maltraitances avança au mieux, pour quelles prennent fin au plus vite.
Il finit par se retrouver dans ce qui ressembler à un parc, où plusieurs de ces congénères étaient, mais au lieu de trouver au sol, une herbe verte et fraîche, il n'y avait que poussières et quelques foins éparpillés.
Beaucoup d'autres taureaux étaient parqués comme lui, tous avaient des allures différentes, et presque tous étaient fières...
Mais certains avaient l'air épuisés et dans un sale état, le voyage peut-être ?
Les jours passés et au fur et à mesure, le parc se vidé, bizarrement aucuns taureaux ne revenaient ou alors parfois, mais totalement épuisé et très abattu.
Mani pensait qu'il avait dû couvrir beaucoup trop de femelles, pour arrivé en si mauvaise forme, ou alors ces mâles étaient trop incompétent face à leurs tâches.
Un jour, il fût à son tour amené, il connut à nouveau un voyage stressant ou aucune attention particulière ne lui était apporté.
Quand enfin le transport s’arrêta, il se retrouva encore une fois dans cet enclos sombre, mais cette fois-ci, ils étaient plusieurs et entassés, certains étaient si énervés qu'ils donnaient des coups de cornes et ruaient à la moindre approches.
Des hommes à travers l'enclos, leurs piquer le cuir, Mani ne comprenait pas pourquoi,
mais lui qui d'habitude était si tranquille, sentait son énervement grandir à force de douleurs.
Et puis la porte s'ouvrit...
Il s'avança hésitant et tout ébloui, mais derrière lui pousser les autres taureaux qui pour certains galoper presque, trop content de retrouver de l'espace et de la lumière.


Après s'être acclimater, il découvrit un autre parc, mais cette fois-ci complètement fermé, avec de grand mur où apparemment des gens étaient assit en hauteur, il y avait beaucoup de bruit, des cris et toutes sortes d'agitation.
Mani essayé de comprendre pourquoi tant d'hommes étaient présent pour ce qu'il pensait devoir faire ?
Mais aucune génisses aux alentour et où y aurait-il des ébats ?
Bientôt devant lui des hommes habillés de lumière et de couleurs s'agitaient.
Dont un en particulier qui avait dans ces mains, comme de longues pointes qui semblaient si perçantes...
Mani le taureau recula d'instinct, vue avec horreur ce qui arrivé à ses congénères de misère,quand ceux-ci fonçaient sur l'homme aux longues pointes.
Les pauvres taureaux s’empalaient à ces tiges acérées et s'écroulaient net!
Aux pieds de l'homme à l'allure fière et imposante.
Mani compris avec dégoût et déception qu'il devrait lui aussi affronté son bourreau et qu'aucune issue de secours ne s'ouvriraient pour lui.
Il repensa un court instant à son champs et à toutes ses compagnes avec qui il avait passer de doux moment.
Repensa,à l'herbe fraîche et tendre qu'il pouvait brouter à volonté, ainsi qu'à ses jours paisible, passé insouciant et inconscient.
Courage Mani! Courage...
Puis une douleur vive s'enfonça dans ces chairs et une fureur s'empara de lui, alors comme les autres avant lui, il fonça sur ce picador, ce toréador de malheur, poster comme un glorieux, dans cette arène qui puait la mort et l'injustice.
Puis Mani se stoppa d'un seul coup, se ravisant dans son élan, devant son bourreau, il plongea son regard dans les yeux de celui ci, tel un défi, comme une ultime insolence devant celui qui aller commettre un imminent crime et qui sera malheureusement impuni...
Au dessus de lui, Mani entendit des acclamations de joies, des gens qui étaient au spectacle.
Cela le mit plus en rage encore, il voulut embroché avec ces magnifiques cornes ce picador de l'enfer, mais au dernier moment se ravisa en pensant aux longues épées qu'on lui pointés dessus à chacun de ses passages, quand avec agilité il frôlait son adversaire.
Alors il lui vint une idée et si au lieu de foncer droit sur la mort, il s'amuser à l'éviter.
Et si, il fatigué son criminel à force de malices et de feintes ?
N'allait-il pas évitait le pire ?
Perdu pour perdu, il devait essayer et c'est ce qu'il s’efforça de faire avec ténacité et courage.
Et pourquoi pas, à quelques passages ce servir de ces royales cornes pour empaler son tortionnaire.
Ah! La bonne idée, celle qui surgit dans les instants de dernière minute, celles auquel on s'accroche parce que aucune autre issues n'est valable.
A chaque fois que Mani évitait son picador, la foule hurler de joies, encourageant ce pauvre taureau à tenir encore.
Leurs liesse montrer à quel point ils prenaient plaisir à ce combat inégal, mais Mani ne lâchera pas, non !
Il tiendra !
Jusqu'au bout, il n'a pas le choix...
Sa vie à lui , en dépend !
Les heures sont passés et malgré de profondes blessures Mani le magnifique, n'a point faillit, le toréador ne l'a toujours pas terrassé et tout les spectateurs à cette instant crient, non plus le nom du torero, mais bien celui de Mani le magnifique.
Alors il sentit comme une évidence, qu'il avait réussit à défendre sa vie, son adversaire vaincu, jetant les épées au sol et tournant les talons, en se dirigeant vers la sortie, huer par la foule qui maintenant, acclamés avec force la ténacité et le courage indéniable de ce taureau condamné.
Encore sous le choc de cette bataille horrible et sanglante, Mani prit conscience de l'état du sol où avaient périt tout ces compagnons d'infortune, mort au combat, il était couvert de sang, des flaques énormes et épaisses partout dans cette arène de malheur.
De son propre sang aussi, qui continuer de s'échapper de son corps, ce sang chaud qui dégouliner sur son pelage noir mouiller de sueur et qui en ce moment même n'était qu'écarlate.
Il se sentit d'un seul coup tout refroidit, oui , il avait très froid, il sentait tout son corps lui échapper, mais sa hargne à vouloir rester en vie l'empêcha de céder à cette facilité, non !
Il n'avait pas combattu, pour finir comme les autres, blesser à mort et vaincu...
Non, il vacille un moment mais tiens bon sur ces pattes, fière, il lève sa tête pour voir
ces hommes en face, voir leurs ignobles personnes.
Ils l'acclament tous !
Mani ! Mani ! Mani !
Mani Le magnifique !
Entrant dans l'arène, des gens, les même qui des heures plus tôt l'on pousser à l’intérieur de cette enfer, viennent le chercher avec respect et craintes, ils dépose sur son dos une couverture qui eu l'effet de lui redonner un peu de chaleur qui lui manquait tant déjà.
Puis il se retrouva dans un box ou des soigneurs s’affairaient autour de lui , puis plus rien.
Mani passa des jours enfermé dans ce box, ou l 'on continuer à soigner ses blessures et Mani ne s' en défendait pas.
Mais il entendait au loin les mêmes crient entendu le jour où lui aussi devait mourir avec les siens.
Encore affaiblit, il s'endormit en essayant de se rappeler sa vie d'avant où était l'herbe tendre de son pâturage ?
J'aimerais tant.....Encore..... Une fois.....Juste....Un peu....
Mani le magnifique rêve....
Puis le soleil réchauffe son museau, ainsi que son pelage comme une caresse.
Il s'éveille et ressent comme une impression de déjà vue, des odeurs comme quand on est de retour chez soi, alors ses yeux s'ouvre et s'en y croire vraiment, il s’aperçoit qu'il est effectivement de retour chez lui !
Mani à retrouver son champs, seul mais enfin de retour et vivant.
De jours en jours, il reprenait des forces, ces vilaines blessures cicatrisées et beaucoup de gens venaient le voir et l'acclamer encore...
Sa beauté revint aussi malgré des marques bien visibles et parfois douloureuses.
Mani passait son temps dorénavant à brouter ses herbes préférées et profitait du champs avec un immense sentiment de paix.
Il ne prêtait plus aucune attention aux génisses ainsi qu'aux vaches.
Pas, parce qu'elles étaient sans intérêt, mais tout simplement parce qu'il avait apprit à apprécié son près et toutes ces petites choses qui rendait son beau domaine sain et naturel.
Et puis ces compagnes d'un moment, étaient bien moins intéressées depuis qu'elles avaient découvert toutes les vilaines blessures mal cicatrisés pour certaines encore.
Donc, Mani prenait plus de temps à découvrir autre chose dans sa prairie, comme par exemple, une simple petite fleur, il l'avait découvert par hasard et il pensait ne l'avoir jamais vue avant...
Elle était là, toute seule et mal en point, le temps sur elle était passer, lui expliqua t'elle, et lui avait demandait de ne pas la manger, de lui laisser encore un peu plus de temps à vivre avant son déclin final, Mani fut toucher par tant de fragilité, il comprit tout de suite ce qu'elle voulait dire, il avait eu sa propre expérience pour la comprendre et la respecté.
Il lui promis donc, de ne jamais l'arracher à ses racines et même de la protéger des autres, pour que personnes ne la dévore, ni ne la piétine.
Une tendre amitié s'installa entre eux,ils passèrent la plupart de leurs temps à échanger, eux seuls savaient de quoi ils parlaient.
Parfois petite fleur avait du mal à se maintenir face au vent, souvent violent ou au soleil trop fort sur ces pétales flétrie, alors Mani le magnifique se couchait tout prêt d'elle, pour la protéger de toutes ces agressions.
Cela interpellées les génisses qui au final étaient piquées par la curiosité et les poussées a voir ce qui pouvait bien occupé autant leur taureau qui les délaisser un peu trop à leurs goûts maintenant.
Tout d’abord à distance, puis de plus en plus prêt, elles finirent par savoir ce à quoi Mani passait tout son temps.
Moqueuses et jalouses, elles rirent de la situation et voulurent piétiner la petite fleur fanée.
Mais Mani s'y opposa avec force et chassa toutes ces vaches, les invitant à paître
ailleurs...
Vexées, elles s'éloignèrent, mais pour sûre qu'un instant...
Mani et la petite fleur des champs, reprirent leur habitudes et laissaient défilaient les journées ainsi que les nuits.
Un beau jour, Mani qui avait reprit toutes ses forces et sa beauté, s'approcha des barrières de son enclos pour être admiré de ses fans, qui venaient encore de temps en temps saluer ce magnifique taureau.
Les gens essayaient de lui caresser, le museau et son doux pelage noir bien luisant, ainsi que son encolure qui montrer une superbe musculature puissante et noble puis
essayaient de déposer sur ces royales cornes des rubans colorés.
Où tout simplement voir comment était l'animal légendaire.
Pendant ce temps, voyant le beau taureau bien occupé, quelques vaches vinrent visitées la fameuse petite fleur des champs, celle-là même, qui leur prenait Mani à chaque instant.
Quand elles aperçurent l'état de la fleur, elles se moquèrent de plus belle...
Ah !!!
Mais dites moi ?
C'est bien cela qui demande tant d’intérêt à notre vainqueur ?
Quelle tristesse !
Et d'un seul coup de mâchoire, la petite fleur de Mani fût ainsi englouti.
Ni vue, ni prit, elles partirent plus loin, comme si de rien n'était.
Quand Mani revint enfin rejoindre son amie, il ne l'a vit pas, il la chercha du mieux qu'il pu, mais rien...
Sauf, oui bien sur, qu'il connaissait bien son unique emplacement et voyait bien cette grosse touffe d'herbe qui manquait et où petite fleur vivait...
Alors son désarroi et son chagrin, prit place en lui et il s’effondra en larmes sur le parterre qui avait logé sa tendre amie.
Puis la colère le reprit, comme avant dans l'arène où tant de mal lui était arrivé et il s'élança fou de rage vers ces vaches mal intentionnés pour les embrocher une par une.
Effectivement il en bouscula quelques unes, à coup de cornes, les faisant tomber au sol et en les piétinant de toutes ses forces.
Le fermier en panique et ne comprenant pas pourquoi son taureau était prit de folie, dû vite intervenir rapidement, pour le séparé de toutes ces vaches, qui pour certaines étaient déjà bien amochées.


Il fallu du temps pour calmé ce splendide animal qui avait retrouvé toute sa vigueur, mais après plusieurs heures, il finit par retrouvé son calme, ou plutôt l’épuisement faisant, à force de ruer comme un fou et ensuite vint un abattement profond.
Les semaines passa et Mani le magnifique pu enfin retrouver son champs.
Il n'y avait plus aucunes vaches, ni génisses, elles étaient toutes à l'étable, il en était content, car il sentait bien encore en lui assez dégoût et de colère pour les blessées encore, avec plaisir même...
Il se dirigea tout de suite là où son amie avait passer tant de temps avec lui et tout son chagrin revint.
Les larmes intarissable coula de nouveau et arrosa le sol avec générosité, allongé pendant des heures la chaleur de son corps se propager jusqu'à l intérieur de la terre, il évacua ainsi sa peine.
L'hiver était là, alors le fermier vint au bout de quelques temps reprendre son taureau pour l'abrité dans son étable.
Les mois dure passèrent et la peine profonde aussi, ainsi va la vie.
Mais parfois la vie vous réserve bien des surprises...
De retour dans leurs vert pâturages, tous reprirent leur habitudes.
Et un beau jour de printemps, Mani se rapprocha de son endroit favori le cœur serré et voulu se remémoré sa belle amitié d'autan.
Ce qu'il aperçu le saisi de stupeur, car à l'endroit où il s'était épancher, il y avait une immense marque bien dessiner sur le sol, c'était en faite, une multitudes de petites fleurs des champs, qui parsemés l'emplacement où son imposant corps l'avait recouvert jadis.
Il s'y allongea de nouveau et son bonheur était immense car sa petite fleur flétrie et fanée, lui avait réservée une belle surprise, parce qu'elle avait regrouper ses dernières force, en se servant de l'abri que faisait l imposant corps de son ami Mani ,telle un paravent qui la protéger du mauvais temps, ce qui lui à permis d'engendrer ses petites graines à proximité de son lieu de vie et ainsi, elle savait que bien après sa disparition, elle donnerait à Mani, l'occasion de pouvoir encore et pour longtemps partager d'autres bon moments avec ses petits bout d'elle, ainsi elle le remercié d'avoir bien voulu prendre soin de la petite fleur des champs usée par le temps et insignifiante qu'elle était.
Du tréfonds de sa mémoire une aventure du passé lui revient d'un seul coup !
Il se souvint du jour où encore jeune veau, on l'arracha à sa génitrice, les hommes avaient décidés qu'il n'avait plus besoin du lait de sa mère.
On les sépara sans compassion et ils ne se revinrent jamais plus.
Le jeune veau se retrouva dans ce champs même, celui qui connaît si bien maintenant, il y passa sa première nuit tout seul, complètement apeuré et déchiré par la tristesse d'avoir perdu sa maman.


Tremblant et désemparé, il finit par s’effondrer sur le sol humide et froid et y pleura longtemps, puis s'endormit.
Mani le petit veau fût réveillé, parce que quelque chose lui chatouiller le museau à
chaque fois que son souffle s’échapper de ses naseaux, des chatouillies se faisait ressentir.
Il ouvrit ses yeux pour voir ce qui pouvait bien causé cette sensation qui n'était pas désagréable, mais plutôt sympathique.
C'était tout simplement de belles petites fleurs des champs aux couleurs vives, d'un violet et d'un parme velouté, aux odeurs finement sucrées.
Le petit veau de l'époque se sentit comme rassuré, grâce à cette rencontre avec la nature, ces petites fleurs lui avaient remonter le moral par leurs simple fait de les voir et puis le près était bien plus jolie maintenant, le soleil le réchauffé suffisamment et le ciel bleu assez accueillant pour s'en aller découvrir son pâturage.
Les années sont passées...
Cette aventure remémorer lui rappela ainsi qu'il avait déjà rencontré dans sa jeune vie, une petite fleur des champs et qu'elle avait était un soutien pour lui, qu’après avoir été réconforté, il était parti de l'avant.
Il avait fini par l'oublié, parce que nous oublions vite malgré tout certaines choses primordiales et essentielles.
Mani le magnifique, compris que le bonheur n'est pas dans les apparences, ni dans les gloires, mais dans la simplicité et la complicité.
Que des petites choses insignifiantes et apparemment sans importance sont capable d'apporter d'immense réalisation et aussi que tout fini par disparaître un jour, pour renaître de façon différente parfois, mais renaissent de toute façon parce que la vie et ainsi...
Un combat permanent avec des moments magiques...
Comprends moi, je veux que tu saches, que jamais je voudrais que tu te sentes seul.
Que je voudrais être avec toi pour toujours ou dès que tu en auras envies et en ressentiras le désir...
Qu'importe pour moi ce que tu as ou n'as pas dans ta vie, ce que tu as réalisé ou non, qu'importe les différences de toutes sortent, je ne veux être que prêt de toi.
Sache aussi que moi, j'ai besoin de ta présence dans ce monde, parce que sans toi j'aurais trop de mal, et qu'ensemble nous serons toujours bien plus fort.
Être heureux c'est seulement être avec l'autre et savoir qu'il ne te lâchera jamais...




TALY 2015
 
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